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les exilés un peu. Veste moncler homme - 0 views

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started by hgurhjyt hgurhjyt on 06 Sep 13
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     4Page 8 Les mille et un fantomesa cent ans .la courtoisie. Et cependant, du temps du marquis d'Argenson, on n'avait pas encore eu l'idée de s'appeler citoyen. Ainsi jugez. Si l'on avait dit au marquis d'Argenson, à l'époque où il écrivait ces mots, par exemple . «Voici où nous en sommes venus en France . la toile tombe . 
    tout spectacle disparaît . il n'y a plus que des sifflets qui sifflent. Bientôt, nous n'aurons plus ni élégants conteurs dans la société, ni arts, ni peintures, ni palais bâtis . mais des envieux de tout et partout.» Si on lui avait dit, à l'époque où il écrivait ces mots, que l'on en arriverait,moi, du moins,à envier cette époque,on l'eût bien étonné, n'estce pas, ce pauvre marquis d'Argenson .Aussi, que faisje .Je vis avec les morts beaucoup,avec les exilés un peu. Veste moncler homme J'essaye de faire revivre les sociétés éteintes, les hommes disparus, ceuxlà qui sentaient l'ambre au lieu de sentir le cigare . qui se donnaient des coups d'épée, au lieu de se donner des coups de poing. Et voilà pourquoi, mon ami, vous vous étonnez, quand je cause, d'entendre parler une langue qu'on ne parle plus. Voilà pourquoi vous me dites que je suis un amusant conteur. Voilà pourquoi ma voix, écho du passé, est encore écoutée dans le présent, qui écoute si peu et si mal. C'est qu'au bout du compte, comme ces Vénitiens du dixhuitième siècle auxquels les lois somptuaires défendaient de porter autre chose que du drap et de la bure, nous aimons toujours à voir se dérouler la soie et le velours, et les beaux brocarts d'or dans lesquels la royauté tablait les habits de nos pères. Tout à vous, ALEXANDRE DUMAS. doudoune moncler femme
    A M. *** 5Page 9 IL AR U E D ED I A N EA FONTENAYAUXROSESLe 1er septembre de l'année 1831, je fus invité par un de mes anciens amis, chef de bureau au domaine privé du roi, à faire, avec son fils, l'ouverture de la chasse à FontenayauxRoses. J'aimais beaucoup la chasse à cette époque, et, en ma qualité de grand chasseur, c'était chose grave que le choix du pays où devait, chaque année, se faire l'ouverture. D'habitude nous allions chez un fermier ou plutôt chez un ami de mon beaufrère . c'était chez lui que j'avais fait, en tuant un lièvre, mes débuts dans la science des Nemrod et des Elzéar Blaze. Sa ferme était située entre les forêts de Compiègne et de VillersCotterets, à une demilieue du charmant village de Morienval, à une lieue des magnifiques ruines de Pierrefonds. Les deux ou trois mille arpents de terre qui forment son exploitation présentent une vaste plaine presque entièrement entourée de bois, coupée vers le milieu par une jolie vallée au fond de laquelle on voit, parmi les prés verts et les arbres aux tons changeants, fourmiller des maisons à moitié perdues dans le feuillage, et qui se dénoncent par les colonnes de fumée bleuâtre qui, d'abord protégées par l'abri des montagnes qui les entourent, montent verticalement vers le ciel, et ensuite, arrivées aux couches d'air supérieures, se courbent, élargies comme la cime des palmiers, dans la direction du vent.

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