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started by stlwdwl1 on 24 Sep 14
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    Pourtant, par une confidence au Journal du Dimanche, l'ancien président a relancé les spéculations sur ses intentions réelles : "Si je réussis cette nouvelle formation, ils (Juppé et Fillon) ne pourront plus me rattraper". En clair, plus besoin de départager les prétendants à la présidentielle."L'article 34 implique, comme pour la primaire du PS en 2011, que tout électeur peut venir voter. Avec cette procédure, Alain Juppé bat Nicolas Sarkozy", estime le politologue Thomas Guénolé."Si ce dernier reprend maintenant l'UMP, c'est parce qu'il s'agit de sa dernière fenêtre de tir pour essayer de faire sauter l'article", ajoute-t-il.Une source proche de la direction de l'UMP envisage une autre stratégie : "Sarkozy va faire croire que la primaire aura lieu mais il fera tout, avec son ouverture au centre, pour que les sondages l'imposent aux autres, jusqu'à rendre la primaire inutile. Donc il n'y aura pas de primaire si tout se passe bien pour lui. sac longchamp pliage pas cher grand
    "En octobre 2011, la "primaire citoyenne" du Parti socialiste avait réuni près de 2,7 millions de votants au premier tour et 2,9 millions au second tour."Nicolas Sarkozy ne pourra pas faire les primaires tout seul, ça ne marchera pas. Si le but est de faire voter les 175.000 militants de l'UMP, ce n'est pas la peine, ils l'auront fait en décembre prochain", déclare Alain Juppé dans Sud Ouest.SARKOZY "NE LÂCHERA PAS" LA PRIMAIRE Le maire de Bordeaux, candidat déclaré à la primaire avec François Fillon et Xavier Bertrand, souhaite ouvrir le scrutin à l'UDI et au MoDem afin d'éviter une dispersion des candidatures qui "pourrait entraîner un deuxième tour entre le candidat socialiste et Marine Le Pen"."Je sais très bien que beaucoup de militants de l'UMP ne comprennent pas que je souhaite travailler avec le MoDem, car ils ont toujours en travers de la gorge la prise de position de Bayrou au moment de l'élection présidentielle", souligne Alain Juppé. Le président du MoDem s'était prononcé pour François Hollande au second tour de la présidentielle de 2012. dihommeion sac longchamps taille m "Oui, il a fait une erreur. Mais, aujourd'hui, sa position à l'égard du pouvoir socialiste est claire", assure Alain Juppé.Claude Guéant, fidèle de Nicolas Sarkozy, est sceptique."Je pense que les militants de l'UMP auront quand même un regard attentif sur ce que sont des primaires ouvertes, ils n'ont pas envie que le candidat de l'UMP soit désigné par les socialistes", a-t-il dit lundi sur BFM TV.Face à ces déclarations lourdes d'ambiguïtés, les soutiens de l'ancien président jouent l'apaisement ou la distance."Il m'a garanti qu'il ne lâcherait pas les primaires", a déclaré sur BFM TV Nathalie Kosciusko-Morizet, qui milite pour sa part pour des primaires ouvertes au-delà du centre."Les primaires viendront, elles viendront en leur temps" mais "je voudrais quand même qu'on mesure le danger du côté indécent qu'il y a à ne parler que de la primaire", a dit Laurent Wauquiez sur Radio Classique et LCI. longchamp pas cher sac soldes
    Manuel Valls défend ses réformes devant le patronat allemand Manuel Valls s'est livré mardi devant le patronat allemand à un plaidoyer en faveur des réformes mises en oeuvre par son gouvernement, s'insurgeant contre la caricature d'une France droguée à la dépense publique et incapable de se réformer.Le Premier ministre, dont l'entourage a confié qu'il présenterait bientôt un "agenda" de réformes, a tenté de battre en brèche l'idée selon laquelle son gouvernement refuserait de mettre en oeuvre des réformes structurelles de grande ampleur."Je sais qu'il y a chez vous cette expression qui dit que la France refuse de se réformer", a dit Manuel Valls, invité de la puissante fédération allemande de l'industrie."Oui, la France avance", a-t-il lancé devant un parterre de chefs d'entreprise qui l'ont applaudi quand il a rappelé le plan de 50 milliards d'euros d'économies que son gouvernement compte mettre en oeuvre d'ici 2017.Rejetant "les clichés", Manuel Valls a assuré que son engagement socialiste n'était en rien incompatible avec une politique de l'offre pour doper la compétitivité."J'aime les entreprises", a-t-il lancé en allemand, s'amusant des critiques suscitées par la même profession de foi prononcée lors de l'université d'été du Medef en août dernier.Réforme territoriale, baisse des charges pour les entreprises, stimulation de la concurrence : Manuel Valls a passé en revue l'ensemble de sa politique économique tout en marquant la spécificité française par rapport aux réformes du marché du travail mises en oeuvre il y a une décennie par le chancelier social-démocrate Gerhard Schröder.

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