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started by masquebf on 13 Nov 14
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    « Ils ont un sentiment d'urgence, ils veulent transmettre leur histoire et ils se sont battus dans une guerre populaire », explique Michael Russert, ancien professeur d'histoire.Les soldats qui reviennent d'Irak sont en revanche difficiles à convaincre. « Trop proche, trop frais », résume Wayne Clark. « Ils sont trop jeunes pour se rendre compte qu'ils ont fait partie de l'Histoire », ajoute Russert.Guerre asymétriqueEux, pourtant, sont conscients du besoin d'archiver le passé. Les historiens n'hériteront pas de la correspondance de cette première génération de vétérans à utiliser Internet. D'autres institutions américaines, comme la bibliothèque du Congrès et le Purple Heart Museum, planchent sur des projets similaires au leur. basket nike pas chere de chine
    Le Musée de l'histoire militaire est installé dans les bâtiments de la garde nationale de l'État de New York. Au fond de la dernière salle, le petit studio gris capitonné dans lequel les deux hommes conduisent les interviews. Un jour, Kevin Lyons, un jeune GI de retour d'Irak, visitait le musée. Les deux hommes lui ont sauté dessus pour l'interroger. Sur la vidéo, il raconte l'euphorie du retour : un ancien du Vietnam était même venu accueillir les GI à l'aéroport militaire, leur distribuant des piles de hamburgers achetés de sa poche au McDo, pour que la génération de soldats d'aujourd'hui soit mieux accueillie que celle du Vietnam. Il se souvient aussi de l'anniversaire manqué de son fils. Parfois les images sont raccordées brutalement : Michael Russert éteint la caméra quand un vétéran se met à pleurer. chaussure de foot pas chere nike Parce qu'ils sont en terrain ami, les militaires se confient facilement. Sur une autre vidéo, le général Joseph Taluto, en Irak en 2004 et 2005 avec la 42e division d'infanterie, explique qu'il revient d'une « guerre asymétrique » : « C'est un front à 360 degrés, qui vous encercle. » Contrairement à l'idée couramment répandue, il trouve que c'est une bonne chose d'envoyer des réservistes en Irak plutôt que des soldats de l'active. « Les réservistes sont plus âgés, ils ont eu une vie civile. Or c'est de compétences civiles dont on a besoin aujourd'hui en Irak. » Il explique qu'il avait de « merveilleuses relations avec les gouverneurs des provinces irakiennes » et avec les leaders locaux. C'est la confiance de la base de la population que l'armée n'arrive pas à gagner. doudoune nike pas chere
    Parce qu'ils craignent les représailles, selon lui, « les gens se sentent exposés s'ils côtoient les forces américaines ».Le général a raconté ses histoires d'Irak devant la caméra du musée pour encourager le projet d'histoire orale. Michael Russert et Wayne Clark espèrent que son concours incitera les GI de l'État de New York à oser faire de même. HANIZA a encore du mal à y croire. Les élections qui se déroulent à Aceh, la province la plus au nord de l'île indonésienne de Sumatra, lui « semblent totalement irréelles. Il y a deux ans, nous vivions sous le régime de la loi martiale », explique cette mère de famille achénaise. « L'armée nous contrôlait en permanence, et les violences étaient quasi quotidiennes ».

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