Selon certains chercheurs, les bonnes nouvelles (qui ne causent pas de tristesse) circulent mieux sur les médias sociaux et sont davantage sujettes à être retransmis de manière virale.
ce qui compte, c’est de ne pas provoquer de tristesse
Il lui est apparu que plus un article est positif, plus on est susceptible de le faire suivre.
Pour qu’il y ait un effet de contagion, les zones associées à la cognition sociale doivent être activées. L’information qui circule peut alors vraiment devenir virale.