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started by descendants1 descendants1 on 10 Oct 14
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    Il est très mystérieux". Plusieurs galeries ont en effet été identifiées dont une menant à une ancienne citadelle et une aux bains romains situés à proximité. Le constat des experts fait état quant à lui d'un labyrinthe sinueux composé de donjons secrets construits "comme une (...) Plongée : et si on comptait les poissons ? La proposition est sérieuse et séduit les plongeurs depuis plus de dix ans : participer, avec les équipes scientifiques de l'association Peau-Bleue, aux programmes de recensement des poissons qu'elle conduit en différents océans et mers du globe.Initiés en 2003 sur les côtes égyptiennes de la mer Rouge, les programmes Fish Watch intéressent aujourd'hui d'autres contrées de l'océan Indien, comme Djibouti ou l'île de Nosy Be (Madagascar), mais aussi l'océan Pacifique, à l'image des dernières missions organisées en Indonésie (île de Sulawesi) ou dans l'archipel des Philippines (Cebu, aux Visayas), qui ont rassemblé chacune une quinzaine d'éco-volontaires. basket lacoste pas cher
    Le succès de la formule est simple : inutile d'être expert en biologie marine pour devenir éco-volontaire, il suffit d'être autonome en plongée sous-marine. « Le fish watching, c'est observer et étudier les poissons, comme d'autres observent les oiseaux ou les baleines », explique Patrick Louisy, responsable scientifique de l'association Peau-Bleue et directeur des missions.Alors, c'est aussi simple que cela, se mettre à l'eau et regarder les poissons ? Presque. Car il faut pouvoir s'y retrouver : sur quels critères identifier un poisson, comment reconnaître les principales familles, comment distinguer chez une même espèce les mâles des femelles ou des juvéniles ?Chaque voyage consacre les deux premiers jours à familiariser les volontaires à ces questions, avec exercices pratiques en plongée. Place ensuite à l'étude proprement dite : il peut s'agir de recenser des espèces par type d'habitat (en affectant chacune d'un « indice de présence » : très rare ou accidentelle dans l'habitat considéré, normalement présente, caractéristique ou abondante), ou de procéder, par la méthode de transects*, à des études quantitatives des peuplements de poissons (répertoriés par grands groupes ou familles, (... doudoune lacoste pas cher ) Du jamais vu : la Nasa repère une éruption 10 000 fois plus puissante que toutes les explosions solaires déjà observées L'éruption qui s'est produite au mois d'avril sur une étoile naine rouge a même surpris les scientifiques.L'univers a encore de nombreux secrets. Pour preuve, qui a déjà entendu parler de DG Canum Venaticorum, un système stellaire binaire situé à 60 années-lumière de la Terre ? Et pourtant les chercheurs de la Nasa ont observé l'éruption la plus puissante, la plus chaude et la plus longue jamais observée. Même le soleil n'a pas fait mieux !Le 23 avril, le satellite Swift de la Nasa a repéré une étoile, une petite naine rouge vieille de 30 millions d'années, qui a libéré une série d'éruptions. "Nous pensions que cette série allait durer une journée, mais Swift a détecté au moins sept éruptions sur une durée de deux semaines", commente Stephen Drake, astrophysicien à la Nasa. Un "super flare" qu'il qualifie "d'évènement complexe".Complexe voir exceptionnel. polo lacoste pas cher
    Normalement le satellite Swift ne détecte pas les éruptions qui ont lieu sur les étoiles voisines. Pour se faire une idée, le record pour une éruption solaire est 10 000 fois inférieur : en novembre 2003, les spécialistes recensaient un phénomène classé X 45. "L'éruption (qui s'est produite en avril), si elle avait été libérée par une planète située à la même distance que celle entre la Terre et le Soleil aurait été de classe X 100 000", poursuit l'astrophysicien.Une aubaine que l'éruption se soit produite à 60 années-lumière. Au plus fort de l'épisode, la chaleur a atteint 200 millions degrés Celsius, soit douze fois plus qu'au centre du soleil. Toutefois Swift n'a pas pu déterminer de quelle étoile du système DG Canum Venaticorum provenait les explosions : les deux étoiles composant le système stellaire binaire étant trop proches en distance.Cet épisode a surpris même chez les scientifiques de la Nasa.

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