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started by masquebf2 on 31 Dec 14
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    Les Tchadiens de la Fomuc ont repris hier la route du sud. Aussi, pour éviter que l'armée centrafricaine ne laisse à nouveau le terrain et son matériel aux rebelles, en cas de nouveau « round », les Français vont laisser un détachement à Birao. En attendant la saison des pluies - qui rend les rezzous sur Bangui impossibles - ou le déploiement encore hypothétique d'une force internationale dans le prolongement de la frontière soudano-tchadienne. BELGE, Michel Campion a 58 ans, dont près d'un demi-siècle de présence au Rwanda. Avant le génocide de 1994, il tenait l'hôtel Ibis de Butaré. Entendu par la commission d'enquête mise sur pied par Kigali afin de « rassembler les preuves de l'implication de l'État français dans le génocide perpétré au Rwanda en 1994 », il témoigne, dans son récit, d'une proximité entre des soldats français venus instruire les anciennes forces armées rwandaises (FAR) et leurs élèves qui, plus tard, seront impliqués dans le génocide.Son récit commence en 1992, lorsque Paris met en place un programme de formation et de soutien à une armée rwandaise (FAR) en mauvaise posture face aux rebelles tutsis du Front patriotique rwandais (FPR) de Paul Kagamé. sac lancel bb pas cher
    « La coopération militaire française était très active à l'école des sous-officiers de Butaré, se souvient Michel Campion. Il y avait en permanence de 100 à 120 soldats français. Chaque contingent restait une quinzaine de jours. »Un jour, une bagarre éclate entre les soldats français et les étudiants tutsis de Butaré. « Les étudiants, se souvient Michel Campion, avaient donné un surnom aux soldats français. Ils les appelaient « les Interahamwé (des milices, NDLR) de Mitterrand ». Mon hôtel a été ravagé. doudoune ralph lauren pas cher Pendant la bagarre, j'ai entendu un militaire français lancer :»Enfin, on va se faire du Tutsi.* » Les dégâts m'ont été remboursés mais les soldats français ne sont plus venus manger. »L'aubergiste se souvient avoir été arrêté un jour, à l'entrée de Kigali, par un barrage tenu par des soldats français et des gendarmes rwandais.Massacres de Tutsis« Je venais de prendre en stop un Tutsi. Nous avons été arrêtés à un check point. Le militaire français a demandé à mon passager sa carte d'identité. Il a vu la mention Tutsi et lui a dit :»Toi, sors de la voiture et va t'asseoir avec tes frères. ralph lauren rugby pas cher
    * » Une douzaine de personnes étaient assises sur le bas-côté ». Le Belge peste : « Vous vous croyez où ici ? En département d'outremer ? » Le soldat français part chercher un sous-lieutenant qui autorise Campion, finalement, à partir avec son passager.Le témoignage de Michel Campion n'est pas unique. Un ancien bourgmestre de la ville de Gikongoro raconte, longuement, l'étonnante proximité entre les militaires français et ceux qui, plus tard, seront accusés de génocide. Ou encore, un ancien soldat des Forces gouvernementales (Far) fait part de son expérience lors des combats de Byumba en 1992 en compagnie de soldats français. Pour autant, de nombreux témoignages recueillis par cette commission à l'intitulé douteux apparaissent, pour le moins, faibles.Visée directement, la France a réagi avec vigueur.

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