Désormais, il est plus facile de réaliser les mêmes opérations instantanément et souvent à distance grâce aux données qui transitent par un opérateur ou fournisseur d'accès.
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Écoutes, traces, interceptions - 1 views
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- Des données qui n'étaient pas captées tout de suite sur un téléphone fixe étaient perdues pour l'écoutant, ce qui n'est obligatoire pour les mobiles : certaines peuvent être retrouvées après coup, dans des mémoires.
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- Outre le contenu des conversations, la technologie numérique permet de "géolocaliser", c'est à dire de savoir avec une marge d'approximation variable où est quelqu'un (ou, du moins, dans quelle zone, voire à proximité de quel autre mobile, se trouve l'appareil surveillé)
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- Pour certaines enquêtes, il est parfois aussi intéressant de savoir qui se connecte avec qui, donc le cas échéant quelle est la forme d'un réseau criminel ou mafieux, que de savoir ce qui se dit.
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Mais la chasse aux données numériques « flottantes » (la voix humaine n'étant qu'un flux entre autres) se heurte à une multitude d'obstacles de fait
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- transformer le téléphone même hors fonction en balise de repérage ou en micro enregistrant les conversations à proximité de l'appareil
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Au total, les mieux protégés ne sont pas les plus innocents dans un configuration stratégique de plus en plus ouverte.
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Koukoutsaki - 2 views
lesenjeux.u-grenoble3.fr/...index.html
communautés virtuelles échanges mesure engagement identité numérique
shared by peir ric on 23 Apr 14
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Ces dernières comptabilisent 975 actions (messages et approbations) engagées par 97 participants sur une période d’environ un mois.
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Dominique Cardon (2008) propose de cartographier ces outils selon la façon dont les participants se rendent visibles les uns aux autres, entre « être » et « faire », « réel » et « simulation ».
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Eugenia Siapera (2012, p. 202), les médias sociaux se réfèrent à un ensemble souvent hétérogène de sites qui utilisent la technologie à des fins d’interaction sociale et de génération de contenu émanant des usagers.
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Selon Danah Boyd et Nicole Ellison (2007), les sites de médias sociaux sont des services web qui permettent aux individus de construire un profil public ou semi-public au sein d’un système délimité, de connecter ce profil avec une liste de profils d’autres usagers, ainsi que de visualiser et naviguer au sein de cette liste et, selon les cas, au sein de ses différentes autres connexions.
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Thomas Stenger et Alexandre Coutant (2013) élaborent une autre approche pour classifier les médias sociaux. Sur la base d’une analyse dite sociotechnique, fondée sur les fonctionnalités offertes par les plateformes (« affordances ») et sur les pratiques effectives des utilisateurs (« arts de faire »),
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Le second révèle les différents types de données publiés : le soi (éléments biographiques, préférences, etc.) versus les contenus tiers (vidéos, news, etc.)
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« communautés virtuelles », à savoir des plateformes organisées autour d’un intérêt précis et dont la logique est celle de la publication de contenus tiers.
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individus qui se ressemblent les uns aux autres, en termes de goûts, de convictions, de comportements, etc.
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des espaces « communautaires » virtuels basés sur ce que la sociométrie appelle « des liens faibles »
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rassemblements formés en ligne par des personnes qui ne se connaissent pas le plus souvent mais dont la mise en réseau permet une meilleure circulation de contenus (Mercklé, 2004, p. 47-49)
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Pour parler des collectifs en ligne, les auteurs (ibid., p. 117) utilisent plutôt « la métaphore du point d’eau dans le désert » ou l’image du « “point de passage” […], pôle d’attraction précaire où les individus de provenances diverses se “rencontrent” ».
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La notion de déterritorialisation est davantage relevée par ceux qui travaillent sur les populations diasporiques (Dufoix, 2010 ; Mattelart, 2007)
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l’engagement en ligne « relève plutôt du potentiel que de l’effectif ; même si la technologie fournit les moyens pour son accomplissement, les contenus réels que les gens publient en ligne peuvent ne pas être à la hauteur d’un processus délibératif »
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« sauf si quelqu’un rentre dans le cyberespace avec un engagement précis en termes de promotion d’une nation, la structure même du web tend subtilement mais de façon systématique d’affaiblir les orientations nationalistes préexistantes » (ibid., p. 167).
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la question de la double médiation (Jouët, 1993, p. 101, 117) qui est inhérente aux outils informatisés : à la fois technique, dans sa manière à structurer la pratique, mais aussi sociale, en tant que « cadre de référence,
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Celle-ci mettra en évidence comment un ensemble d’usagers dans un contexte donné détourne la vocation principale d’un dispositif technique, en même temps que ce dernier, dans son sens foucaldien (Foucault, 1977), délimite le périmètre d’action de ceux-ci.
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L’auteur souligne par exemple que contrairement aux conversations orales, les messages des forums sont archivés, du moins pendant une certaine période.
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Quant au graphisme de l’interface de la plateforme LinkedIn, il crée et impose ses propres règles de communication
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En ce sens, toutes les discussions au sein des groupes LinkedIn n’ont pas la même profondeur et elles ne sont pas construites dans un cadre temporel unifié.
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L’absence de contexte paralinguistique s’avère un autre point qui distingue les discussions en CMO (communication médiatisée par ordinateur) des conversations de face-à-face.
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ralentit la spontanéité qui caractérise l’oral, en empêchant par exemple les coupures des phrases entre interlocuteurs ou les interventions parallèles
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Comme dans une situation de face-à-face en revanche, une discussion en ligne peut impliquer différents types d’intervenants. Erving Goffman (1987, p. 15) distingue les participants ratifiés des locuteurs non ratifiés « qui ne font qu’entendre, par inadvertance ou non, qu’on les y ait ou non encouragés ».
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On peut, dans un premier temps, distinguer les locuteurs qui s’engagent dans la plateforme en position initiative ou réactive.
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Tableau 1. Types d’intervenants dans les groupes de discussion LinkedIn et degrés d’engagement Types d’intervenants dans les groupes de discussion en ligne Degré d’engagement pris Locuteurs-gestionnaires des messages (rares) Engagement très fort Locuteurs en position initiative Engagement très fort Locuteurs en position réactive Engagement fort Locuteurs exprimant une approbation Engagement moyen Témoins-membres du groupe Engagement faible Témoins-membres de la plateforme (pour les groupes ouverts) Engagement très faible
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Cela correspond en moyenne à 4 réactions par intervention initiative. Cependant, en dehors des calculs moyens, la réalité est différente : 68 lancements de discussion n’ont pas été développés, tandis que 28 interventions initiatives n’ont été accompagnées que de quelques approbations, ce qui signifie que presque la moitié des interventions initiatives (96 sur 200) est resté sans réponse explicite
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Graphique 1. Le développement des fils de discussion selon le nombre réponses-commentaires (interventions réactives). En abscisse, les fils de discussion ; en ordonnée, le nombre des réponses-commentaires.
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Graphique 2. Le développement des fils de discussion selon le nombre d’approbations (« j’aime »). En abscisse, les fils de discussion ; en ordonnée, le nombre des approbations.
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celle de la transformation des discours, résultat de la recontextualisation de ces derniers et des cadrages d’interprétation éventuellement apportés.
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« Lors de l’accomplissement d’un acte de discours […], le locuteur exprime en général le contenu propositionnel avec l’intention qu’une correspondance soit établie entre le langage et le monde suivant une certaine direction d’ajustement.
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la majorité des interventions initiées par les membres du groupe, à savoir 177 sur 200, sont d’ordre déclaratif.
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ou bien, ce qui est beaucoup plus fréquent, ils publient un lien vers un article de presse, une vidéo, etc. (rediffusion d’un texte déjà existant).
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À ce titre, il est important de noter la dominance de la rediffusion des contenus en tant qu’activité principale des discutants
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La curation de contenus relève d’un processus de circulation de l’information qui fait partie de l’acte communicationnel (Charaudeau, 2005, p. 23), si l’on tient compte que, « dans la réalité, nous communiquons le plus souvent en ayant le désir d’informer l’autre » (Sacriste, 2007, p. 33)
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La curation soulève au moins deux questions : celle du statut de l’auteur/éditeur, en tant que personne qui sélectionne et diffuse l’information médiatique parfois en rajoutant ses propres commentaires
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Si la « réussite d’un acte de langage » (Trognon, 1993, p. 98) est liée à la suite que les locuteurs donnent à ce dernier, cette répartition inégale fournit un premier élément de réponse à propos de l’usage que font les usagers de la plateforme.
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elle est nommée « sociale » car elle se distingue, du moins partialement, des processus algorithmiques que mettent en place des info-médiateurs comme Google
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du travail expressif que font les internautes pour construire leur singularité numérique » (Cardon, 2011).
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C’est le processus de construction identitaire qui se trouve au centre de cette production collective de sens, à une époque où « l’identité prend en effet la place des autres systèmes d’inscription, d’organisation et de régulation pour servir de support, de balise et de cadre aux échanges dans l’espace et le temps »
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n le sait, la proportion de contenus véritablement produits par les utilisateurs reste globalement très faible ». Mais qui sont alors ces « curateurs », membres du groupe ?
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Il est ainsi à noter que les 200 interventions initiatives qui composent le corpus ont été lancées seulement par 55 participants (pour un groupe qui comptait déjà presque 3000 membres au moment de l’enquête)
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Graphique 5. Nombre de discussions initiées par participant. En abscisse, les participants ; en ordonnée, le nombre des discussions initiées.
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l’existence d’un modèle récurrent de participation (pattern of participation) au sein des groupes de discussion en ligne, avec un noyau de quelques membres contribuant à la majorité du contenu proposé, quelques membres périphériques intervenant de façon irrégulière et un grand nombre de « consommateurs passifs » (lurkers) lisant les discussions sans y participer.
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Graphique 6. L’activité des « lanceurs » de discussions : interventions initiatives, réponses-commentaires, approbations. En abscisse, les participants ; en ordonnée, le nombre des posts par catégorie.
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Graphique 7. L’activité des « non-laceurs » de discussions : réponses-commentaires, approbations. En abscisse, les participants ; en ordonnée, le nombre des posts par catégorie.
Conversations About The Internet #5: Anonymous Facebook Employee - The Rumpus.net - 0 views
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L'identitÉ numÉrique : de la citÉ À l'Écran. Quelques aspects de la reprÉsent... - 3 views
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plaçant le sujet parlant en situation de puissance inédite en autorisant les interactions au niveau mondial, sous forme synchrone ou asynchrone, et surtout en exposant médiatiquement aux yeux de tous les internautes le produit de ses échanges.
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L’épouillage mutuel, ou grooming, représente en effet une activité essentielle du groupe à laquelle l’individu consacre une bonne partie de son temps et pour cause : il participe notamment au maintien de la hiérarchie et évite les conflits entre les membres, à travers un principe régulateur qui tient de "l’économie de service"
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L’auteur fait l’hypothèse que le bavardage aurait permis à l’homme de gagner du temps en s’adonnant à d’autres activités simultanément, tout en pratiquant ces indispensables échanges sociaux.
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le nombre de participants, et l’exposition médiatique décuplant le pouvoir du bavardage (pour un aperçu, voir Donald, 2007) ; la possibilité de clavarder avec de nombreux participants indépendamment et simultanément, en ouvrant plusieurs fenêtres de chat par exemple ; le décalage dans l’espace (à l’échelle planétaire) et dans le temps : même en cas d’interaction synchrone, les décalages horaires induisent que les interactants ne partagent pas une même référence temporelle, quand bien même ils sont connectés au "même moment".
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Les communautés ainsi créées sur le web ont en commun de se retrouver sur des univers indépendants les uns des autres (jeux, actualité, loisirs, sphère professionnelle… déclinés en communautés d’opinions) où "chaque internaute a le sentiment d’être le point central autour duquel le reste évolue. C’est l’individualisme de réseau [qui] devient une forme de sociabilité sur Internet, et ceci n’est pas sans conséquences sur la vie concrète, réelle des individus."
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Ces communautés localisées dans ces espaces identifiés et identifiants reposent, comme cela est le cas dans le monde réel, sur des praxis et des comportements langagiers à valeurs lectales.
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e temps suspend son vol, mais jamais ne l’arrête. Madeleine Pastinelli (op. cité), qui a étudié de très près le comportement d’un chat québécois (le canal #amitie25-qc), souligne comment cet espace doit être occupé en permanence, quitte à parler même lorsque l’on a plus rien à dire, en guise de processus compensatoire de l’absence de coprésence physique.
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Concrètement, sur le net et chez les observateurs, nous retrouvons cette figure du sujet : l’internaute n’a d’existence dans la communauté qu’en fonction de son activité, d’abord évaluée quantitativement (nombre de "posts", d’ "amis"…), en une "identité calculée" pour reprendre la terminologie de Fanny Georges (2009).
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L’existence numérique est ainsi déterminée par l’exigence de la publicité de soi, qui suppose le partage d’un cadre de référence et d’un code commun de communication.
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L’auteur souligne ainsi que les différentes thématiques abordées dans les échanges s’effacent généralement derrière le travail de la relation. Ce travail relationnel explique également le recours à la citation des autres internautes, amplifié par le dispositif technologique qui permet de reproduire à l’identique tout ou partie d’un message.
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La dimension interactionnelle semble donc être au cœur du dispositif avec quelques différences marquées entre bavardage et clavardage, dont la non moindre est l’absence de rencontre des corps.
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Si les dynamiques de la communication en distance rapprochée sont ici largement amputées (odeur, contact épidermique…), celle-ci semble bien créer les conditions d’une communication proche, favorisant les registres intimistes tels qu’on peut les retrouver sur beaucoup de forums et sites (cela reste bien sûr une hypothèse).
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la construction de l’autre dans l’espace du média est extrêmement générale et anonyme. En même temps, cet autre fait partie du quotidien : on converse tous les jours avec lui et l’on passe ensemble des heures sur le réseau. Avec les médias électroniques, il devient possible de vivre dans un monde à la fois d’abstraction et de proximité" (p. 212).
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S’il n’est pas question de circonscrire en quelques lignes une définition de l’identité, nous pouvons toutefois rappeler sa triple dimension :
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dimension personnelle, subjective, d’abord, résultant d’une construction visant un "effet" d’unité dans la complexe hétérogénéité de la personnalité, permettant l’identification à/de soi dans la permanence.
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Dans les lignes qui suivent, nous considérons l’identité comme le résultat de l’intime interaction de ces trois dimensions. Mais ce résultat n’est pas homogène : il dépend, par exemple, du contexte.
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Dans l'espace virtuel du web social, les dynamiques subjectives se travaillent entre identité civile et identité numérique. Cet article, après avoir explicité les grandes caractéristiques de l'interaction dans le web social, s'attache à présenter ces deux bornes du continuum identitaire sur le net. Ce cadre posé, l'auteur s'attache au personnage-écran, une forme extrême de la subjectivité numérique, construite entre liberté et contrainte du système.
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Les appels au boycott de Nokia se multiplient | ReadWriteWeb France - 0 views
fr.readwriteweb.com/...boycott-nokia-siemens
surveillance iran reseaux-sociaux siemens nokia acteurs-economiques censure internet idnum
shared by Julien PIERRE on 06 Jul 09
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L'École numérique » Disparition sur les réseaux : quels enjeux pour l'identit... - 2 views
digitalreports.wordpress.com/...80%98identite-numerique-%C2%A0
identité numérique données personnelles disparition droit à l'oubli inscription archivage numérique effacement
shared by peir ric on 10 Nov 11
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Sur un dispositif numérique, la trace écrite se scinde en deux modalités : d’un côté, l’inscription comme donnée (sur un disque dur ou un serveur) et de l’autre, l’affichage comme document.
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La trace est donc mémorisée au niveau de l’inscription, pas nécessairement de l’affichage. Le logiciel va alors être chargé d’assurer la conversion des données numériques en signes lisibles (le document Word par exemple).
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Le problème est le suivant : les données écrites par l’utilisateur sont manipulables au niveau de l’affichage (on peut écrire sur son profil et celui des autres, aimer tel groupe de musique, publier des vidéos sur le « mur » d’un autre) mais le niveau de l’inscription (c’est-à-dire les bases de données) n’est visible, manipulable et accessible (bref, administré) que par le biais de l’entreprise privée qu’est Facebook. Nous, utilisateurs lambdas, n’avons donc accès qu’au niveau de l’affichage.
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C’est pourquoi la question est d’ordre fondamentalement politique : qui peut accéder aux données d’utilisateurs décédés et les manipuler ?
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C’est pourquoi dans le cadre de l’usage de ces outils, il faut être attentif à la délégation des données à des acteurs privés : qui a accès aux données ? Pouvons-nous demander à ce que ces dernières soient effacées ?
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C’est le niveau de l’inscription qui détermine l’affichage de l’identité numérique. C’est pourquoi le projet d’un « droit à l’effacement », semble essentiel, car il consiste à disposer du niveau décisif de la trace numérique, celui de l’inscription.
Facebook's Culture Problem May Be Fatal - The Conversation - Harvard Business Review - 0 views
Facebook | See the Messages that Matter - 0 views
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Pourquoi je n'utiliserai plus Facebook - 4 views
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vous serez automatiquement identifié via votre identité Facebook, qui devient ainsi le point de contrôle de toute votre identité virtuelle.
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Facebook utilise vos données personnelles comme monnaie d’échange : car tout ça a un prix. Les systèmes centralisés coûtent chers
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Au lieu de créer un système basé sur la créativité de leurs utilisateurs et les bénéfices d’un réseau de publication, au lieu de générer de la valeur par de la création, Facebook a choisi de faire captation, de faire propriétarisation de l’utilisateur, pour l’exporter en échange d’argent.
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Or, que veut-dire contrôle, dans un système d’hyper-media comme le Web ? Ça veut dire que la possibilité de censure s’exerce non seulement à l’intérieur du réseau, mais aussi à l’extérieur, puisque c’est Facebook qui, telle une pieuvre hyper-tentaculaire, tire toutes les ficelles.
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Les fichiers sont stockés sur les serveurs de Facebook (où la loi française ne s’applique pas, faut-il le rappeler), les logs sont chez facebook. Vos conversations de chat ? Enregistrées chez Facebook. Toutes vos photos ? À quelques clics près visibles par n’importe qui en charge à Facebook.
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Du blog au microblog : l'émergence de l' « auteur incarné » et de l' « œuvre-... - 0 views
narvic.fr/...ur-incarne-et-de-l-oeuvre-flux
microblogging editorialisation-de-soi evelyne-broudoux archivesic auteur blogueur tumblr twitter
shared by Julien PIERRE on 03 Sep 09
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Ainsi aux côtés de l’auteur porté par l’éditeur, reconnu par les institutions culturelles, un nouveau profil commence à s’imposer : celui de l’auteur incarné dont la notoriété se mesure à l’amplitude de la conversation provoquée par ses billets, mesurable par les re-blogs, les citations, les « on aime », les « trackbacks », jusqu’à ce qu’il soit répertorié par les médias traditionnels (journaux, radios, télévision) et intégré dans la chaine de l’autorité. Cet auteur disséminateur bâtit une œuvre-flux plutôt qu’un patrimoine à partir d’objets remaniés, remixés, recomposés.
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Le devenir algorithmique › Christian Fauré - 0 views
www.christian-faure.net/...le-devenir-algorithmique
christian-faure logique-algorithmique philosophie
shared by Julien PIERRE on 26 Aug 09
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Le devenir algorithmique désigne dès lors le mécanisme inexorable qui est à l’oeuvre dans l’ensemble des processus de grammatisation, celui-là même qui nous pousse vers une numérisation de plus en plus importante de notre monde.
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Il y a un devenir algorithmique dans la mesure où celle-ci joue un rôle de plus en plus important et visible dans nos vies. Ainsi le devenir algorithmique s’inscrit jusque dans ces conversations commerciales que l’on nous impose au téléphone avec les télévendeurs ou téléconseillers