Que doivent faire maintenant Barack Obama et Hillary Clinton pour "récupérer" les électeurs qui votaient John Edwards, particulièrement les oubliés de la croissance et les classes moyennes que John Edwards défendait.
Que faire lorsqu'on a affaire à un candidat inexpérimenté (3 ans de Sénat) sans que cela dérange ses partisans et qui coalise deux aspirations (contradictoires) au changement? Visiblement rien… du moins pour l'instant. Qu'en sera-t-il en novembre?
Cette année, le vote des indépendants pèsent d'un poids certain dans les primaires démocrates et républicaines. Avec 30% de la population américaine qui s'estime indépendant, ces électeurs-là pèseront également sur l'élection de novembre. Tour
Cette analyse comparée des campagnes publicitaire de Barack Obama et d'Hillary Clinton met en évidence les mauvaises stratégies d'Hillary Clinton en terme de campagne. Serait-ce là l'essentiel des explications de ces revers successifs?
La presse se rend compte qu'elle est allée un peu loin dans l'idolatrie.
La voilà qui démonte le phénomène qu'elle a elle-même gonflé.
Jusqu'à la semaine dernière, on ne lisait des des louanges.
Depuis ce week-end, la vague a reflué.
Regardez ce montage de Breitbart.TV : un, deux, trois, quatre, cinq, six personnes qui défaillent. Ces défaillances dans les meetings d'Obama, obtiendraient-elle plus d'attention parce qu'ils perpétuent l'image d'un candidat messie?
Les primaires accordent une influence sur-dimensionnée aux "faiseurs d'opinion" et surtout aux commentateurs qui décrètent sentencieusement les "moments décisifs" (le momentum) que la campagne serait censée avoir atteinte.
Dans la plupart des débats télévisés s'est majoritairement à Hillary Clinton que les commentateurs posent leurs questions en premier et lorsqu'il en a le choix Barack Obama choisit de répondre en suivant. Dans quelle mesure cela joue-t-il un rôle?
Visiblement les lobby réactionnaires et conservateurs de la droite américaine ont désigné le vainqueur des primaires démocrates, car ils commencent déjà à affiner leur couteaux et à tirer à boulets rouges à l'égard de Barack Obama. Et cette ca
Par Claude Grunitzky, qui de New York assiste à une montée en puissance du candidat Obama, fondée non sur son programme mais sur l'espoir de rupture qu'il représente.
La différence entre Barack Obama et Hillary Clinton serait-elle due avant tout pour une question de genre? Ou dans quelle mesure la vulnérabilité politique d'H. Clinton repose-t-elle sur son propre parcours politique ou sur des stéréotypes masculins?
L'Ohio est un des swing states soit ces Etats qui peuvent basculer en novembre et qu'il importera pour les démocrates de remporter pour gagner la présidentielle. A ce titre, c'est un Etat bien plus important que le Texas (acquis aux Républicains).
24 heures après ses victoires au Texas et en Ohio, Hillary Clinton apporte (une nouvelle fois) la preuve qu'il est toujours payant de gagner en levant 3,6 millions de $ dans ce laps de temps. Depuis le 1er mars elle est à 1 mio de $ jour.
Campagne d'une nouvelle ère cette campagne 2008? Les outils utilisés ont permis de cibler le «produit» politique comme n'importe quel produit de supermarché en fonction de micropannels d'électeurs. + une énorme machine de mobilisation des militants
Depuis quelques mois, le passé et l'histoire deviennent les instruments privilégiés de contrôle du débat public et de régulation de la vie politique. La provocation mémorielle est érigée en un système de gouvernement.
Initialement le phénomène de la longue traine a été identifié dans le mécanisme de commercialisation des produits numériques sur Internet. Aujourd'hui, ce phénomène est appliqué à la politique et plus particulièrement à la campagne de B. Oba
Professeur formateur en didactique de l'histoire.
Municipal socialiste en charge de la Sécurité et des Affaires culturelles à La Tour-de-Peilz (Suisse)