Skip to main content

Home/ hgurhjyt/ survetement lacoste homme après le la
hgurhjyt hgurhjyt

survetement lacoste homme après le la - 0 views

robe lacoste femme

started by hgurhjyt hgurhjyt on 05 Aug 14
  • hgurhjyt hgurhjyt
     
    la déposait, toute couchée comme elle était, sur le canapé; puis courant à son Antonio Amati, et accordant l'accompagnement avec les paroles. commença de son côté à faire passer l'harmonie de son archet sous le chant d'Antonia, et à le soutenir comme un ange soutient l'âme qu'il porte au ciel. La voix d'Antonia était une voix de soprano, possédant toute l'étendue que la prodigalité divine peut donner, non pas à une voix de femme. mais à une voix d'ange. Antonia parcourait cinq octaves et demie. elle donnait avec la même facilité le contreut, cette note divine qui semble n'appartenir qu'aux concerts célestes. et l'ut de la cinquième octave des notes basses. veste lacoste homme Hoffmann n'avait entendu rien de si velouté que ces quatre premières mesures chantées sans accompagnement, Pieta, Signore. di me dolente. Cette aspiration de l'âme souffrante vers Dieu, cette prière ardente au Seigneur d'avoir pitié de cette souffrance qui se lamente. prenaient dans la bouche d'Antonia un pressentiment de respect divin qui ressemblait à la terreur. De son côté l'accompagnement, qui avait reçu la phrase flottant entre le ciel et la terre. qui l'avait, pour ainsi dire. prise entre ses bras. survetement lacoste homme après le la expiré, et qui, piano, piano, répétait comme un écho de la plainte. l'accompagnement était en tout digne de la voix lamentable. et douloureux comme elle. Il disait, lui, non pas en italien, non pas en allemand, non pas en français. mais dans cette langue universelle qu'on appelle la musique. Pitié, Seigneur, pitié de moi, malheureuse. pitié, Seigneur, et, si ma prière arrive à toi, que la rigueur se désarme et que tes regards se retournent vers moi moins sévères et plus cléments Et cependant, tout en suivant, tout en emboîtant la voix. robe lacoste femme agnement lui laissait toute sa liberté, toute son étendue; c'était une caresse et non pas une étreinte. un soutien et non une gêne; et quand, au premier sforzando, c'estàdire quand, lassée de l'effort, la voix retomba comme pour essayer de monter au ciel, l'accompagnement parut craindre alors de lui peser comme une chose terrestre. et l'abandonna presque aux ailes de la foi, pour ne la soutenir qu'au mi bécarre. c'estàdire au diminuendo, c'estàdire quand, lassée de l'effort, la voix retomba do, quand, sur le ré et les deux fa, la voix se souleva comme affaissée sur ellemême. et, pareille à la madone de IV Antonia 63 Page 67 La Femme au Collier de Velours Canova, à genoux. assise sur ses genoux. et chez laquelle tout plie.

To Top

Start a New Topic » « Back to the hgurhjyt group