J'aimerais simplement préciser que ce billet est en fait un billet que j'ai rédigé dans le cadre du cours pour l'activité C. Je ne sais pas si c'était voulu de le partager à nouveau ou si c'est une erreur... ?
Il se trouve sous l'adresse suivante, avec toutes les références complètes citées dans le corps du texte : http://sophieraymond.wordpress.com/2012/05/11/reseaux-sociaux-et-mobilisation/
OUI !!! mais d'après les consignes de l'activité C, on peut soit rédiger un billet ou bien faire une réplique d'un autre billet qui est déjà partagé par l'un des étudiants du cours. Donc, j'ai bien aimé votre billet et je faisais le repartage exprès toute en indiquant la source et le lien vers votre blogue :)
Je crois qu'en fait, "faire une réplique" sous entend plutôt la rédaction d'un nouveau commentaire en réaction à un billet auquel on fait référence. Peut-être aussi ai-je mal interprété les consignes de l'activité C ...
"si les médias sociaux ont fourni un carburant aux mobilisations spontanées, ils n'ont pas aidé à construire un changement social durable et réfléchi, c'est-à-dire des actions collectives coordonnées. "
Ce site est une initiative pour la mobilisation contre la guerre en RD Congo. Trop c'est trop. Plus de 5 millions de victimes de guerre et de viol dans la partie Est de ce pays. Nous disons NON !
L'intelligence collective sur Internet est définie par le philosophe canadien Pierre Lévy comme « le projet d'une intelligence variée, partout distribuée ; sans cesse valorisée, coordonnée et mise en synergie en temps réel ; et qui aboutit à une mobilisation effective des connaissances. 2»
Le directeur de l'école TIS (The International School) de Macao partage ses stratégies utilisées pour développer l'engagement de la communauté scolaire de son école en utilisant les médias sociaux tels que Facebook, Twitter, LinkedIn, YouTube, WeChat, et staff blogs.
La nouvelle du jour, relayée par l'ensemble de mes sources de veille et bien plus encore. Clairement, on reconnaît une crise de confiance envers les grandes plateformes, reprochées de laxismes dans le contrôle des usages illégitimes des réseaux sociaux. Ceci explique l'appétit pour les gestes forts contre les actions malicieuses.
Dans le cas présent, Twitter et Facebook ont mis un terme à une présumée tentative de mobilisation de journalistes professionnels sous un faux média, commandité par un groupe russe. L'objectif ultime étant de récolter une masse importante d'abonnés à l'aide d'éditoriaux crédibles, pour ensuite lancer des campagnes d'influences au moment opportun.