"Une universitaire américaine a été victime d'un viol collectif vendredi en Papouasie-Nouvelle-Guinée, quelques jours après le meurtre d'un Australien et le viol de son amie par plusieurs hommes, ont annoncé aujourd'hui l'intéressée et la police."
"Une vaste chasse à l'homme est engagée depuis dimanche en Papouasie-Nouvelle-Guinée pour retrouver 49 détenus évadés de la prison de Madang (est), dont le chef d'une secte, surnommé le «Jésus noir», condamné pour pédophilie et soupçonné de cannibalisme, selon les médias australiens, relayés par le Daily mail.
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"Menée au Bangladesh, Cambodge, Chine, Indonésie, Papouasie-Nouvelle Guinée et Sri Lanka, cette enquête des Nations unies a porté sur les agresseurs. "
"C'est un constat plus qu'alarmant qui ressort d'une grande enquête de l'ONU dans la région Asie-Pacifique publiée mardi 10 septembre dans la revue britannique The Lancet. Selon cette étude, qui s'appuie sur les témoignages de plus de 10 000 hommes de 18 à 49 ans interrogés sous couvert de l'anonymat dans six pays (Bangladesh, Cambodge, Chine, Indonésie, Papouasie-Nouvelle-Guinée et Sri Lanka), près d'un quart d'entre eux (24 %) reconnaissent avoir déjà commis un viol."
"Une adolescente de Papouasie-Nouvelle Guinée a décapité son père après qu'il l'a violée, rapporte lundi un quotidien local.
Les chefs coutumiers du village refusent de livrer la meurtrière à la police, estimant que l'homme avait mérité son châtiment."