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  #1 qfqxbyf1 on 19 Dec 14

   

  À Sterkfontein, comme dans les autres sites sud-africains à hominidés, les datations revêtent une importance particulière parce qu'en milieu karstique l'érosion du sol, les infiltrations des eaux et les dépôts de sédiments se produisent de façon anarchique et ont tendance à beaucoup bouger au cours du temps. Ce qui signifie qu'à quelques centimètres près il est possible de trouver de grosses différences d'âge.PLUS DE DEUX SEMAINES après la mort d'Alexandre Litvinenko et au lendemain de son enterrement à Londres, le polonium 210 serait-il en passe de faire une seconde victime ? Et dans l'affirmative, cette victime transportait-elle le mortel poison ? Délibérément, ou à son insu ? Dmitri Kovtoun, affirmait hier l'agence Interfax, souffrirait « d'une forme aiguë d'exposition aux radiations et d'une contamination interne par des radionucléides de type alpha, avec des effets sur les organes vitaux : foie, reins, intestins ».Le polonium 210, dont des quantités importantes ont été retrouvées dans l'organisme d'Alexandre Litvinenko, mort le 23 novembre, se caractérise par des rayonnements de type alpha, de très courte portée (quelques centimètres), mais aux effets dévastateurs une fois que les particules émettrices se répandent dans le corps humain. Jeudi soir, après une première dépêche d'Interfax, l'avocat d'Andreï Lougovoï, le partenaire et ami de Kovtoun, avait démenti l'information, assurant que Dmitri Kovtoun se trouvait dans un état satisfaisant. Quelle que soit la gravité de leur état de santé, l'information selon laquelle Kovtoun et Lougovoï ont été contaminés au polonium 210 n'a pas été démentie.Enquête russo-britanniqueHier, l'ancien agent du KGB Andreï Lougovoï était pour la première fois entendu, conjointement par des policiers russes et britanniques. acheter trench burberry pas cher
  L'enquête aux ramifications internationales, menée parallèlement par la section antiterroriste de Scotland Yard et le parquet russe, converge vers le rendez-vous du 1er novembre à l'hôtel Millennium de Londres. C'est au bar de cet établissement chic que les trois hommes - Litvinenko, la victime, Lougovoï, qui le connaissait depuis dix ans, et Kovtoun - se sont rencontrés vers 16 heures. Pour une brève conversation concernant des affaires et qui devait se prolonger le lendemain. C'est en tout cas ce qu'ont déclaré Lougovoï et Kovtoun notamment, dans une longue interview accordée à la radio Écho de Moscou, le 24 novembre. Or, jeudi soir, l'Agence britannique de protection de la santé (HPA) annonçait que, selon « des résultats préliminaires » sept employés du bar qui y travaillaient le 1er novembre ont été « exposés à des faibles niveaux de polonium 210 ». Les employés ont pu ingérer ou inhaler des particules de polonium 210 laissées, par exemple, sur des objets touchés par l'un des ex-agents russes. Ils ont pu également être exposés directement à des évaporations du polonium, si celui-ci s'était trouvé dans une boisson. basket burberry homme pas cher Des particules de polonium ont par exemple été détectées sur des accoudoirs de fauteuils de l'hôtel. Si les détecteurs de rayons alpha permettent de mesurer la désintégration d'un seul atome (processus qui produit les radiations), la science a ses limites : le HPA estime impossible de déduire quand précisément a été fabriquée la source de polonium 210.Le jeu de pistes se poursuit dans l'enquête sur la mort d'Alexandre Litvinenko. Samedi, des traces de contamination ont été découvertes à deux endroits de l'appartement où vivait l'homme d'affaires, Dmitri Kovtoun. Pour autant la police a déclaré que cet homme n'était pas accusé, démentant des informations de la presse allemande selon lesquelles il aurait préparé l'empoisonnement de l'ex-agent russe depuis Hambourg. Des examens plus approfondis doivent être effectués dans l'immeuble, afin de confirmer s'il s'agit bien de traces de polonium 210, la substance hautement radioactive qui a tué Litvinenko. La police de Hambourg, qui enquête en collaboration avec Scotland Yard, a appelé «les personnes qui auraient eu un contact» avec l'homme d'affaires à se manifester. basket burberry pour femme pas cher
  Kovtoun fortement contaminé Les Russes Dmitri Kovtoun et son partenaire Andreï Lougovoï, tous deux anciens agents des services spéciaux, ont rencontré Litvinenko, le 1er novembre à l'hôtel Millenium, dans le centre de Londres, avant qu'il ne commence à ressentir les symptômes de son empoisonnement au polonium 210. Selon l'agence russe Interfax, Dmitri Kovtoun, qui a été entendu mardi et mercredi par Scotland Yard, a été contaminé au polonium 210, et ses organes internes ont été atteints. Citant une source médicale non identifiée, l'agence a affirmé qu'une «contamination interne par des radionucléides de type Alpha, avec des effets sur les organes vitaux : foie, reins, intestins» avait été détectée chez l'agent. Quant à Andreï Lougovoï, il a déclaré vendredi que son état de santé était «satisfaisant» et qu'il se sentait «bien», alors que les médias spéculaient sur sa possible contamination radioactive.« Le président de la République Emile Lahoud a rejeté le décret entériné le 25 novembre par le Conseil des ministres et relatif au Tribunal à caractère international », a annoncé samedi la présidence libanaise à propos du projet de tribunal sur l'assassinat de Rafic Hariri, soutenu par le gouvernement Siniora. Proche de Damas, Lahoud estime que ce projet doit être « revu par un gouvernement légal, constitutionnel et consensuel ». Son rejet du décret est basé « sur le fait qu'il manque de toute valeur constitutionnelle et légale en raison du manque de légitimité constitutionnelle et consensuelle de l'instance qui l'a pris ».

   

  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">À Sterkfontein, comme dans les autres sites sud-africains à hominidés, les datations revêtent une importance particulière parce qu'en milieu karstique l'érosion du sol, les infiltrations des eaux et les dépôts de sédiments se produisent de façon anarchique et ont tendance à beaucoup bouger au cours du temps. Ce qui signifie qu'à quelques centimètres près il est possible de trouver de grosses différences d'âge.PLUS DE DEUX SEMAINES après la mort d'Alexandre Litvinenko et au lendemain de son enterrement à Londres, le polonium 210 serait-il en passe de faire une seconde victime ? Et dans l'affirmative, cette victime transportait-elle le mortel poison ? Délibérément, ou à son insu ? Dmitri Kovtoun, affirmait hier l'agence Interfax, souffrirait « d'une forme aiguë d'exposition aux radiations et d'une contamination interne par des radionucléides de type alpha, avec des effets sur les organes vitaux : foie, reins, intestins ».Le polonium 210, dont des quantités importantes ont été retrouvées dans l'organisme d'Alexandre Litvinenko, mort le 23 novembre, se caractérise par des rayonnements de type alpha, de très courte portée (quelques centimètres), mais aux effets dévastateurs une fois que les particules émettrices se répandent dans le corps humain. Jeudi soir, après une première dépêche d'Interfax, l'avocat d'Andreï Lougovoï, le partenaire et ami de Kovtoun, avait démenti l'information, assurant que Dmitri Kovtoun se trouvait dans un état satisfaisant. Quelle que soit la gravité de leur état de santé, l'information selon laquelle Kovtoun et Lougovoï ont été contaminés au polonium 210 n'a pas été démentie.Enquête russo-britanniqueHier, l'ancien agent du KGB Andreï Lougovoï était pour la première fois entendu, conjointement par des policiers russes et britanniques. <a href="http://www.makesomewind.fr/" rel="nofollow" title="acheter trench burberry pas cher">acheter trench burberry pas cher</a> <br /> L'enquête aux ramifications internationales, menée parallèlement par la section antiterroriste de Scotland Yard et le parquet russe, converge vers le rendez-vous du 1er novembre à l'hôtel Millennium de Londres. C'est au bar de cet établissement chic que les trois hommes - Litvinenko, la victime, Lougovoï, qui le connaissait depuis dix ans, et Kovtoun - se sont rencontrés vers 16 heures. Pour une brève conversation concernant des affaires et qui devait se prolonger le lendemain. C'est en tout cas ce qu'ont déclaré Lougovoï et Kovtoun notamment, dans une longue interview accordée à la radio Écho de Moscou, le 24 novembre. Or, jeudi soir, l'Agence britannique de protection de la santé (HPA) annonçait que, selon « des résultats préliminaires » sept employés du bar qui y travaillaient le 1er novembre ont été « exposés à des faibles niveaux de polonium 210 ». Les employés ont pu ingérer ou inhaler des particules de polonium 210 laissées, par exemple, sur des objets touchés par l'un des ex-agents russes. Ils ont pu également être exposés directement à des évaporations du polonium, si celui-ci s'était trouvé dans une boisson. <a href="http://www.makesomewind.fr/" rel="nofollow" title="basket burberry homme pas cher">basket burberry homme pas cher</a> Des particules de polonium ont par exemple été détectées sur des accoudoirs de fauteuils de l'hôtel. 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Citant une source médicale non identifiée, l'agence a affirmé qu'une «contamination interne par des radionucléides de type Alpha, avec des effets sur les organes vitaux : foie, reins, intestins» avait été détectée chez l'agent. Quant à Andreï Lougovoï, il a déclaré vendredi que son état de santé était «satisfaisant» et qu'il se sentait «bien», alors que les médias spéculaient sur sa possible contamination radioactive.« Le président de la République Emile Lahoud a rejeté le décret entériné le 25 novembre par le Conseil des ministres et relatif au Tribunal à caractère international », a annoncé samedi la présidence libanaise à propos du projet de tribunal sur l'assassinat de Rafic Hariri, soutenu par le gouvernement Siniora. Proche de Damas, Lahoud estime que ce projet doit être « revu par un gouvernement légal, constitutionnel et consensuel ». Son rejet du décret est basé « sur le fait qu'il manque de toute valeur constitutionnelle et légale en raison du manque de légitimité constitutionnelle et consensuelle de l'instance qui l'a pris ».</div>

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