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  #1 qfqxbyf1 on 18 Dec 14

   

  Et que l'on sabre, à minuit, face à la mer. Le cauchemar se poursuit pour Safran, qui résulte de la fusion de la Snecma, spécialiste de la propulsion et des équipements aéronautiques, et de Sagem, deuxième groupe de télécommunications et troisième européen dans l'électronique de défense. Ce mariage de «la carpe et du lapin», comme l'ont baptisé certains analystes, est un échec, les deux groupes n'ayant pas développé entre eux de synergies, mais s'étant réfugié dans leurs particularismes, aggravés par une véritable guerre des chefs au niveau des dirigeants. L'Etat, qui détient 30% du capital, se révèle une fois de plus mauvais gestionnaire, d'autant qu'il est divisé sur les solutions à adopter, Matignon et Bercy s'opposant sur ce dossier. La logique voudrait que la société se recentre sur l'aéronautique, en raison des bonnes perspectives existant dans ce secteur. Il conviendrait de vendre la téléphonie mobile, qui n'atteint pas la taille critique, à l'image de ce qui a été opéré par d'autres groupes européens. acheter trench burberry pas cher
  Mais le gouvernement se heurte aux salariés qui détiennent une part du capital et redoutent un plan social. Motorola a fait savoir publiquement son intérêt pour cette branche. L'impression prévaut que le gouvernement s'en tiendra au statu quo jusqu'aux élections. Les résultats du premier semestre ont été mauvais, malgré les gains de la branche aéronautique. Pour l'ensemble de l'année, les bénéfices seront inférieurs à ceux de l'exercice précédent. On peut tenter le pari qu'un accord finira par être trouvé, ce qui ferait rebondir l'action, qui a perdu 20% depuis le début de l'année. On achètera de préférence en baisse autour de 15 euros. basket burberry homme pas cher Le cauchemar se poursuit pour Safran, qui résulte de la fusion de la Snecma, spécialiste de la propulsion et des équipements aéronautiques, et de Sagem, deuxième groupe de télécommunications et troisième européen dans l'électronique de défense. Ce mariage de «la carpe et du lapin», comme l'ont baptisé certains analystes, est un échec, les deux groupes n'ayant pas développé entre eux de synergies, mais s'étant réfugié dans leurs particularismes, aggravés par une véritable guerre des chefs au niveau des dirigeants. L'Etat, qui détient 30% du capital, se révèle une fois de plus mauvais gestionnaire, d'autant qu'il est divisé sur les solutions à adopter, Matignon et Bercy s'opposant sur ce dossier. La logique voudrait que la société se recentre sur l'aéronautique, en raison des bonnes perspectives existant dans ce secteur. Il conviendrait de vendre la téléphonie mobile, qui n'atteint pas la taille critique, à l'image de ce qui a été opéré par d'autres groupes européens. Mais le gouvernement se heurte aux salariés qui détiennent une part du capital et redoutent un plan social. Motorola a fait savoir publiquement son intérêt pour cette branche. basket burberry pour femme pas cher
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