Alors qu’aujourd’hui une salade, végétal le plus consommé au monde, parcourt en moyenne 1000 km avant d'arriver chez nous, “il est nécessaire de développer des modes de production agricole moins impactant pour l’environnement” pour la start-up. Cultiver la salade à proximité des consommateurs et de cette manière s’inscrit dans une démarche écologique en réduisant la distance mais aussi l'eau et l'utilisation des pesticides de 90 %. Elle pourrait même revendiquer l'appellation bio si elle n'était pas produite hors-sol.