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Oui au cyber relation, cyber flanage, mais pas encore de cyber magasinage massive !

Le projet SCATE visant la dissémination des bonnes pratiques d'apprentissages collaboratifs

Régis Vansnick propose des moyens pour évaluer le retour sur investissement et la présence sur les médias sociaux. Cela pourrait permettre à une entreprise de s'engager sur les médias sociaux.

Les résultats de l'enquête montrent alors qu'il existe un lien étroit entre les problèmes de couples et l'utilisation abusive des réseaux sociaux.

un description sur les études à distance.

Mené avec l'aide d'Eric Van Burskirk (https://www.linkedin.com/in/vanbuskirk), cette étude pointe dix éléments qui pourraient influencer le référencement d'un site web. Certains de ceux-ci se montrent utiles pour ceux et celles qui veulent créer leur propre site. Si vous voulez avoir plus d'informations sur la méthodologie de l'étude vous pouvez y accéder à l'URL http://bit.ly/1NynAsP .

Une expérience au USA, faite près des étudiants montre qu'être priver des réseaux sociaux notamment Facebook aurait un impacte positif sur leurs comportements mais réduirait par conséquent leurs accès à l'information.

Sondage maison

En reconnaissant la nécessité d'évaluer de manière cohérente la relation entre l'activité des consommateurs en ligne et la réputation de l'entreprise, les chercheurs de «VU University Amsterdam» ont mené une étude révélant que la réputation de l'entreprise peut être améliorée grâce à l'activité des médias sociaux.

Billet rapportant les résultats d'une étude portant sur la perception des jeunes de 11-17 ans ainsi que celle de leurs parents face à internet, que ce soit au niveau du contexte d'utilisation, de l'attitude face aux médias sociaux, de la sécurité, etc.

Bel article. J'ai aimé la démonstration. Mais ça reste une enquête avec les limites qui caractérisent ce genre d'études. Les parents sont conscients des activités de leurs enfants sur la toile, mais au-delà de l'idée qu'ils se font de ces activités, il y a surtout la réalité des choses, car les parents me semble-t-il n'ont pas les moyens de suivre un enfant du début à la fin lorsqu'il fait la navigation. Entre deux clics, il peut bien arriver que l'enfant développe d'autres tendances de navigation.

billet final

Est-ce que cette marge d'erreur et ce "biais" sont bien différents des méthodes précédentes ? L'article ne le dit pas. La différence est que les algorithmes se corrigent plus facilement que les gens!