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started by masquebf on 22 Jul 14
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    Faut-il craindre plus pour l'homme le virus H5N1 que les précédents virus grippaux aviaires ?Le virus aviaire H5N1 hautement pathogène n'a fait que peu de dégâts chez l'homme. Il y a environ 3 000 décès chaque année en France liés à la grippe saisonnière. Par rapport à cela, pour le moment, le virus H5N1 a tué moins de 100 personnes en trois ans. Le virus de la grippe chez l'homme se fixe au niveau des cellules de la trachée, sur les acides sialiques, du type alpha- 2,6-galactose. Le virus de la grippe aviaire se fixe lui sur les acides sialiques des volatiles, les alpha- 2,3-galactose. Ceux-ci n'existent pas chez l'homme. Ce n'est que dans des circonstances exceptionnelles, lors de contact avec une forte concentration de virus, que l'homme se contamine. basket burberry femme pas cherSinon les récepteurs humains au virus de la grippe ne sont pas sensibles aux virus aviaires.Rien n'est figé...La situation peut évoluer, le virus aviaire pouvant soit muter, soit se recombiner avec des virus humains notamment chez le porc. Ces nouveaux virus seraient dans ce cas très dangereux pour l'homme, puisque inconnus du système immunitaire humain. «Le H5N1 a été signalé en 1959 pour la première fois» Le professeur Charles Pilet, spécialiste des zoonoses, ces maladies transmises de l'animal à l'homme, directeur honoraire de l'école vétérinaire d'Alfort, membre de l'Académie des sciences, président honoraire de l'Académie de médecine, auteur de L'Animal médecin publié récemment aux Editions Actes Sud, explique l'histoire de la grippe aviaire. basket burberry homme pas cher Le professeur Charles Pilet, spécialiste des zoonoses, ces maladies transmises de l'animal à l'homme, directeur honoraire de l'école vétérinaire d'Alfort, membre de l'Académie des sciences, président honoraire de l'Académie de médecine, auteur de L'Animal médecin publié récemment aux Editions Actes Sud, explique l'histoire de la grippe aviaire. qui, tel le porte-parole des professionnels réunionnais du tourisme, Jean-Paul Bordier, prétendent que «cette crise était totalement évitable».Poules infectées. Pour la première fois dans l'Union européenne, des poules ont été identifiées porteuses du virus H5N1 de la grippe aviaire. La découverte a été faite en Autriche, dans une fourrière du sud du pays, où ces volatiles ont été vraisemblablement infectés par un cygne sauvage qui y avait été recueilli.Parallèlement, avec vingt-quatre heures de retard sur le calendrier initialement souhaité par les autorités françaises, l'Union européenne a accordé son feu vert au plan de vaccination élaboré par le gouvernement Villepin. Réunis hier à Bruxelles, les experts vétérinaires des Vingt-Cinq ont avalisé ce programme tout en l'assortissant de conditions très strictes. basket burberry pour femme pas cher«Des vaccinations préventives ciblées peuvent se révéler un outil efficace, lorsqu'elles sont accompagnées de garanties suffisantes», a résumé, sans enthousiasme, le commissaire à la santé, Markos Kiprianou.Vaccination. Conformément aux prévisions françaises, seuls les oies et les canards de trois départements à risques (Vendée, Loire-Atlantique et Landes), seront vaccinés. La campagne débutera immédiatement pour s'achever le 1er avril. 900 000 volatiles sont concernés. Une surveillance clinique mensuelle des élevages est prévue, ainsi que le recours à des «oiseaux sentinelles» non vaccinés. Ces derniers serviront, le cas échéant, à déclencher l'alerte.

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