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started by descendants1 descendants1 on 09 Aug 14
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    Le gouvernement soudanais est actuellement pressé, notamment par les États-Unis, d'y accepter la présence d'une force de l'ONU. George W. Bush a décidé récemment de maintenir les sanctions contre le Soudan y ajoutant l'interdiction de toute transaction liée aux ­activités pétrolières et pétro­chimiques.Le 30 août, le Conseil de sécurité de l'ONU avait décidé d'envoyer une force des Nations unies d'environ 17 000 soldats et 3 000 policiers au Darfour pour prendre la relève de l'actuelle mission de l'Union africaine, composée de 7 200 hommes, mal équipée et sous-financée.À LA RADIO, à la télévision, dans les meetings de campagne, le claquement sec d'une ceinture sonne comme un ralliement. Immédiatement, une voix off ajoute : « Dales Correa ! » Le slogan de campagne est efficace. Une ceinture, en espagnol, se dit aussi « Correa », le nom du favori de l'élection présidentielle dont le premier tour se tient demain en Équateur. bonnet lacoste pas cher
    Le slogan, « Donne-leur Correa », appelle à faire gagner le candidat de la gauche, nouvelle tête de turc de Washington dans la région. Il s'agit aussi de se débarrasser à coups de ceinture des hommes politiques traditionnels, incapables de sortir l'Équateur de la misère. Renégociation des contrats pétroliersPrès des deux tiers de la population vivent sous le seuil de pauvreté dans un pays riche de ressources naturelles. Cinquième exportateur de pétrole de la région, numéro un de la banane, producteur de cacao, de café, et doté d'un patrimoine touristique exceptionnel avec l'archipel des Galapagos, l'Équateur est, depuis le retour de la démocratie en 1979, en convulsion permanente. La contestation sociale des plus pauvres, notamment des Indiens (40 % de la population) a empêché les trois derniers chefs d'États d'aller au bout de leur mandat. Depuis 1996, l'Équateur a compté sept présidents.L'économiste Rafael Correa a poussé son refus du système politique jusqu'à refuser de présenter des candidats au Congrès, renouvelé demain. basket lacoste homme pas cher Il compte gouverner sans l'appui de ces députés, grâce à une nouvelle Constitution censée refonder les institutions du pays, comme tente de le faire le président bolivien Evo Morales, comme l'a fait surtout le président Hugo Chavez­.Le chef d'État vénézuélien est la principale référence du candidat de gauche, et cela depuis l'an dernier. À l'époque ministre de l'Économie, Correa avait accepté l'offre de Caracas de racheter une partie de sa dette et annoncé à la Banque mondiale que les rentrées exceptionnelles issues du pétrole seraient affectées aux programmes sociaux. Ulcéré, le président de la Banque mondiale, Paul Wolfowitz, avait exigé sa tête. Contraint à la démission, Rafael Correa, auparavant inconnu, a ainsi gagné une légitimité auprès des plus pauvres. S'il est élu, il promet une renégociation des contrats pétroliers, un moratoire sur la dette externe (10 milliards de dollars), et la fin du traité de libre-échange avec les États-Unis. Correa s'affiche aussi comme un adversaire de la dollarisation de l'économie. lacoste booster pas cher
    Quito a en effet abandonné sa monnaie nationale, « le sucre », en 2000, au profit du billet vert. La mesure a mis fin à l'inflation, mais elle a augmenté le chômage dans un pays trop peu compétitif pour prétendre exporter en dollars. Ces propos radicaux n'ont pas suffi à rallier les mouvements indigènes à Correa. Échaudés par des alliances désastreuses conclues dans le passé, ils ont préféré présenter leur propre candidat, Luis Macas, empêchant probablement le champion de la gauche de l'emporter demain. Le suspense concerne celui qui devrait l'accompagner au second tour, le 26 novembre. Ce pourrait être le socialiste, Leon Roldos, un vétéran de la politique équatorienne, mais ce dernier a perdu du terrain au profit d'Alvaro Noboa, un milliardaire de la banane, principale fortune du pays et fervent partisan du rapprochement avec les États-Unis. La bataille du second tour promet de tourner à la caricature.

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