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  #1 masquebf2 on 09 Dec 14

   

  C'est une évidence que personne n'a jamais contestée. Le problème est devenu beaucoup plus terre à terre : le gouvernement peut-il raisonnablement publier un décret de privatisation de Gaz de France en pleine campagne pour l'élection présidentielle, alors que cette opération n'est soutenue par aucun des deux favoris. Ségolène Royal, pour une fois en ligne avec le programme du Parti socialiste, y est farouchement opposée, proposant même une renationalisation de l'entreprise. Et, au diable l'avarice, celle d'EDF dans le même temps, soit une addition totale d'une petite vingtaine de milliards d'euros. Nicolas Sarkozy n'a, quant à lui, jamais caché son extrême réticence à l'égard d'un projet qui l'a contraint à revenir sur sa parole de ne pas privatiser Gaz de France.Compte tenu de la tournure des événements, qui relègue les intérêts des deux entreprises au second rang, il faut se demander si le temps n'est pas venu d'arrêter les frais. Si l'obstination à vouloir coûte que coûte passer en force, au risque de nouveaux désagréments, ne prépare pas des lendemains encore plus douloureux. sac hermes kelly pas cher
  Si, finalement, il ne vaut mieux pas se couper un bras maintenant plutôt que d'être emporté plus tard dans une tourmente beaucoup plus violente. Évidemment, une retraite, fût-elle en bon ordre, est difficile à admettre. Notamment au sein du gouvernement, qui ne peut s'exonérer de ses responsabilités dans une affaire mal partie depuis le premier jour. Mais il faut se rendre à l'évidence, neuf mois de soubresauts, de rebondissements, d'empoignades ont empêché la mayonnaise de prendre entre les deux groupes. Cohérente, mais semée d'embûches depuis son origine, parasitée par des pressions politiques de toutes sortes, cette fusion porte en germe les risques d'un échec que le Conseil constitutionnel a rendus très concrets. La raison recommande peut-être de dire « stop ». Les grandes idées de rassemblement ont la vie courte en politique. birkin 35cm pas cher L'idée d'une grande primaire populaire à gauche, comme en Italie, est vite tombée aux oubliettes, amnésie renforcée par l'investiture de Ségolène Royal comme candidate socialiste et la désunion de la gauche antilibé­rale. Puisque la gauche a manqué le coche de ce test grandeur nature, la balle est désormais dans le camp de la droite pour le mettre en oeuvre et rassembler ses forces. En effet, le nombre croissant de candidatures, dans et hors de l'UMP, rappelle la période encore proche de la profonde division de la droite... qui sonne comme le chant des sirènes.L'organisation de primaires populaires aurait l'avantage de mettre tous les candidats à égalité devant les sympathisants de droite. hermes pas cher
  Quoi de mieux pour prendre le pouls électoral, plutôt que de simples sondages ? De plus, ce serait l'occasion de vraiment déterminer clairement qui se situe dans quel camp, notamment en vue d'un futur gouvernement. On pourrait imaginer que les désignations de candidatures, au sein des partis, s'arrêtent pour procéder à ce caucus à la française. Ne nous faisons pas d'illusion là-dessus, les processus ­internes aux partis, UMP et UDF en tête, sont plus forts. Qu'à cela ne tienne, la désignation de candidats par les appareils renforcent l'intérêt pour cette primaire à l'italienne qui départagera les concurrents et consacrera le représentant unique de la droite... face à une gauche multiple, diverse, autrement dit « plurielle ».

   

  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">C'est une évidence que personne n'a jamais contestée. Le problème est devenu beaucoup plus terre à terre : le gouvernement peut-il raisonnablement publier un décret de privatisation de Gaz de France en pleine campagne pour l'élection présidentielle, alors que cette opération n'est soutenue par aucun des deux favoris. Ségolène Royal, pour une fois en ligne avec le programme du Parti socialiste, y est farouchement opposée, proposant même une renationalisation de l'entreprise. Et, au diable l'avarice, celle d'EDF dans le même temps, soit une addition totale d'une petite vingtaine de milliards d'euros. Nicolas Sarkozy n'a, quant à lui, jamais caché son extrême réticence à l'égard d'un projet qui l'a contraint à revenir sur sa parole de ne pas privatiser Gaz de France.Compte tenu de la tournure des événements, qui relègue les intérêts des deux entreprises au second rang, il faut se demander si le temps n'est pas venu d'arrêter les frais. Si l'obstination à vouloir coûte que coûte passer en force, au risque de nouveaux désagréments, ne prépare pas des lendemains encore plus douloureux. <a title="sac hermes kelly pas cher" rel="nofollow" href="http://www.filmbox.fr/sac-hermes-pas-cher">sac hermes kelly pas cher</a> <br /> Si, finalement, il ne vaut mieux pas se couper un bras maintenant plutôt que d'être emporté plus tard dans une tourmente beaucoup plus violente. Évidemment, une retraite, fût-elle en bon ordre, est difficile à admettre. Notamment au sein du gouvernement, qui ne peut s'exonérer de ses responsabilités dans une affaire mal partie depuis le premier jour. Mais il faut se rendre à l'évidence, neuf mois de soubresauts, de rebondissements, d'empoignades ont empêché la mayonnaise de prendre entre les deux groupes. Cohérente, mais semée d'embûches depuis son origine, parasitée par des pressions politiques de toutes sortes, cette fusion porte en germe les risques d'un échec que le Conseil constitutionnel a rendus très concrets. La raison recommande peut-être de dire « stop ». Les grandes idées de rassemblement ont la vie courte en politique. <a title="birkin 35cm pas cher" rel="nofollow" href="http://www.filmbox.fr/sac-hermes-pas-cher">birkin 35cm pas cher</a> L'idée d'une grande primaire populaire à gauche, comme en Italie, est vite tombée aux oubliettes, amnésie renforcée par l'investiture de Ségolène Royal comme candidate socialiste et la désunion de la gauche antilibé­rale. Puisque la gauche a manqué le coche de ce test grandeur nature, la balle est désormais dans le camp de la droite pour le mettre en oeuvre et rassembler ses forces. En effet, le nombre croissant de candidatures, dans et hors de l'UMP, rappelle la période encore proche de la profonde division de la droite... qui sonne comme le chant des sirènes.L'organisation de primaires populaires aurait l'avantage de mettre tous les candidats à égalité devant les sympathisants de droite. <a title="hermes pas cher" rel="nofollow" href="http://www.filmbox.fr/sac-hermes-pas-cher">hermes pas cher</a> <br /> Quoi de mieux pour prendre le pouls électoral, plutôt que de simples sondages ? De plus, ce serait l'occasion de vraiment déterminer clairement qui se situe dans quel camp, notamment en vue d'un futur gouvernement. On pourrait imaginer que les désignations de candidatures, au sein des partis, s'arrêtent pour procéder à ce caucus à la française. Ne nous faisons pas d'illusion là-dessus, les processus ­internes aux partis, UMP et UDF en tête, sont plus forts. Qu'à cela ne tienne, la désignation de candidats par les appareils renforcent l'intérêt pour cette primaire à l'italienne qui départagera les concurrents et consacrera le représentant unique de la droite... face à une gauche multiple, diverse, autrement dit « plurielle ».</div>

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