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  #1 tomsdiscout tomsdiscout on 20 Dec 14

   

  Cadeaux pour sa filleule : un livre et une poupée qui fait pipi. «Je me souviens, raconte-t-elle, le 24 décembre n'existait pas dans ma famille. Nous étions abonnés au 25, au fameux déjeuner dinde et marrons. Ma mère s'exclamait : ''Elle est très bonne, ma dinde, elle n'est pas sèche.'' Et nous répondions en choeur : ''Ils sont bien tes marrons !''» Pour le 31 décembre aussi, Muriel Robin prend le contre-pied. «Les gens se croient obligés de faire la fête, mais nous, nous avons un métier où la fête s'improvise toute l'année. S'amuser à dates fixes n'est pas la tasse de thé des artistes. grand sac pliable longchamps
  » Il lui est même arrivé de prendre l'avion le 31 pour s'échapper, « car on n'est pas joli joli avec des cotillons dans les cheveux.» Elle se souvient d'un 31 où, après avoir joué en compagnie de Guy Bedos, l'équipe du spectacle s'était installée pour dîner sur la scène de l'Olympia. Alors, cette année, elle sera chez elle, à Paris ou, plus vraisemblablement, dans sa maison de Corse. Tranquille, « en relâche de fête», mangeant un oursin et buvant une coupe sur la plage de cette île qu'elle aime tant. Que ne ferait-elle pas pour échapper à ces fêtes qu'elle trouve «dures quand on vit dans un monde décalé»... grand sac longchamps prix «Tous les jours je me sens décalée, hors du moule, pas comme les autres. Et cela d'autant plus que je n'ai pas d'enfant et plus de parents. Et puis, de toute façon, ajoute-t-elle comme par dérision, je n'ai pas de pantoufles, alors je ne vais pas y mettre ma papillote et ma mandarine, et on ne va pas mettre les cadeaux dans le violon.» Bref, cette pause des émotions, c'est quelque chose qu'elle revendique. Quant aux cadeaux, si elle a appris à aimer les recevoir, elle les redoute encore un peu, trouvant que «les gens achètent ce qui leur plaît». De plus, elle n'aime pas les objets qui «prennent de la place dans l'oeil et encombrent l'esprit». Elle ne garde que les choses qui ont un sens, car elle aime les espaces épurés, vides comme l'horizon. le pliage longchamp pas cher
  Elle se souvient pourtant d'une poupée reçue à 5 ans et d'un Meccano, reçu à 7. « Je me revois en train de construire une grue.» Déjà la rupture des codes. «Noël à l'envers, ça fait Léon, mais tout le monde s'en fout...» L'intelligence et le charme anglais joints au chic français.

   

  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">Cadeaux pour sa filleule : un livre et une poupée qui fait pipi. «Je me souviens, raconte-t-elle, le 24 décembre n'existait pas dans ma famille. Nous étions abonnés au 25, au fameux déjeuner dinde et marrons. Ma mère s'exclamait : ''Elle est très bonne, ma dinde, elle n'est pas sèche.'' Et nous répondions en choeur : ''Ils sont bien tes marrons !''» Pour le 31 décembre aussi, Muriel Robin prend le contre-pied. «Les gens se croient obligés de faire la fête, mais nous, nous avons un métier où la fête s'improvise toute l'année. S'amuser à dates fixes n'est pas la tasse de thé des artistes. <a title="grand sac pliable longchamps" rel="nofollow" href="http://www.europagt.fr/">grand sac pliable longchamps</a> <br /> » Il lui est même arrivé de prendre l'avion le 31 pour s'échapper, « car on n'est pas joli joli avec des cotillons dans les cheveux.» Elle se souvient d'un 31 où, après avoir joué en compagnie de Guy Bedos, l'équipe du spectacle s'était installée pour dîner sur la scène de l'Olympia. Alors, cette année, elle sera chez elle, à Paris ou, plus vraisemblablement, dans sa maison de Corse. Tranquille, « en relâche de fête», mangeant un oursin et buvant une coupe sur la plage de cette île qu'elle aime tant. Que ne ferait-elle pas pour échapper à ces fêtes qu'elle trouve «dures quand on vit dans un monde décalé»... <a title="grand sac longchamps prix" rel="nofollow" href="http://www.europagt.fr/">grand sac longchamps prix</a> «Tous les jours je me sens décalée, hors du moule, pas comme les autres. Et cela d'autant plus que je n'ai pas d'enfant et plus de parents. Et puis, de toute façon, ajoute-t-elle comme par dérision, je n'ai pas de pantoufles, alors je ne vais pas y mettre ma papillote et ma mandarine, et on ne va pas mettre les cadeaux dans le violon.» Bref, cette pause des émotions, c'est quelque chose qu'elle revendique. Quant aux cadeaux, si elle a appris à aimer les recevoir, elle les redoute encore un peu, trouvant que «les gens achètent ce qui leur plaît». De plus, elle n'aime pas les objets qui «prennent de la place dans l'oeil et encombrent l'esprit». Elle ne garde que les choses qui ont un sens, car elle aime les espaces épurés, vides comme l'horizon. <a title="le pliage longchamp pas cher" rel="nofollow" href="http://www.europagt.fr/">le pliage longchamp pas cher</a> <br /> Elle se souvient pourtant d'une poupée reçue à 5 ans et d'un Meccano, reçu à 7. « Je me revois en train de construire une grue.» Déjà la rupture des codes. «Noël à l'envers, ça fait Léon, mais tout le monde s'en fout...» L'intelligence et le charme anglais joints au chic français.</div>

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