L'association a heureusement pu compter sur le soutien de la commune du Rheu et d'une soixantaine (...)Michaël Guigou, ailier gauche de l'équipe de France Déçu d'avoir perdu la finale face aux Danois, l'ailier tricolore, désormais triple médaillé olympique, triple champion du monde et triple champion d'Europe, cherche à relativiser. Quelle saveur a cette médaille d'argent ? MICHAËL GUIGOU . Elle en a une très bonne, quand même. On a fait un très bon tournoi, face à des équipes qui avaient toutes envie de nous battre. collier infini or blanc Ça a été dur contre l'Allemagne, ça a été dur tout le temps. On sait que ça se joue à rien à chaque fois. On était partis pour conquérir un 3 e titre olympique, on a tout donné mais les Danois ont été meilleurs. Que vous a-t-il manqué ? On a essayé de puiser dans nos ressources mentales, on a essayé d'être en forme physiquement. C'est peut-être parce qu'on s'est beaucoup donnés tout au long de la compétition qu'on a manqué quelques balles ce soir (NDLR : hier soir) ou le pas nécessaire en défense pour faire la différence. On aurait dû faire plus de décalages. Ce n'est pas nous tout ça. plaque d'identification militaire C'est pourquoi je pense qu'il nous a manqué de la lucidité et peut-être un petit poil d'envie en plus par rapport à nos adversaires. Des trois campagnes olympiques (2008, 2012 et 2016), était-ce la plus compliquée ? Cela a tout le temps été difficile. Il y a quatre ans à Londres, on avait gagné sur un but inscrit à la dernière seconde contre l'Espagne, de deux buts contre la Croatie. A Pékin en 2008, on l'avait emporté contre les Russes en quarts, en jouant avec le souvenir de la défaite contre eux en 2004. Les JO, c'est toujours une dure bataille. Les Français avaient pris l'habitude de voir les Experts gagner.. plaque d'identification militaire francaise . (Il sourit.) C'est un premier échec, c'est dur, mais perdre une finale sur neuf ou sur dix, pour les plus anciens, ce n'est pas mal, non ? Rien que pour ça, on ne peut qu'être fiers de ce qu'on a fait à Rio. On a fait tellement de belles choses (...)Par Rio (Brésil) De l'un de nos envoyés spéciaux Propos recueillis par Éric Michel il y a 3 heures Rio 2016, Brahim Asloum : «Tony et Estelle, toute la planète va nous les envie» .
Ça a été dur contre l'Allemagne, ça a été dur tout le temps. On sait que ça se joue à rien à chaque fois. On était partis pour conquérir un 3 e titre olympique, on a tout donné mais les Danois ont été meilleurs. Que vous a-t-il manqué ? On a essayé de puiser dans nos ressources mentales, on a essayé d'être en forme physiquement. C'est peut-être parce qu'on s'est beaucoup donnés tout au long de la compétition qu'on a manqué quelques balles ce soir (NDLR : hier soir) ou le pas nécessaire en défense pour faire la différence. On aurait dû faire plus de décalages. Ce n'est pas nous tout ça. plaque d'identification militaire C'est pourquoi je pense qu'il nous a manqué de la lucidité et peut-être un petit poil d'envie en plus par rapport à nos adversaires. Des trois campagnes olympiques (2008, 2012 et 2016), était-ce la plus compliquée ? Cela a tout le temps été difficile. Il y a quatre ans à Londres, on avait gagné sur un but inscrit à la dernière seconde contre l'Espagne, de deux buts contre la Croatie. A Pékin en 2008, on l'avait emporté contre les Russes en quarts, en jouant avec le souvenir de la défaite contre eux en 2004. Les JO, c'est toujours une dure bataille. Les Français avaient pris l'habitude de voir les Experts gagner.. plaque d'identification militaire francaise
. (Il sourit.) C'est un premier échec, c'est dur, mais perdre une finale sur neuf ou sur dix, pour les plus anciens, ce n'est pas mal, non ? Rien que pour ça, on ne peut qu'être fiers de ce qu'on a fait à Rio. On a fait tellement de belles choses (...)Par Rio (Brésil) De l'un de nos envoyés spéciaux Propos recueillis par Éric Michel il y a 3 heures Rio 2016, Brahim Asloum : «Tony et Estelle, toute la planète va nous les envie» .
To Top