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started by tomsdiscout tomsdiscout on 13 Sep 14
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    Quiconque s'aventure dans la cité est immédiatement repéré. Et l'infiltration dans ces milieux relève du tour de force, surtout lorsque, comme dans les gangs d'Africains, le groupe se compose principalement de frères et de cousins. En cas de «coup dur», ceux-là savent qu'ils ont toujours la possibilité de se réfugier dans leur pays d'origine, comme le fit Youssouf Fofana, Français d'origine ivoirienne, arrêté au nord-ouest d'Abidjan.Y a-t-il un risque qu'un jour ces groupes se structurent davantage ? Pour l'heure, dans les cités, les plus gros trafics restent la chasse gardée de grandes familles de voyous issus des communautés gitane et maghrébine. Le milieu, qui n'a pas disparu en France, dirige toujours ses affaires, notamment depuis l'Espagne et le Maroc où quelques têtes d'affiche se sont repliées. Mais il ne faut pas se leurrer. Comme la police, les gros voyous commencent à être submergés par cette génération spontanée. lunette de vue ray ban prix
    Ce qui inquiète le plus les responsables du ministère de l'Intérieur, c'est de voir le vivier criminel évoluer lentement vers une situation à l'américaine, avec des quartiers qui entreraient en sécession à mesure que progresserait le communautarisme. En clair : une vraie «ghettoïsation».Pour les policiers, dès lors, l'enjeu numéro un consiste à ne pas perdre pied dans les banlieues. D'où l'importance notamment de la réforme des Renseignements généraux, appelés, par leur ministre Nicolas Sarkozy, à se spécialiser sur les violences urbaines. Discrètement, et par dizaines, les «grandes oreilles» intègrent donc des agents issus de l'immigration. Par le biais de la «discrimination positive», une même logique de diversification du recrutement s'étend lentement à l'ensemble de la police, jusque chez les commissaires. Pour ramener du renseignement et être mieux accepté dans les quartiers dits sensibles, il faut en effet une police représentative des populations qui y habitent. lunettes de soleil ray ban prix Le «premier flic de France» n'a plus qu'à espérer que la justice accompagne le mouvement. Car à mesure que tomberont ces réseaux, il faudra se donner les moyens de les garder à l'ombre. Grand reporter, spécialiste de la police, au service Société du Figaro.Des nationalistes irlandais ont affronté des policiers samedi à Dublin, où des manifestations contre un défilé de protestants d'Irlande du Nord ont provoqué les incidents les plus violents depuis plus de dix ans dans la capitale irlandaise. Les émeutiers protestaient contre des parents de personnes tuées par l'Armée républicaine irlandaise (IRA) qui projetaient de défiler dans le centre de Dublin avec des groupes musicaux probritanniques.Nous avons tous été saisis d'horreur en apprenant, le 13 février, la séquestration, les tortures et l'assassinat d'Ilan Halimi. Mais notre consternation n'est pas de celles que l'on ressent devant les simples faits divers, expression de la monstruosité d'un individu : de nouveau, c'est le phénomène des quartiers difficiles qui nous frappe de plein fouet, non plus cette fois sous la forme de destructions ludiques, massives et impersonnelles, comme en novembre 2005, mais sous celle du crime organisé contre une personne soigneusement attirée dans un piège, avatar terrible mais pas vraiment nouveau de la violence urbaine. lunette aviator ray ban prix
    Le crime de Bagneux entre dans la logique des lignes de force de l'évolution des quartiers difficiles mises en lumière par les renseignements généraux.A la création de notre observatoire, nous cherchions à repérer, sur l'ensemble du territoire français, les zones susceptibles de connaître des émeutes du type de celle d'octobre 1990 à Vaux-en-Velin ; nous nous sommes appuyés sur le relevé des violences gratuites et provocatrices commises au quotidien par des petits groupes plus ou moins informels de jeunes défavorablement connus, mettant en cause les institutions et les diverses formes de l'autorité.Très vite, nous nous sommes aperçus que ces types de violences gagnaient sans cesse de nouvelles zones, se durcissaient, laissant augurer des crises émeutières en cas d'événement perçu comme injuste par la bande de quartier. Mais nous avons aussi constaté qu'elles ne montaient pas à l'infini au sein d'un site donné, qu'elles finissaient parfois par se stabiliser, voire se raréfier, laissant place à un autre type de dérive, lorsque la bande de quartier se réorientait vers des activités de trafics organisés (trafics de drogue, raids contre des commerces en dehors du quartier, vols de voiture, vente d'objets «tombés de camions»). Dans le cadre de cette dérive mafieuse, les bandes de quartier se structurent davantage et passent de la logique du jeu (destructeur) à celle du business (crapuleux), les plus jeunes se trouvent embrigadés et contrôlés par leurs aînés devenus plus discrets. Les violences anti-institutionnelles font place à d'autres violences collectives liées aux contentieux de trafics sauvages : règlements de comptes avec armes, bagarres entre bandes, séquestrations dans les caves, actes de barbarie, intimidations sur l'entourage pour le dissuader de témoigner, guets-apens occasionnels contre la police lorsque la pression des enquêteurs devient trop pesante. Les actes passent de plus en plus du registre des simples «incivilités» ou des petits délits à celui du crime violent ; les émeutes deviennent plus improbables, mais le crime organisé se banalise.

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