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peir ric

«La crampe de Hollande» : radioscopie d'un buzz - Making-of - 1 views

  •  
    excellent article qui permet de traiter à la fois du devenir d'un enregistrement, des mémoires infinies du web, du changement de contexte, du détournement de contexte, des raisons, souvent anecdotique d'un buzz
peir ric

Les limites du ciblage publicitaire personnalisé « InternetActu.net - 2 views

  • L’utilisateur moyen n’a aucune idée de comment fonctionne ces entreprises, ni de ce que chacune d’elle fait précisément.
  • En fait, en se déréférençant, on se retire la possibilité de recevoir les publicités ciblées, mais on n’empêche pas ces entreprises de continuer à accumuler des données sur son historique de navigation.
  • les utilisateurs n’ont pas le droit de ne PAS être tracés. Le seul droit qu’on leur confère, c’est celui de ne pas avoir de publicités basées sur leur historique de navigation.
  • ...5 more annotations...
  • nos noms semblent finalement un bien faible rempart contre l’extrême personnalisation.
  • La solution pourrait peut-être venir des limites intrinsèques de cette fouille de données personnalisée.
  • Pour beaucoup d’utilisateurs, la recherche personnalisée devient trop personnelle. Le ciblage publicitaire pourrait-il à son tour devenir inefficace à force d’être trop personnel ?
  • la personnalisation fonctionne souvent moins bien que l’annonce classique et ce d’autant plus quand elles sont combinées.
  • Une publicité qui vous poursuit de site en site pendant des semaines parce que vous vous êtes rendu sur un site d’achat particulier devient finalement souvent bien plus inquiétante qu’alléchante…
peir ric

Technologies de libération et de surveillance - 0 views

  • C'est sur ce schéma -capacité expressive plus capacité connective - que repose l'idée maintenant répandue depuis presque une vingtaine d'années que les technologies numériques sont intrinsèquement libératrices.
  • Face à la vision dite cyberoptimiste d'un forum planétaire incontrôlable où tout finit par se savoir et où la parole circulera forcément, s'oppose la crainte des technologies de contrôle. Celles-ci doivent forcément s'orienter dans deux directions : repérer et interrompre.
  • Le duel activistes contre autorité est donc à l'origine de nouvelles techniques que l'on a déjà baptisé "de libération" : utilisation des TIC pour surmonter l'obstacle d'une censure ou d'un repérage.
  • ...9 more annotations...
  • puis il faut que ce collectif prenne courage, se ressasse ses raisons d'être en colère et envisage de témoigner ou de faire.
  • La dimension de l'organisation et de la représentation ne sont pas moins importantes que celle de la communication pure.
  • Avant la révolte, il faut des communautés où chacun découvre qu'il n'est pas seul et que d'autres pensent comme lui
  • L'idée que "les technologie de libération offrent des possibilités de s'exprimer en dépit de la censure" est d'ailleurs réductrice.
  • Il faut enfin que les réseaux sociaux aident à passer dans la vraie vie et à en finir avec la schizophrénie entre le virtuel (où tout est possible) et le réel (où l'on courbe la tête et où l'on n'ose parler à personne de peur de la police).
  • En d'autres termes la lutte entre technologie de contrôle et de libération porte non seulement sur la capacité de mettre en ligne certains messages (ou d'y accéder) mais aussi sur la structure des réseaux qui encouragent certaines formes de participation et de coordination au sein d'une communauté.
  • Retenons globalement que les technologies de libération sont destinées à contourner une censure et d'échapper à une force de contrôle préexistante (sinon, il s'agirait d'une simple technique d'expression).
  • Et qu'elles visent assez logiquement à rendre des messages incompréhensibles ou intraçables pour une service de police, mais aussi à établir ou rétablir des capacités de connexions entre tous les activistes et à leur permettre d'avoir des échanges intenses (et en termes d'information et au sens psychologique).
  • Assez logiquement les technologies de libération vont prendre plusieurs directions : donner des outils de journalisme au simple citoyen, crypter ou anonymiser des contenus pour que l'État ne puisse pas savoir ce que vous dites et qui vous êtes, rétablir des réseaux secondaires, au cas où l'État voudrait couper les tuyaux.
peir ric

Identité numérique et détournements - CaddE-Réputation - 1 views

  • Et, surtout, que la notion de web social amène celle de profils (sur les plates-formes), d’exposition de soi et de développement d’interactions et d’échanges entre internautes.
  • info-communicationnelle
  • Ce qui impact alors directement l’e-réputation, considérant entre autre que celle-ci repose sur la mise en contexte et l’interprétation que l’on fait du comportement de  quelqu’un ou quelque chose en fonction des informations qui circulent sur lui en ligne.
  • ...14 more annotations...
  •  l’ensemble des traces que nous laissons derrière nous [sur le web] ».
  • Traces qui peuvent être profilaires (les profils que l’on remplit), navigationnelles (laissées par la navigation sur les applications web) ou encore inscriptibles (contenu que l’on produit sur le web, et qui est généralement indexé donc mémorisé).
  • Nous ne nous inscrivons donc pas tous dans les mêmes cercles. Si Milgram nous a appris que nous étions tous connectés les uns aux autres à divers degrés, le web permet de faire une séparation entre ce que nous montrons aux uns et aux autres. Et c’est des relations que nous avons avec les cercles les plus « obscurs » que nous développons une identité numérique qui nous est propre, donc difficilement détournable.
  • Ses attributs identitaires (ses traces) sont à la fois indexés par les plates-formes qu’il utilise, par lui-même, par les autres, ils sont sans cesse réarticulés sémiotiquement parlant (redocumentarisés diront certains), changés de contextes, intégrés dans des bases de données, etc.
  • En résumé, et en gardant l’analogie documentaire (voire même plus loin, avec l’idée que nous sommes des « textes commentés par d’autres  textes »), il est intéressant de souligner que l’on peut falsifier et/ou détourner un document ou un texte (et encore plus son sens et sa possible interprétation)…
  • ces fameuses traces sont à la fois beaucoup plus et beaucoup moins que l’identité.
  • Idée qui se rapproche, de mon point de vue, de celle de la théâtralisation de soi de Goffman, où l’on choisit consciemment ou non ce que l’on souhaite projeter aux autres comme image de nous (de manière très schématique).
  • En bref, les réactions des contacts « proches » (les quelques contacts avec lesquels on échange constamment) face aux traces et à leur visibilité sont une forme de mise en contexte qui permettent de définir l’identité numérique d’un individu. Et, surtout, d’identifier un détournement.
  • le meilleur moyen est d’observer les échanges et contacts avec les cercles proches de l’IDN que l’on observe.
  • la réputation est avant tout (d’un point de vue informationnel) un système d’évaluation. Un ensemble de critères permettant de définir l’intérêt que l’on porte ou pas à quelqu’un d’autre, ou encore d’influer sur  le choix d’une information.
  • artant de ce principe, si le détournement change le sens des attributs identitaires, influe sur le contexte d’interprétation des signes que l’on émet, alors il modifie certains attributs réputationnels…donc la possible évaluation que les autres portent sur nous.
  • Le risque est donc là, le détournement des traces que l’on laisse peut redéfinir le sens qu’on leur donne, et donc biaiser l’évaluation que les autres portent sur nous.
  • Si le web est grand producteur de données, seule leur mise en contexte (par les autres notamment, la manière dont ils articulent, réarticulent les traces, les échanges, leur comportement face aux traces, etc.) permet de définir un début d’identité numérique.
  • Mais, pour ma part, je ne fouillerai pas jusque-là, l’idée étant ici de seulement souligner que le détournement de l’IDN est un détournement du sens, et que le contexte relationnel est un indicateur de l’impact de ce détournement.
Alain Marois

Identité numérique : ce miroir déformant - Blog du modérateur - 1 views

  • Toutes ces interactions et échanges virtuels ont rapidement mis en exergue la possibilité de se forger une image sur la toile. Si je participe activement à la production de contenus pertinents et à l'animation de sites en lien avec mes compétences, pourquoi n'utiliserais-je mon vrai nom ? Le personal branding est né.
  • L'accès à un média de masse pour consommer de l'information a rapidement donné la possibilité de se forger une identité numérique. Et même si beaucoup de résistants ou de "dépassés" ne cherchent pas à disposer d'une identité sur le web, on se rend compte que le web vous a déjà rentré dans son catalogue. Et oui, la technologie est un train qui ne vous attend pas et qui vous rattrape bien souvent malgré vous.
  • C'est face à ce constat qu'est apparue la notion d'e-réputation. Véritable buzzword de l'année 2010, ce terme est le témoin d'une démocratisation des outils pouvant nous permettre de gérer notre vie virtuelle. Par e-réputation, on entend l'image que les autres ont de nous sur le web. Il faut bien comprendre qu'il ne s'agit pas de notre image numérique (celle que l'on souhaite se donner), mais bien de notre réputation numérique (ce que les moteurs de recherche et nos contacts pensent de nous).
  • ...7 more annotations...
  • Il ne s'agit donc plus simplement de chercher à se valoriser socialement sur le net, mais également de gérer sa propre image.
  • Que l'on soit une marque, un particulier, un personne célèbre ou inconnue, on observe que la toile s'est enracinée dans notre quotidien. Cette cohabitation exige que l'on contrôle notre identité numérique pour nous faciliter le travail. Il ne s'agit donc plus réellement d'un besoin, mais plutôt d'un devoir.
  • Le voilà donc ce fameux revers de la médaille. Croire que nous devons gérer qu'une seule identité est une utopie. Nos différentes identités réelles nous rattrapent sur le virtuel. Seule solution, trouver un compromis. Soit en segmentant son réseau en fonction des outils, soit en triant des contacts pour faire des listes et ainsi contrôler sa communication.
  • La nouvelle orientation de Facebook semble atteindre le paroxysme d'une volonté d'exhibitionnisme. Facebook Timeline nous permet dorénavant d'avoir accès à ce que nos contacts écoutent, lisent, regardent, à l'ensemble de leur statuts depuis leur inscription sur la plateforme, etc. Bref, notre réseau s'est transformé en un Big Brother de masse, une caméra de surveillance sur notre vie 24/24, 7j/7. Gérer son identité sur Facebook est presque devenu un emploi à mi-temps,
  • Désormais, on pense plus aux répercussions de nos interventions qu'au plaisir que l'on a à les partager. On nous observe, on nous écoute, on nous lit, et cela nous force à être vigilant sur notre identité numérique
  • Malgré tout, un palier psychologique a été franchi, qui fait que la technologie nous est purement et simplement nécessaire. Cette dépendance nous amène à un choix cornélien (ou pas) : Choisir de profiter des bienfaits du net tout en " pervertissant " une partie de son image pour disposer d'une identité numérique homogène, ou préférer s'interdire ces outils pour respecter notre identité originelle mais se priver des modes de communication d'aujourd'hui ?
  • C'est en cela qu'Internet peut être considéré comme un investissement. Rien n'est vraiment gratuit.
peir ric

Le blog du Modérateur - - 1 views

  • À l’adolescence, le besoin de se socialiser est à son apogée.
  • Famille, amis, collègues, nous adaptons nos comportements à nos interlocuteurs pour nous présenter sous notre meilleur jour.
  • En effet, dans la réalité, notre entourage sait dissocier le vrai du faux car il nous connaît et nous côtoie au quotidien.
  • ...13 more annotations...
  • Mais notre réseau digital est principalement constitué de connaissances ou de contacts professionnels purement virtuels. Ces derniers ne peuvent donc pas vérifier toutes nos allégations sur notre personne. Nous avons donc carte blanche pour laisser libre cours à nos « arrangements ».
  • Désormais, on pense plus aux répercussions de nos interventions qu’au plaisir que l’on a à les partager.
  • Doit-on centraliser toutes nos productions autour de notre réseaux réel et virtuel, ou doit-on scinder nos interventions pour ne pas salir nos costumes identitaires ?
  • une impasse inévitable. Comment dissocier notre communication pour nos contacts ?
  • Par e-réputation, on entend l’image que les autres ont de nous sur le web. Il faut bien comprendre qu’il ne s’agit pas de notre image numérique (celle que l’on souhaite se donner), mais bien de notre réputation numérique (ce que les moteurs de recherche et nos contacts pensent de nous).
  • À l’aube de la structuration de l’égo et de l’estime de soi, l’image numérique des adolescents est donc un enjeu crucial dans la construction de leur personnalité.
  • l’illusion d’être plus libre car elle a su briser les frontières physiques.
  • pas plutôt restreints dans nos choix et nos actes face à cette culture de l’image ?
  • la technologie nous est purement et simplement nécessaire. Cette dépendance nous amène à un choix cornélien
  • Choisir de profiter des bienfaits du net tout en  » pervertissant  » une partie de son image pour disposer d’une identité numérique homogène, ou préférer s’interdire ces outils pour respecter notre identité originelle mais se priver des modes de communication d’aujourd’hui ?
  • plus jeunes ont toujours connu Internet
  • notre comportement est déjà le fruit de nos interactions sociales. C’est bien le cas, mais seulement en partie selon moi. Car le web a cette particularité d’impacter directement et visiblement nos choix puisque que ce sont nos prises de paroles et nos productions qui sont les témoins de cette influence.
  • cette image idéalisée présente sur la toile est souvent bien éloignée de la réalité.
peir ric

Données personnelles : Google joue-t-il dangereusement avec sa réputation ? |... - 2 views

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    " Les enjeux commerciaux sont en effet colossaux. Rien qu'en Europe, une étude américain estimait en 2012 que les données personnelles des Européens pesaient l'équivalent de 315 milliards de dollars (6)"
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