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started by descendants1 descendants1 on 01 Sep 14
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    «Je suis reconnaissant envers les dirigeants de tous les horizons de la société irakienne qui ont appelé au calme», a-t-il commenté. «Les Américains condamnent avec force la destruction de la mosquée d'Or. Nous croyons à la liberté de religion, et je comprends la consternation et l'inquiétude des chiites irakiens», a ajouté le président américain.Pour les forces américaines, il ne fait aucun doute que l'attentat est marqué du sceau du réseau al-Qaida et de son responsable en Irak, Abou Moussab al-Zarqaoui. Le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, est, bien entendu, d'un avis contraire. «C'est un crime politique, qui peut être imputé aux services de renseignement des sionistes et des occupants de l'Irak», a-t-il estimé. Situé au cœur du triangle sunnite, Samarra est aussi un haut lieu de la guérilla antiaméricaine. achat sac burberry pas cher
    Tombée sous le contrôle de l'insurrection à l'été 2004, elle avait été reprise par les forces américaines au mois d'octobre suivant. La zone reste un centre névralgique du radicalisme sunnite. Iran : Moscou tente de sauver son compromis sur le nucléaire LEUR MARGE de manoeuvre est étroite, mais les Russes ont un atout dans les négociations qu'ils vont tenir aujourd'hui à Moscou avec la délégation iranienne conduite par Ali Hosseini Tash, membre du Conseil suprême de la sécurité nationale. Il ne s'agit pas d'une arme de pression mais de la liberté que leur donne l'absence d'une opinion publique. Le Kremlin peut se permettre toutes les initiatives, vis-à-vis de Téhéran, comme du Hamas, sans risque de soulever dans le pays une vague de protestation. A l'issue des entretiens et quel que soit leur résultat, personne ne demandera des comptes au pouvoir. Il sera tacitement admis que «la Russie a tout tenté pour résoudre le dilemme et éviter une escalade» comme l'affirme d'ores et déjà le directeur de l'Institut du Proche-Orient, Evgueni Stanovski. achat trench burberry pas cher Dans les milieux diplomatiques occidentaux, on s'interroge. Le Kremlin partage-t-il la conviction du chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Mohammed ElBaradei, à savoir que l'Iran n'acceptera le «plan russe» que si une partie au moins de l'enrichissement de l'uranium se fait sur son territoire ? Vladimir Vladimirovitch Poutine s'y est-il résigné ?Les propos tenus à Vienne par le ministre russe des Affaires étrangères le laissent supposer. Pour Sergueï Lavrov, «quand la confiance dans le programme nucléaire iranien sera rétablie», il faudra «revenir à la question du droit pour l'Iran au développement complet de l'énergie atomique pacifique». En attendant, Moscou propose à Téhéran un compromis : l'enrichissement de l'uranium serait réalisé en Russie durant une période à déterminer, en coopération avec des spécialistes iraniens, puis, peu à peu, la technologie serait transférée en Iran.«Rhétorique»Membre de l'Institut des problèmes de géopolitique, Leonid Ivachov estime que «la Russie doit rassurer Téhéran. Si les Iraniens refusent pour l'instant notre plan, c'est parce qu'ils craignent que, à un moment ou un autre, nous cessions de leur fournir du carburant pour la centrale de Bouchehr. Nous devons leur donner des garanties suffisantes ou bien envisager de procéder à l'enrichissement, sous notre contrôle et celui de l'AIEA, en Iran même. achat vetement burberry pas cher
    L'attitude intransigeante des Occidentaux ne fait que compliquer les choses. L'heure n'est pas aux ultimatums».La semaine dernière, l'ambassadeur de Téhéran à Moscou s'est entretenu à huis clos avec le Comité de la Douma chargé des affaires étrangères. Peu de chose a filtré sur les explications du diplomate sur les propos tenus par le président Mahmoud Ahmadinejad quant à sa volonté de «rayer Israël de la carte». Mais, selon des témoins, il ne s'agirait que de «rhétorique». L'ambassadeur aurait affirmé que l'Iran ne bombardera jamais Jérusalem car tous les musulmans tiennent la ville pour un lieu saint. Par ailleurs, l'Iran serait prêt à un «compromis provisoire» afin d'échapper à d'éventuelles sanctions mais sur le principe de son «droit» aux activités nucléaires, il reste inébranlable.

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