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started by qfqxbyf1 on 10 Nov 14
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    « Ils ne cher­cheront pas à amadouer Chavez, mais les échanges commerciaux et pétroliers continueront, parce que aucun côté n'a vraiment le choix », prédit Michael Shifter. Le Venezuela exporte 60 % de son pétrole aux États-Unis, où il représente 11 % des importations. Un rapport du Council on Foreign Relations préconise d'« ignorer les gesticulations » du disciple de Fidel Castro, qui « aboie plus fort qu'il ne mord ». C'est déjà la ligne suivie par le département d'État, avec l'approbation des pétroliers américains.Un risque de contagion du phénomène Chavez pourrait-il amener Washington à changer de ligne ? « Son rapprochement avec l'Iran pose un problème, reconnaît Shifter, et je ne vois pas les démocrates être plus mous là-dessus que les républicains. » Mais les experts estiment que les États-Unis auraient tort d'intervenir, leur meilleure carte restant la neutralité : le chantre de la révolution bolivarienne « a montré un talent pour s'isoler lui-même, assure ­Johnson à l'Heritage, plutôt classé à droite. Le mieux est de le laisser tisser la corde pour se pendre. echarpe hermes homme pas cher
    » Le vice-président de l'Inter-American Dialogue, plus à gauche, approuve : « Chavez n'est pas suivi par grand monde en Amérique latine » et, s'il persiste dans sa lubie de s'octroyer la présidence à vie, dit Shifter, « il aura perdu toute légitimité pour parler au nom de la démocratie ».La leçon vaut aussi pour Fidel Castro, proche de la fin au tournant de ses cinquante ans de règne. L'Administration Bush maintient un embargo strict qui n'a donné aucun résultat et que les producteurs de blé et de maïs américains voudraient voir assoupli. Mais leur lobby n'est pas particulièrement influent chez les démocrates et « il leur manque la passion qui anime l'autre camp », celui des Cubains-Américains attendant en Floride la chute du ­Lider Maximo. Quand ce jour sera venu, les États-Unis devront « entièrement repenser leur politique en faveur d'une approche gra­duelle », prévient Shifter. C'est là que les démocrates peuvent se mettre à l'écoute du continent : « Nous sommes englués dans le ­populisme, la plus vieille tradition politique de l'humanité, a déploré l'écrivain péruvien Mario Vargas Llosa lors d'une conférence jeudi à Washington. La bataille des idées reste à gagner en Amérique latine. carre hermes pas cher »* Correspondant du Figaro aux États-Unis.« Tous ces représentants d'une gauche populisteont fait campagne sur unerhétorique antiaméricaine » Vu de l'autre côté de la Méditerranée, la crise liba­naise met aux prises une opposition « prosyrienne », téléguidée par Damas et Téhéran, et un gouvernement « pro-occidental ». Une fois de plus, l'Occident affronterait ses adversaires par Libanais interposés. Y compris l'Iran, deuxième soutien du Hezbollah chiite après la Syrie.En outre, les manifestants auraient reçu la mission d'installer un gouvernement qui torpil­lerait le tribunal international ­rassemblant juges libanais et ­internationaux sous l'égide du ­Conseil de sécurité. Ce tribunal doit juger l'assassinat de l'ex- premier ministre Rafic Hariri en février 2005 et plusieurs autres meurtres ou tentatives qui l'ont précédé ou suivi. Le dernier en ­date est celui du ministre de l'Industrie Pierre Gemayel, 34 ans, tué en plein jour le 21 novembre dernier. carre hermes nouer
    Toutes les victimes étaient cataloguées « antisyriennes ».Les déclarations des acteurs eux-mêmes ne font rien pour démentir cette grille de lecture. Selon le Guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, le Liban sera le « lieu de la défaite » des États-Unis et d'Israël. La Syrie et l'Iran accusent la France et les États-Unis d'ingérence au Liban, et de vouloir y aggraver la situation.Quant aux Occidentaux, ils soutiennent à fond le gouvernement en place. Le ministre des ­Affaires étrangères britannique Margaret Beckett a aussitôt rendu visite au premier ministre assiégé. Autre puissant parrain du gouvernement actuel, le roi Abdallah d'Arabie saoudite a téléphoné à Fouad Siniora.

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