La réflexion menée par les institutions culturelles autour des données publiques et du web sémantique s'inscrit dans une démarche d'accès à la culture et au patrimoine culturel.
On dénombre environ 10 000 API, permettant aux développeurs d'accéder, de traiter et reconditionner les données. Ce qui signifie que bien souvent, pour faire quelque chose de nouveau, il faut être capable d'extraire des données soi-même. C'est ce que propose Kimono - www.kimonolabs.com - une application web qui vous permet d'extraire des données de n'importe quel site pour les transformer en API. Et cela, très simplement. Ses fondateurs ont ainsi créé des API - http://www.kimonolabs.com/sochi/showcase - pour les dernier JO d'hiver permettant de créer des applications réussies pour suivre les récompenses, etc. L'idée des fondateurs est de démocratiser les capacités de programmation au plus grand nombre.
On dénombre environ 10 000 API, permettant aux développeurs d'accéder, de traiter et reconditionner les données. Ce qui signifie que bien souvent, pour faire quelque chose de nouveau, il faut être capable d'extraire des données soi-même. C'est ce que propose Kimono - www.kimonolabs.com - une application web qui vous permet d'extraire des données de n'importe quel site pour les transformer en API. Et cela, très simplement. Ses fondateurs ont ainsi créé des API - http://www.kimonolabs.com/sochi/showcase - pour les dernier JO d'hiver permettant de créer des applications réussies pour suivre les récompenses, etc. L'idée des fondateurs est de démocratiser les capacités de programmation au plus grand nombre.
Article du chercheur Jean-Christophe Plantin sur l'ambivalence du terme "donnée". Il insiste notamment sur la documentation du travail de la donnée, il ne s'agit pas seulement de publier les données brutes, mais d'expliquer les choix effectués dans le "nettoyage", les choix de visualisations...
Le livre "Raw data is an oxymoron" édité par Lisa Gitelman et publié aux MIT press en 2013 vise à tordre le coup à un non-sens trop présent à l'heure des big data et open data : il existerait des données « brutes » qui n'attendraient que l'action du chercheur, de l'informaticien ou du designer graphique pour livrer tout leur sens.