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  #1 masquebf on 26 Nov 14

   

  C'est toute la complexité du Liban qui s'exprime dans cemélange. Il y a une semaine, ceux qui manifestaient au même endroit accusaient le Hezbollah de chercher à renverser le gouvernement, dans le seul but d'empêcher la création du tribunal international destiné à juger l'assassinat de l'ancien premier ministre, Rafik Hariri, et de plusieurs autres personnalités antisyriennes. Le général Aoun, pour sa part, se voyait reprocher une alliance contre nature avec les partis chiites, dans le but de devenir président de la République, poste attribué à un chrétien. Hier, à la nuit tombée, aucun dirigeant du Hezbollah n'avait pris la parole sur la place. Raisons de sécurité ou volonté de mettre en avant l'allié chrétien ? En tout cas, pour les manifestants, issus de la majorité des chrétiens qui ont voté pour le général aux dernières élections, il s'agit surtout de politique intérieure : « Le tribunal, on s'en fiche ! Tout le monde sait qu'il mettra six mois au moins à se mettre en place ! Et le général n'est pas prosyrien ! », s'exclame Pascale, à la tête d'un petit groupe de femmes, dont une pharmacienne et une épouse de fonctionnaire, toutes revêtues de l'uniforme beyrouthin Gucci-Prada. Cohabitation Pour comprendre son pays, chaque Libanais doit se faire historien. « Quand le général a été jeté dehors par les Syriens en 1990, qui les a aidés ? Ceux qui se prétendent antisyriens aujourd'hui, avec la bénédiction des États-Unis », rappelleBrigitte, la pharmacienne. echarpe burberry longue
  Elle ne comprend pas l'appui apporté par l'Occident au gouvernement : « Les États-Unis nous ont-ils protégés contre l'attaque israélienne cet été ? » À ce moment, les haut-parleurs géants crachent : « On ne veut pas de la tutelle des États-Unis ! » Pour Pascale, « le gouvernement a eu tort de s'appuyer sur les États-Unis. Bush les laissera tomber comme il laisse tomber tous ses alliés ». L'alliance avec le Hezbollah ne dérange pas Nadine, derrières ses lunettes de soleil à écran large : « Les chiites sont là. Qu'est-ce que vous voulez en faire ? Les jeter à la mer ? Et ils ont le même but que nous : chasser ce gouvernement corrompu. Ils sont propres et ils tiennent leur parole. » La cohabitation peut être envisagée sous forme d'une « fédération comme en Suisse », avance Brigitte, qui conclut : « On nous a jetés dans les bras du Hezbollah. » Son porte-parole, Valeri Natarov, l'a affirmé hier soir, en précisant que les médecins n'avaient pas encore identifié le poison. echarpe burberry noir homme Il ne s'agirait pas d'une substance radioactive. Sa fille Maria, opposante au président Vladimir Poutine, citée par la BBC, parle « d'empoisonnement politique » même si elle ne pense pas que le régime russe soit en cause.Egor Gaïdar a été soudainement pris de malaise (évanouissement, saignement de nez, paralysie passagère) vendredi, alors qu'il séjournait en Irlande. La veille, Alexandre Litvinenko était décédé dans un hôpital londonien. Après une nuit en soins intensifs dans un établissement proche de Dublin, Gaïdar avait regagné Moscou où il avait été hospitalisé. Les médecins ne sont pas parvenus à poser de diagnostic.Si l'ancien réformateur libéral, âgé de 50 ans, a critiqué la politique économique de Poutine, il n'en est pas un véritable adversaire. echarpe burberry occasion femme
  Le maître du Kremlin a pris le soin de lui téléphoner, mercredi, pour prendre de ses nouvelles.Pendant ce temps, la piste radioactive du polonium 210, substance qui a mortellement contaminé Alexandre Litvinenko, mène désormais les enquêteurs de Scotland Yard jusque dans des avions de British Airways. « De très faibles traces de substances radioactives » ont été détectées dans deux Boeing 767 de British Airways, a annoncé la compagnie britannique. Les deux appareils ont été ciblés par les enquêteurs de la section antiterroriste de Scotland Yard car ils ont été empruntés par des contacts de Litvinenko.Un troisième Boeing 767 de British Airways était immobilisé hier à l'aéroport moscovite de Domodedovo, en attente d'inspection. C'est cet avion qu'aurait emprunté, le 3 novembre, Andreï Lougovoï, l'une des personnes qui ont rencontré Alexandre Litvinenko le 1er novembre, jour où l'ancien officier russe est tombé malade. Lougovoï, ancien agent subalterne du KGB reconverti dans les affaires, devait être entendu par Scotland Yard à Moscou cette semaine.

   

  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">C'est toute la complexité du Liban qui s'exprime dans cemélange. Il y a une semaine, ceux qui manifestaient au même endroit accusaient le Hezbollah de chercher à renverser le gouvernement, dans le seul but d'empêcher la création du tribunal international destiné à juger l'assassinat de l'ancien premier ministre, Rafik Hariri, et de plusieurs autres personnalités antisyriennes. Le général Aoun, pour sa part, se voyait reprocher une alliance contre nature avec les partis chiites, dans le but de devenir président de la République, poste attribué à un chrétien. Hier, à la nuit tombée, aucun dirigeant du Hezbollah n'avait pris la parole sur la place. Raisons de sécurité ou volonté de mettre en avant l'allié chrétien ? En tout cas, pour les manifestants, issus de la majorité des chrétiens qui ont voté pour le général aux dernières élections, il s'agit surtout de politique intérieure : « Le tribunal, on s'en fiche ! Tout le monde sait qu'il mettra six mois au moins à se mettre en place ! Et le général n'est pas prosyrien ! », s'exclame Pascale, à la tête d'un petit groupe de femmes, dont une pharmacienne et une épouse de fonctionnaire, toutes revêtues de l'uniforme beyrouthin Gucci-Prada. Cohabitation Pour comprendre son pays, chaque Libanais doit se faire historien. « Quand le général a été jeté dehors par les Syriens en 1990, qui les a aidés ? Ceux qui se prétendent antisyriens aujourd'hui, avec la bénédiction des États-Unis », rappelleBrigitte, la pharmacienne. <a href="http://www.plastral.fr/echarpeburberrypascher/" rel="nofollow" title="echarpe burberry longue">echarpe burberry longue</a> <br /> Elle ne comprend pas l'appui apporté par l'Occident au gouvernement : « Les États-Unis nous ont-ils protégés contre l'attaque israélienne cet été ? » À ce moment, les haut-parleurs géants crachent : « On ne veut pas de la tutelle des États-Unis ! » Pour Pascale, « le gouvernement a eu tort de s'appuyer sur les États-Unis. Bush les laissera tomber comme il laisse tomber tous ses alliés ». L'alliance avec le Hezbollah ne dérange pas Nadine, derrières ses lunettes de soleil à écran large : « Les chiites sont là. Qu'est-ce que vous voulez en faire ? Les jeter à la mer ? Et ils ont le même but que nous : chasser ce gouvernement corrompu. Ils sont propres et ils tiennent leur parole. » La cohabitation peut être envisagée sous forme d'une « fédération comme en Suisse », avance Brigitte, qui conclut : « On nous a jetés dans les bras du Hezbollah. » Son porte-parole, Valeri Natarov, l'a affirmé hier soir, en précisant que les médecins n'avaient pas encore identifié le poison. <a href="http://www.plastral.fr/echarpeburberrypascher/" rel="nofollow" title="echarpe burberry noir homme">echarpe burberry noir homme</a> Il ne s'agirait pas d'une substance radioactive. Sa fille Maria, opposante au président Vladimir Poutine, citée par la BBC, parle « d'empoisonnement politique » même si elle ne pense pas que le régime russe soit en cause.Egor Gaïdar a été soudainement pris de malaise (évanouissement, saignement de nez, paralysie passagère) vendredi, alors qu'il séjournait en Irlande. La veille, Alexandre Litvinenko était décédé dans un hôpital londonien. Après une nuit en soins intensifs dans un établissement proche de Dublin, Gaïdar avait regagné Moscou où il avait été hospitalisé. Les médecins ne sont pas parvenus à poser de diagnostic.Si l'ancien réformateur libéral, âgé de 50 ans, a critiqué la politique économique de Poutine, il n'en est pas un véritable adversaire. <a href="http://www.plastral.fr/echarpeburberrypascher/" rel="nofollow" title="echarpe burberry occasion femme">echarpe burberry occasion femme</a> <br /> Le maître du Kremlin a pris le soin de lui téléphoner, mercredi, pour prendre de ses nouvelles.Pendant ce temps, la piste radioactive du polonium 210, substance qui a mortellement contaminé Alexandre Litvinenko, mène désormais les enquêteurs de Scotland Yard jusque dans des avions de British Airways. « De très faibles traces de substances radioactives » ont été détectées dans deux Boeing 767 de British Airways, a annoncé la compagnie britannique. Les deux appareils ont été ciblés par les enquêteurs de la section antiterroriste de Scotland Yard car ils ont été empruntés par des contacts de Litvinenko.Un troisième Boeing 767 de British Airways était immobilisé hier à l'aéroport moscovite de Domodedovo, en attente d'inspection. C'est cet avion qu'aurait emprunté, le 3 novembre, Andreï Lougovoï, l'une des personnes qui ont rencontré Alexandre Litvinenko le 1er novembre, jour où l'ancien officier russe est tombé malade. Lougovoï, ancien agent subalterne du KGB reconverti dans les affaires, devait être entendu par Scotland Yard à Moscou cette semaine.</div>

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