Skip to main content

Home/ Digital Ethnography at Kansas State University/ chausses burberry pas cher Des
descendants1 descendants1

chausses burberry pas cher Des - 0 views

basket burberry pas cher chausses polo soldes

started by descendants1 descendants1 on 11 Aug 14
  • descendants1 descendants1
     
    Il s'appuie sur un groupe de proches collaborateurs, souvent des anciens camarades de fac ou ex-collègues d'Urenco. On y retrouve des Allemands, des Suisses ou des Britanniques. Pour traiter discrètement avec des fournisseurs très surveillés - notamment les contractants d'Urenco - il crée des dizaines de sociétés écrans. Des milliers de centrifugeuses sont construites, une usine d'enrichissement d'uranium créée. En mai 1998, le Pakistan procède à six essais nucléaires dans le désert du Baloutchistan. Même s'il est loin d'être le seul artisan de ce succès, Khan atteint le faîte de sa gloire.Missiles contre nucléaireAprès l'import, l'export. basket burberry pas cher
    Avec trois relais principaux - les Emirats arabes unis, la Malaisie et l'Afrique du Sud - le réseau Khan va se muer en entreprise multinationale, capable de fournir à ses clients toute la palette des outils nécessaires à la marche vers le nucléaire militaire : des produits finis comme des centrifugeuses, des machines outils servant à en fabriquer les composants, des plans ou des savoir-faire. La firme a un « directeur-général », le bras droit de Khan, un Sri-lankais du nom de Buhary Seyed Abou Tahir. Le premier client du réseau sera l'Iran. A cette époque, le programme nucléaire lancé sous le Shah piétine. En 1987, dans de luxueux hôtels du Golfe, se négocie la fourniture de schémas et de pièces détachées de centrifugeuses P1 (la plus rustique) ainsi que le plan d'une usine d'enrichissement d'uranium. Au milieu des années 90, cette coopération s'intensifie. Avec Téhéran, le deal porte d'ailleurs aussi sur le pétrole et les armes conventionnelles. chausses burberry pas cher Des plans de centrifugeuses plus sophistiquées, les P2, sont alors fournis. Ainsi que, semble-t-il, des technologies permettant la militarisation des charges. Les experts font aussi remarquer une troublante ressemblance entre le réacteur iranien d'Arak et le réacteur pakistanais de Khushab.Sur sa lancée, quelques semaines après l'invasion du Koweït, A. Q. Khan propose ses services à Saddam Hussein. Curieusement, le marché ne se fera pas. polo burberry soldes
    Par contre, la multinationale de l'atome accroche le client nord-coréen. Au milieu des années 90, obligé de geler sa filière plutonium pour cause d'accord avec Washington, Kim Il-Sung est ravi de pouvoir monter une autre filière clandestine, avec les plus discrètes centrifugeuses du docteur Khan. Ce dernier aurait lui-même fait au moins dix fois le voyage à Pyongyang. Les échanges, ici, se font dans les deux sens. Nucléaire contre balistique. Les Nord-Coréens fournissent au Pakistan des missiles chinois Nodong, rebaptisés Ghauri par Islamabad. Dans l'autre sens, on sait depuis trois semaines que les transferts de technologie atomique vers Pyongyang sont allés bien plus loin qu'on l'imaginait.

To Top

Start a New Topic » « Back to the Digital Ethnography at Kansas State University group