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sac a main longchamp pas cher cuir neuf

started by tomsdiscout tomsdiscout on 11 Sep 14
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    #1 tomsdiscout tomsdiscout on 11 Sep 14
     
    Une fois de plus, cependant, la République islamique n'a pas fermé définitivement la porte aux négociations. «L'Iran est toujours prête à négocier avec les autres pays, y compris la Russie, mais l'accès à la technologie nucléaire civile représente, pour nous, un impératif absolu», confiait hier au Figaro, Akbar Alani, membre de la commission parlementaire chargée de la politique étrangère et des questions de sécurité nationale. Il faisait écho aux propos du chef de la délégation iranienne à Moscou, Ali Hosseini Tash, sur la télévision d'Etat, et selon lequel «il a été convenu de poursuivre des négociations». Ces dernières, dont on ne connaît pas les détails précis, auront lieu très bientôt à Téhéran. Le temps est comptéUne visite en Iran de Sergei Kiriyenko, le chef de l'agence russe à l'énergie atomique, est prévue pour demain. Quant au ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, il a refusé d'être pessimiste en suggérant de faire «preuve de prudence, avant d'employer les termes de «rupture» ou «d'échec» tant que les discussions ne seront pas terminées».De retour de son voyage en Belgique, Manouchehr Mottaki, le chef de la diplomatie iranienne, a de son côté proposé que les discussions avec l'Union européenne ne se limitent pas à la troïka (Grande-Bretagne, Allemagne, France) mais qu'elles s'ouvrent à d'autres pays pris individuellement. sac a main longchamp pas cher
    Le temps est pourtant compté. Même les anciens alliés de Téhéran veulent que l'Iran cesse de tergiverser. «La Chine espère que l'Iran va suspendre ses activités liées à l'enrichissement et créer les conditions nécessaires pour résoudre la question nucléaire par des négociations pacifiques», déclarait ainsi, hier à Pékin, le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères.La Chine et la Russie disposent d'importants intérêts commerciaux en Iran. Membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU, elles y disposent d'un droit de veto, qu'elles pourraient utiliser contre les sanctions envisagées par les Etats-Unis et l'Europe. Mais elles pourraient également décider de se ranger du côté occidental, pour ne pas se mettre à dos Washington. Signe d'une impatience accrue, le ministre allemand des Affaires étrangères, Frank-Walter Steinmeier, déclarait hier qu'il n'excluait pas la possibilité de sanctions économiques. sac a main longchamp pas cher cuir «Nous n'avons plus qu'à prier pour que le gouvernement iranien prenne une décision finale en toute franchise», a-t-il ajouté.C'est cet «héritage de l'économie de rattrapage» d'après-guerre, avec son organisation centralisée, des universités éparpillées, des chercheurs coupés du privé, un tissu industriel isolé, qu'il convient de casser pour relancer la croissance autour des entreprises innovantes.Cela l'a amené à préconiser une mise en réseau des industries et des universités selon le modèle à succès des fameux «clusters», cette organisation en «grappes» développée un peu partout dans le monde, des Etats-Unis à l'Espagne. C'est pour Christian Blanc l'unité de base d'un nouveau modèle de croissance.Il y revient longuement, car il juge que la mise en oeuvre des pôles de compétitivité se révèle en France «proche de la carica ture». Ou l'actuel gouvernement n'a pas vraiment compris le ressort de cette nouvelle dynamique industrielle. Ou bien il est incapable de la mettre en place. sac a main longchamp pas cher neuf
    Qui n'entend en effet aujourd'hui des chefs d'entreprise, d'abord emballés par ces projets territoriaux, déplorer la mainmise de Bercy, le contrôle des préfets sur l'innovation, la faible implication des élus locaux et des universités, le rôle improbable des nouvelles agences pour la recherche ? Le livre de Christian Blanc réussit à démontrer que le succès, ou l'échec, des pôles de compétitivité à la française est devenu l'étalon de la réforme du pays. Ils touchent en effet des points essentiels pour faire bouger la France : la modernisation de l'Etat, la décentralisation effective des pouvoirs vers les régions, l'autonomie propre à renforcer nos universités affaiblies, une organisation industrielle stimulant la création de richesse, le financement de la recherche et de l'innovation.C'est donc sur cette politique, devenue très visible, que le gouvernement sera jugé. Rendez-vous dès lundi prochain à Matignon où le premier ministre compte relancer les «clusters» à la française.Laurence ChavaneLa Croissance ou le chaos, Christian Blanc, 235 pages, Odile Jacob, 19,90 . L'histoire du Kosovo s'écrit en noir. Ou ne s'écrit pas.

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