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Julien PIERRE

Wikipédia>Erving Goffman - 0 views

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    SOCIOLOGIE>Des définitions sur l'identité et la réputation, d'après Erving Goffman. A resituer dans le domaine et les pratiques numériques. Voir aussi quelles sont les approches sociologiques concurrentes.
Julien PIERRE

Monique Dagnaud | Slate - 0 views

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Julien PIERRE

Claude Fischer | Institute of Urban and Regional Development - 0 views

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Julien PIERRE

Exploiter son portfolio numérique : construire son identité professionnelle n... - 2 views

  • Master 2 en Ressources Humaines, à l’Institut de Psychologie et de Sociologie Appliquées de l’Université Catholique de l’Ouest, à Angers
  • Ces études s'intéressent a) à la validation du processus d’analyse et de reconnaissance de la compétence (Gauthier, Raveleau & Thebault, 2006); b) à l’état de l’art des usages du portfolio réflexif (Gauthier, 2008a); c) à l’exploration du concept d’identité professionnelle numérique au service de l’employabilité (Gauthier, 2008b); d) à l’étude des motifs de persistance à la publication du portfolio numérique par les étudiants (Gauthier & Jézégou, 2008); e) aux effets du processus de construction et publication du portfolio numérique sur le sentiment de compétence des étudiants (Gauthier, 2008c); f) aux représentations, aux attentes et usages des portfolios numériques publiés en ligne, par les managers, recruteurs ou directeurs des ressources humaines (Gauthier & Cohard, 2008).
  • « Un ePortfolio est une collection d’informations numériques décrivant et illustrant l’apprentissage ou la carrière d’une personne, son expérience et ses réussites. Un ePortfolio est un espace privé et son propriétaire a le contrôle complet de qui y a accès, comment et quand. Le contenu des ePortfolio et les services associés peuvent être partagés avec d’autres pour : - accompagner les validations des acquis de l’expérience; - compléter ou remplacer des examens; - réfléchir sur son apprentissage ou sa carrière; - accompagner le développement professionnel continu, la planification de l’apprentissage ou la recherche de travail. » (Cloutier, Fortier & Slade, 2006, p. 11)
  • ...4 more annotations...
  • « a) être informé : entretenir son propre réseau d’information, ses indicateurs; b) développer son savoir faire, renforcer sans cesse ses compétences; c) savoir faire valoir : adopter une stratégie d’image personnelle, développer sa propre communication» (pp.113-121).
  • Cette acception du portfolio intègre les trois dimensions : a) capitalistes (Conservation des traces de sa valeur ajoutée professionnelle), b) existentielle (approche identitaire), et c) formative (formalisation de ses compétences) des usages du portfolio réflexif (Layec, 2006).
  • dans la perspective des apprentissages formels (dans des dispositifs éducatifs officiels), non formels (à l’inverse, en dehors des systèmes éducatifs), informels (sans reconnaissance explicite) et au travers de la vie (transversalement à toutes ses activités)
  • En nous appuyant notamment sur Heyraud-Lemaître (2002), nous pouvons mettre en évidence plusieurs “niveaux de contrôle réflexif” qui seront mis en jeu dans un processus d’élaboration de portfolio, notamment : la pratique réflexive à posteriori, avec l’acte réfléchissant (une réflexion sur l’action, prise de conscience postérieure à l’action) l’apprentissage réflexif, hypothèse qu’un sujet apprenant s’auto formant est à la fois sujet et objet de la situation d’apprentissage l’apprentissage biographique (Alheit & Dausien, 2005), dont le quatrième pilier s’intéresse en particulier à la «biographicité des expériences sociales, capacité à développer ses capacités de communication, de relations sociales, […] et à faire de la formation un lieu de gestion individuelle de l’identité mais aussi de processus collectifs et de rapports sociaux » (p. 77)
peir ric

Quelques réflexions sur l'histoire du sujet et de l'individu en Occident - Du... - 0 views

  • le sujet reste ainsi dans leurs travaux encore massivement confondu avec l’individu, l’histoire de la subjectivation avec celle de l’individualisme, la modernité avec le monde moderne [1].
  • ’histoire du sujet est ainsi le plus souvent rabattue sur celle de « la découverte et du développement de l’individualisme occidental ».
  • l’apparition du monde moderne, est le résultat de la prédication christique, dont la diffusion des valeurs éthiques serait, selon lui, la cause principale de tous les changements d’individuation depuis deux mille ans en Occident.
  • ...34 more annotations...
  • Elle est en fait simplement déduite d’une opposition structurale entre sociétés dites « modernes » et sociétés dites « traditionnelles » et ne se soutient que d’une survalorisation du facteur religieux.
  • rejeter l’une et l’autre de ces prémisses
  • Elias remarque que les individus médiévaux – sans qu’il y ait d’ailleurs beaucoup de différences entre les groupes sociaux – se comportaient d’une manière très différente de la nôtre.
  • D’une manière générale, les hommes de l’époque médiévale possédaient un comportement et un psychisme à la fois plus simples et plus contrastés que ceux des périodes absolutistes et bourgeoises ultérieures.
  • l’appartenance des individus à des réseaux d’interaction peu diversifiés et la plupart du temps de très faible ampleur
  • Les chaînes d’interaction y étaient donc très courtes et peu variées.
  • Faible interdépendance, menace physique permanente, liberté pulsionnelle et rationalité limitée constituaient ainsi des « phénomènes complémentaires ».
  • ne attention déjà assez forte est portée aux manières courtoises concernant les relations entre sexes, les codes de combat ou les manières de table.
  • met l’accent sur le type de travail effectué par l’individu sur lui-même
  • Elias met cet essor du travail sur soi et ses formes en relation avec l’augmentation des contraintes que font peser la force et la complexité croissantes des interdépendances, entre les différentes classes sociales, d’une part, et, entre les individus de la classe dominante elle-même, de l’autre
  • Comme Burckhardt et Foucault, Elias centre son approche de l’individuation sur les techniques de soi, mais à la différence de ces deux historiens, il montre aussi les faciès spécifiques des interdépendances qui déterminent ces formes.
  • C’est cette interaction entre les pratiques de soi et les formes d’interdépendances qui constituent certainement l’apport théorique le plus précieux du travail d’Elias.
  • le sujet désigne la face interne, psychologique, de ce dont l’individu est la face externe, sociologique.
  • le postulat selon lequel les formes de l’intériorité et les formes sociales sont en interaction constante et évoluent, sinon à la même vitesse – car les formes psychiques opposent, selon lui, leur rigidité et leur passivité aux changements plus rapides des formes sociales – du moins dans le même sens.
  • la sociologie historique poursuit la confusion des histoires de l’individu et du sujet
  • chez Elias, qu’un moi pris entre les forces biologiques du ça et les normes sociologiques du surmoi.
  • modèle proposé par la psychologie historique.
  • Pour Meyerson, la personne ne constitue pas une entité unitaire ; elle est composée de différentes « fonctions »
  • chacune de ces fonctions possède une histoire particulière en grande partie déterminée socialement.
  • tout être humain peut être décrit comme un corps accompagné de quatre instances psychique, éthique, politique et morale
  • l’individu
  • l’agent
  • le moi
  • le singulier
  • Le moi au sens de vie intérieure ; l’agent au sens de celui qui agit ; l’individu au sens de la plus ou moins grande insertion de la personne dans le ou les groupes sociaux ; le singulier au sens de la valorisation par la société de sa plus ou moins grande singularité.
  • tout en doublant l’étude de chacune d’elles par une enquête approfondie sur les techniques du corps qui les sous-tendent.
  • sept volets qui va lui permettre de dresser un tableau très fin des formes prises par les diverses instances de la personne.
  • Lors des cérémonies religieuses publiques, l’individu est donc largement engagé et l’on n’observe aucune valorisation de l’agent, du singulier ou du moi.
  • en ce qui concerne le dionysisme. L’individu y est à peine moins désengagé du groupe qu’il ne l’est dans la religion civique
  • aux cultes à mystères. Ces cultes désengagent en effet en partie les individus de leur groupe, au moins le temps du rituel, tout en impliquant une décision qui renforce leur statut d’agent
  • Leur rôle est de maintenir la continuité du groupe familial et de la cité.
  • Le culte des héros est d’une certaine manière un culte à une singularité fondée sur une capacité d’action et donc un devenir-agent.
  • Ces pratiques aboutissent à développer une nouvelle instance de la personne, cette fois considérée comme intérieure, bien qu’encore sans lien avec la volonté, l’agent et la singularité. Selon Vernant, cette nouvelle instance personnelle constitue l’origine de ce que nous appelons le moi, l’intériorité, la vie psychique.
  • pose la question des formes d’individuation et même de subjectivation dans les sociétés dites « traditionnelles »
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