C'est vrai que cela fait désordre, quelqu'un qui peut s'endormir brutalement, à tout moment, pour sombrer dans un sommeil plein de rêves. A l'école comme dans un conseil d'administration. Et au volant, les conséquences peuvent être dramatiques. Pourtant, les narcoleptiques n'y peuvent rien. La narcolepsie est une maladie rare, puisqu'elle ne concerne que 0,02% environ de la population. Pour la définir, plusieurs critères sont indispensables : la somnolence diurne, qui se traduit par un endormissement, généralement en situation passive mais aussi parfois en pleine activité, comme pendant la conduite automobile ou la marche ; la paralysie des muscles, sans que le cerveau soit affecté (cataplexie) : lors d'une émotion (généralement positive), le narcoleptique va se figer ou tomber, incapable de mobiliser ses muscles ; la paralysie du sommeil, au matin : le cerveau a retrouvé toutes ses facultés de veille, mais le corps refuse de suivre, situation particulièrement angoissante. La pathologie apparaît généralement vers l'adolescence, ou entre 25 et 30 ans. longchamp pliage soldes pas cher Mais elle peut aussi se manifester chez de jeunes enfants. « On connaît désormais le circuit cérébral, dit le Dr Isabelle Arnulf, de l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière, qui est responsable de la maladie : un neurotransmetteur, appelé orexine (ou hypocrétine) a disparu. On pense qu'il s'agit d'une réaction auto-immune, c'est-à-dire que l'organisme combat ses propres cellules, par exemple, comme si elles étaient des agresseurs, bactéries ou virus.»Un peu comme lorsqu'on développe une allergie. Ce qui donne l'idée d'une nouvelle voie de recherches : faire diminuer cette «réaction allergique». Mais aujourd'hui, la principale parade à la narcolepsie est une molécule chargée d'histoire : c'est le modafinil, la fameuse «pilule anti-sommeil» longtemps réservée aux militaires et destinée à augmenter leurs performances. « C'est ce que l'on prescrit dans 70% des cas», ajoute Isabelle Arnulf. sac lancel bb pas cher Seul problème, mais de taille : les traitements, aujourd'hui, ne sont que symptomatiques. Ils permettent d'améliorer considérablement les conditions de vie d'un narcoleptique, mais ne le guérissent pas. Dès l'arrêt du traitement, les troubles recommencent. L'année 2008 pourrait bien voir sa première Journée de la plaie. La conférence «Plaies et cicatrisations» *, qui se déroulera à Paris du 14 au 16 janvier 2007, devrait en être le prélude. Il faut dire qu'en France, 1,5 million de personnes sont concernées par des plaies qualifiées de sérieuses, nécessitant des soins hospitaliers. Il peut s'agir de plaies aiguës (coupures, morsures, brûlures. sac hermes neuf pas cher ..) ou de plaies chroniques (escarres, plaies provenant d'ulcères, plaies du pied du diabétique...).Pour les traiter, on dispose aujourd'hui d'un arsenal de pansements révolutionnaires.
Mais elle peut aussi se manifester chez de jeunes enfants. « On connaît désormais le circuit cérébral, dit le Dr Isabelle Arnulf, de l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière, qui est responsable de la maladie : un neurotransmetteur, appelé orexine (ou hypocrétine) a disparu. On pense qu'il s'agit d'une réaction auto-immune, c'est-à-dire que l'organisme combat ses propres cellules, par exemple, comme si elles étaient des agresseurs, bactéries ou virus.»Un peu comme lorsqu'on développe une allergie. Ce qui donne l'idée d'une nouvelle voie de recherches : faire diminuer cette «réaction allergique». Mais aujourd'hui, la principale parade à la narcolepsie est une molécule chargée d'histoire : c'est le modafinil, la fameuse «pilule anti-sommeil» longtemps réservée aux militaires et destinée à augmenter leurs performances. « C'est ce que l'on prescrit dans 70% des cas», ajoute Isabelle Arnulf. sac lancel bb pas cher Seul problème, mais de taille : les traitements, aujourd'hui, ne sont que symptomatiques. Ils permettent d'améliorer considérablement les conditions de vie d'un narcoleptique, mais ne le guérissent pas. Dès l'arrêt du traitement, les troubles recommencent. L'année 2008 pourrait bien voir sa première Journée de la plaie. La conférence «Plaies et cicatrisations» *, qui se déroulera à Paris du 14 au 16 janvier 2007, devrait en être le prélude. Il faut dire qu'en France, 1,5 million de personnes sont concernées par des plaies qualifiées de sérieuses, nécessitant des soins hospitaliers. Il peut s'agir de plaies aiguës (coupures, morsures, brûlures. sac hermes neuf pas cher
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