INF 6107 Web social

Explication sommaire de la théorie des graph à l'aide du réseau sociaux Facebook. Plus une personnes à de connexion plus elle est en mesure d'influencer de gens. L'auteur est RV

Site web hyper pratique quand on n'arrive à ouvrier un format de fichier, il permet de le convertir dans un autre format.

J'ai utilisé ton billet comme une référence pour mon billet sur l'effet Whuffie ... Merci !

Un programme expérimental de "police prédictive" est en cours en Californie et aurait déjà permis de devancer certains crimes. Une autre application intéressante du théorème de Bayes!

Dans ce billet la blogueuse Gina Desjardins (radio-canada.ca/triplex et geekette.ca) explique comment elle doit constamment poser des limites aux compagnies qui essayent de lui soutirer des commentaires positifs à propos de leurs produits. Les compagnies se sont rendues compte que les nouveaux canaux de communication "sociaux" sont formidables pour pousser leurs produits. Cela nous oblige à exercer encore plus de discernement dans l'interprétation de l'information reçue... sous peine de se faire "emplir" encore plus facilement qu'avant!

modification de la page wiki du service Flickr.

Un article qui fait contrepoint à celui de Shirky et qui plaide pour l'usage de vocabulaires contrôlés pour améliorer la qualité des étiquettes créées par les usagers du web. Par Alireza Noruzi.

Un article de fond (plus de 7 000 mots) qui fait la démonstration convaincante que l'étiquetage (tagging) du contenu par les usagers d'Internet a plus de valeur que les classifications formelles faites par les professionnels. Par Clay Shirky.

Après avoir créé Deep Blue et Watson, IBM poursuit sa recherche d'une machine pouvant se mesurer aux capacités cognitives humaines en développant une première "puce-cerveau". Elle ne possède actuellement que 256 neurones électroniques (à comparer aux 100 milliards de notre cerveau humain) mais l'objectif à long terme d'IBM est de 10 milliards de neurones. Article par Martin Lessard sur radio-canada.ca/triplex.

Si les réseaux sociaux ont facilité l'organisation des émeutes en Grande-Bretagne, ils ont aussi, et forcément, permis l'identification, l'arrestation et la condamnation de certains des organisateurs. Article sur lemonde.fr avec AFP.

La police britannique combat le feu par le feu - si l'on peut s'exprimer ainsi - en publiant dans les médias sociaux les noms et adresses des personnes trouvées coupables d'avoir participé aux émeutes organisées justement à travers les médias sociaux. Article sur Mashable par Jennifer Van Grove.

bilan de l'initiative : http://simplifionsnouslavie.wordpress.com/