J'en avais vraiment envie, et c'est notamment pour cela que j'ai sorti un gros match contre les Hongrois. Il y aura beaucoup de supporters belges.Qu'attendez-vous du Pays de Galles ?C'est une équipe compliquée. Nous n'avions presque pas eu d'occasions contre eux lors de nos précédentes rencontres et nous ne les avons pas battus depuis longtemps. Ils sont compacts, et devant ils one un très grand joueur : Gareth Bale.Les conseils de Kylian Hazard.. Veste Lacoste Pas Cher .Qu'avez-vous pensé du match contre la Hongrie ?Faire mieux sera compliqué. Ce soir, c'était presque parfait. Thibault n'a pas encaissé de but. C'était un match difficile, même si la Hongrie n'était pas l'une des meilleures équipes de cet Euro. Nous avons sur rendre ce match facile en marquant tôt. Nous avons eu beaucoup d'occasions. Pull Lacoste pas cher Nous savions qu'avec la qualité défensive hongroise, il faudrait être patients.Comment aviez-vous préparé votre match ?Mon frère Kylian joue là-bas, à Ujpest. Il m'avait parlé d'eux, il connaissait deux ou trois joueurs. Nous avons bien étudié notre adversaire, nous nous étions renseignés.»Kanté, d'abord, pour Coman. Giroud, ensuite, pour Gignac. Sissoko, enfin, pour Coman, légèrement blessé. Lacoste Soldes Les trois changements de Didier Deschamps, ironiquement créateur d'équilibre lorsqu'il était joueur et capitaine de l'équipe de France, avaient justement pour visée hier après-midi de tendre vers l'inverse : le déséquilibre. Car c'est peut-être là ce qu'il avait manqué en première période face à l'Irlande. Cueillis à froid par un penalty bêtement concédé par Paul Pogba, les hommes en vert ont, l'espace de cinq minutes, semblé partir sur les chapeaux de roux. Restait ensuite à tenir le score, comme l'avait tancé le sélectionneur Martin O'Neill au moment de dérouler son plan de jeu en conférence de presse : tenir jusqu'aux tirs au but auxquels ils s'étaient préparés, peut-être, mais sans toutefois penser ouvrir le score… Si les Bleus s'en sont hier sortis à bon compte, c'est à coup sûr grâce à un atout dont ils sont peut-être les seuls à disposer dans d'aussi grandes largeurs au milieu des équipes encore engagées dans l'Euro : la vitesse.En comptant bien, ils étaient trois. Entre la 20e et la 30e minute, à force de coups d'épaules et de contacts appuyés, ils étaient trois Irlandais à se rouler par terre. Le dernier, Jeffrey Hendrick, a même provoqué un arrêt de jeu de près de deux minutes à la 30e sur un contact qui n'en valait pas tant.
.Qu'avez-vous pensé du match contre la Hongrie ?Faire mieux sera compliqué. Ce soir, c'était presque parfait. Thibault n'a pas encaissé de but. C'était un match difficile, même si la Hongrie n'était pas l'une des meilleures équipes de cet Euro. Nous avons sur rendre ce match facile en marquant tôt. Nous avons eu beaucoup d'occasions. Pull Lacoste pas cher Nous savions qu'avec la qualité défensive hongroise, il faudrait être patients.Comment aviez-vous préparé votre match ?Mon frère Kylian joue là-bas, à Ujpest. Il m'avait parlé d'eux, il connaissait deux ou trois joueurs. Nous avons bien étudié notre adversaire, nous nous étions renseignés.»Kanté, d'abord, pour Coman. Giroud, ensuite, pour Gignac. Sissoko, enfin, pour Coman, légèrement blessé. Lacoste Soldes
Les trois changements de Didier Deschamps, ironiquement créateur d'équilibre lorsqu'il était joueur et capitaine de l'équipe de France, avaient justement pour visée hier après-midi de tendre vers l'inverse : le déséquilibre. Car c'est peut-être là ce qu'il avait manqué en première période face à l'Irlande. Cueillis à froid par un penalty bêtement concédé par Paul Pogba, les hommes en vert ont, l'espace de cinq minutes, semblé partir sur les chapeaux de roux. Restait ensuite à tenir le score, comme l'avait tancé le sélectionneur Martin O'Neill au moment de dérouler son plan de jeu en conférence de presse : tenir jusqu'aux tirs au but auxquels ils s'étaient préparés, peut-être, mais sans toutefois penser ouvrir le score… Si les Bleus s'en sont hier sortis à bon compte, c'est à coup sûr grâce à un atout dont ils sont peut-être les seuls à disposer dans d'aussi grandes largeurs au milieu des équipes encore engagées dans l'Euro : la vitesse.En comptant bien, ils étaient trois. Entre la 20e et la 30e minute, à force de coups d'épaules et de contacts appuyés, ils étaient trois Irlandais à se rouler par terre. Le dernier, Jeffrey Hendrick, a même provoqué un arrêt de jeu de près de deux minutes à la 30e sur un contact qui n'en valait pas tant.
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