Et depuis le début de l'année, six millions de visiteurs sont allés s'incliner sur sa tombe, au mausolée d'Anitkabir à Ankara. LA PANIQUE s'empare des urgences de l'hôpital Chifa alors qu'une ambulance franchit le portail d'entrée. Les médecins et les infirmiers se plaquent au sol, au lieu de se précipiter vers l'extérieur pour porter secours aux blessés. Le doigt sur la gâchette de leurs M-16, les « policiers » encagoulés de la force exécutive du Hamas braquent le véhicule, avant d'identifier les occupants, qui appartiennent aux Brigades Ezzedine al-Qassam, la branche armée de leur mouvement. Menaçant les autres patients et le personnel médical avec leurs lance-roquettes RPG et leurs fusils d'assaut, les militants du Hamas escortent leurs camarades à l'intérieur.«J'ai dû ramper sous les tirs»Une fois l'effervescence de ce débarquement passée, médecins et infirmiers du principal hôpital de Gaza se relèvent prudemment pour soigner les blessés. Les regards inquiétants, qui percent à travers les orifices découpés dans les passe-montagnes noirs, naviguent entre la porte et les médecins. doudoune ralph lauren pas cher Les canons sont braqués vers l'extérieur et ordre est donné de fermer les portes. « Je n'en peux plus, chuchote un médecin urgentiste. J'ai demandé ma mutation dans un autre service. Je vais finir par me faire tuer si je continue comme ça. Ce matin, j'ai dû ramper sous les tirs, pour venir au travail. » Plusieurs impacts de balles constellent les murs et le plafond des urgences.Des combats ont éclaté, hier matin à Chifa, entre des policiers fidèles au Hamas et des agents des services de renseignements fidèles au président Mahmoud Abbas. doudoune lacoste pas cher Un policier du Hamas a été tué et onze autres personnes ont été blessées dans la fusillade, survenue à l'entrée ainsi qu'à l'intérieur du complexe de l'hôpital. La confrontation a éclaté quand les hommes de la force exécutive ont tenté d'arrêter des agents des forces de sécurité, qu'ils soupçonnent d'avoir pris part à d'autres combats. La force exécutive, qui s'est déployée à Chifa quelques semaines après l'arrivée au pouvoir du Hamas, pour protéger l'établissement, l'a transformé en position militaire. Ses hommes en armes sont déployés sur le toit et filtrent les entrées.Redoutant de nouvelles fusillades, de nombreux patients souhaitent quitter l'hôpital. Mohammed Hassani tente de convaincre les médecins de laisser sortir son frère Hossam, 23 ans, qui s'est accidentellement tranché la main avec un couteau. Mohammed explique qu'il a dû plaquer Hossam, hospitalisé dans le service d'orthopédie, contre le mur, sous les fenêtres de la chambre, pendant deux heures, pour éviter les balles ce matin. hermes birkin neuf pas cher « Hossam est venu à Chifa pour se faire soigner, pas pour s'y faire tuer, raconte Mohammed. Normalement, les armes devraient être interdites à l'hôpital. Même les Israéliens n'ont jamais osé investir l'hôpital lors de leurs incursions. » Avec les affrontements interpalestiniens, ce sanctuaire s'est transformé en champ de bataille. Les hommes en armes du Fatah et du Hamas finissent de régler leurs comptes dans les couloirs de l'établissement. Hier matin, les hommes de la force exécutive ont interdit à deux blessés du Fatah de quitter Chifa, pour se faire soigner dans un environnement plus serein. « Ils sont ici en détention », ont décrété les « policiers » du Hamas, pour justifier leur refus, selon les médecins.
Les canons sont braqués vers l'extérieur et ordre est donné de fermer les portes. « Je n'en peux plus, chuchote un médecin urgentiste. J'ai demandé ma mutation dans un autre service. Je vais finir par me faire tuer si je continue comme ça. Ce matin, j'ai dû ramper sous les tirs, pour venir au travail. » Plusieurs impacts de balles constellent les murs et le plafond des urgences.Des combats ont éclaté, hier matin à Chifa, entre des policiers fidèles au Hamas et des agents des services de renseignements fidèles au président Mahmoud Abbas. doudoune lacoste pas cher Un policier du Hamas a été tué et onze autres personnes ont été blessées dans la fusillade, survenue à l'entrée ainsi qu'à l'intérieur du complexe de l'hôpital. La confrontation a éclaté quand les hommes de la force exécutive ont tenté d'arrêter des agents des forces de sécurité, qu'ils soupçonnent d'avoir pris part à d'autres combats. La force exécutive, qui s'est déployée à Chifa quelques semaines après l'arrivée au pouvoir du Hamas, pour protéger l'établissement, l'a transformé en position militaire. Ses hommes en armes sont déployés sur le toit et filtrent les entrées.Redoutant de nouvelles fusillades, de nombreux patients souhaitent quitter l'hôpital. Mohammed Hassani tente de convaincre les médecins de laisser sortir son frère Hossam, 23 ans, qui s'est accidentellement tranché la main avec un couteau. Mohammed explique qu'il a dû plaquer Hossam, hospitalisé dans le service d'orthopédie, contre le mur, sous les fenêtres de la chambre, pendant deux heures, pour éviter les balles ce matin. hermes birkin neuf pas cher
« Hossam est venu à Chifa pour se faire soigner, pas pour s'y faire tuer, raconte Mohammed. Normalement, les armes devraient être interdites à l'hôpital. Même les Israéliens n'ont jamais osé investir l'hôpital lors de leurs incursions. » Avec les affrontements interpalestiniens, ce sanctuaire s'est transformé en champ de bataille. Les hommes en armes du Fatah et du Hamas finissent de régler leurs comptes dans les couloirs de l'établissement. Hier matin, les hommes de la force exécutive ont interdit à deux blessés du Fatah de quitter Chifa, pour se faire soigner dans un environnement plus serein. « Ils sont ici en détention », ont décrété les « policiers » du Hamas, pour justifier leur refus, selon les médecins.
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