Et précisait : « Les télévisions ont été les seules à respecter la règle : elles auront une compensation. » Avant de se reprendre, devant l'air éberlué des journalistes : « C'était une plaisanterie. » Voire. Royal supporte de plus en plus mal les intrusions dans sa vie privée et la pression des journalistes politiques qui lui demandent des précisions sur ses déclarations. Lors de son voyage à la Réunion la semaine dernière, elle s'est beaucoup irritée que la presse nationale l'interroge sur les débats au PS plutôt que de s'intéresser à ses visites aux associations, et a préféré réserver à la presse locale ses déclarations de politique nationale. Avant de s'afficher avec la navigatrice Maud Fontenoy, qui a quitté l'île samedi pour son tour du monde à l'envers. L'occasion, une fois de plus, de faire de belles images. sacoche banane lacoste pas cher « LES CHOSES ne comptent qu'en vertu de l'importance qu'on leur accorde et je ne leur accorde aucune importance. » Hier, Nicolas Sarkozy a banalisé les déclarations explosives de Jean-Louis Debré. Voire les a tournées en ridicule. Il faut dire que le très chiraquien président de l'Assemblée nationale avait frappé fort. Dans les colonnes du JDD, il avait dénoncé « le dénigrement continu » auquel se livre, selon lui, le président de l'UMP.Au terme d'une semaine marquée par les escarmouches dans la majorité, ces propos ont mis le feu aux poudres. Et ont valu, en retour, une volée de bois vert à leur auteur. bob lacoste pas cher « Mécanicien en chef de la machine à faire perdre », pour Christian Estrosi, « vieux baron du gaullisme » dont les attitudes « excèdent » les députés, pour Nadine Morano, Jean-Louis Debré appartient, selon Éric Woerth, à la troupe des « snipers qui ne font pas une armée, mais peuvent la faire perdre ». « C'est un grognon obsessionnel », ironise Brice Hortefeux, en dénonçant « l'acharnement » des détracteurs de Nicolas Sarkozy à « vouloir faire perdre le meilleur ».Dans ce contexte explosif, chacun se présente comme la victime et accuse l'autre d'être « l'agresseur ». Debré, lui, assume ses propos et compte bien user de sa liberté, que cela plaise ou non au président de l'UMP. « Debré est courageux, il ne doit pas sa carrière à Sarkozy et quand il a quelque chose à dire, il le dit », fait valoir son entourage. Après le voyage controversé de Sarkozy aux États-Unis, « il a exprimé sur la politique extérieure ce que beaucoup disent tout bas » car « les déclarations de Washington en ont révulsé plus d'un à l'UMP ».« On fait à Debré un procès en sorcellerie inacceptable »Quant aux « voeux chaleureux » adressés à Ségolène Royal, l'entourage du président de l'Assemblée dément qu'il faille y voir un soutien à la candidate socialiste. lacoste pas cher chaussure « Jamais il ne votera pour elle. Il n'y a pas d'ambiguïté possible. » « On fait à Debré un procès en sorcellerie inacceptable », plaide le chiraquien Henri Cuq, qui ne voit dans cette phrase qu'une façon ironique de lui souhaiter « bienvenue au club » des prétendants à l'Élysée, où les coups sont rudes, y compris dans son propre camp.Les chiraquiens s'attendent à ce que les réunions du bureau et du groupe UMP, ce matin à l'Assemblée, soient tendues. Au point qu'Henri Cuq souhaite que le groupe UMP redevienne « un lieu de sérénité et de respect des différences ». « Arrêtons de transférer sur le groupe, dont la vocation est de soutenir l'action du gouvernement, les débats qui devraient avoir lieu à l'UMP », dit-il. La période n'est « pas marrante », résume le porte-parole du gouvernement, Jean-François Copé, appelant de ses voeux une « stabilisation ».
« LES CHOSES ne comptent qu'en vertu de l'importance qu'on leur accorde et je ne leur accorde aucune importance. » Hier, Nicolas Sarkozy a banalisé les déclarations explosives de Jean-Louis Debré. Voire les a tournées en ridicule. Il faut dire que le très chiraquien président de l'Assemblée nationale avait frappé fort. Dans les colonnes du JDD, il avait dénoncé « le dénigrement continu » auquel se livre, selon lui, le président de l'UMP.Au terme d'une semaine marquée par les escarmouches dans la majorité, ces propos ont mis le feu aux poudres. Et ont valu, en retour, une volée de bois vert à leur auteur. bob lacoste pas cher « Mécanicien en chef de la machine à faire perdre », pour Christian Estrosi, « vieux baron du gaullisme » dont les attitudes « excèdent » les députés, pour Nadine Morano, Jean-Louis Debré appartient, selon Éric Woerth, à la troupe des « snipers qui ne font pas une armée, mais peuvent la faire perdre ». « C'est un grognon obsessionnel », ironise Brice Hortefeux, en dénonçant « l'acharnement » des détracteurs de Nicolas Sarkozy à « vouloir faire perdre le meilleur ».Dans ce contexte explosif, chacun se présente comme la victime et accuse l'autre d'être « l'agresseur ». Debré, lui, assume ses propos et compte bien user de sa liberté, que cela plaise ou non au président de l'UMP. « Debré est courageux, il ne doit pas sa carrière à Sarkozy et quand il a quelque chose à dire, il le dit », fait valoir son entourage. Après le voyage controversé de Sarkozy aux États-Unis, « il a exprimé sur la politique extérieure ce que beaucoup disent tout bas » car « les déclarations de Washington en ont révulsé plus d'un à l'UMP ».« On fait à Debré un procès en sorcellerie inacceptable »Quant aux « voeux chaleureux » adressés à Ségolène Royal, l'entourage du président de l'Assemblée dément qu'il faille y voir un soutien à la candidate socialiste. lacoste pas cher chaussure
« Jamais il ne votera pour elle. Il n'y a pas d'ambiguïté possible. » « On fait à Debré un procès en sorcellerie inacceptable », plaide le chiraquien Henri Cuq, qui ne voit dans cette phrase qu'une façon ironique de lui souhaiter « bienvenue au club » des prétendants à l'Élysée, où les coups sont rudes, y compris dans son propre camp.Les chiraquiens s'attendent à ce que les réunions du bureau et du groupe UMP, ce matin à l'Assemblée, soient tendues. Au point qu'Henri Cuq souhaite que le groupe UMP redevienne « un lieu de sérénité et de respect des différences ». « Arrêtons de transférer sur le groupe, dont la vocation est de soutenir l'action du gouvernement, les débats qui devraient avoir lieu à l'UMP », dit-il. La période n'est « pas marrante », résume le porte-parole du gouvernement, Jean-François Copé, appelant de ses voeux une « stabilisation ».
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