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#1 tomsdiscout tomsdiscout on 26 Jul 14Selon Tbilissi, des manœuvres militaires russes seraient en cours en mer Noire, au large de la Géorgie, ainsi que dans le nord du Caucase. Moscou a toutefois exclu l'option militaire. « Il ne peut être question d'une solution militaire » a estimé le vice-ministre russe des Affaires étrangères. Le responsable a en revanche justifié l'embargo imposé depuis mardi à la Géorgie : « La Russie veut qu'on la respecte, qu'on ne la provoque pas et que la Géorgie cesse sa campagne antirusse. Si le régime de Mikhaïl Saakachvili [le président géorgien] change sa politique, nous parlerons autrement. » Le président russe, Vladimir Poutine, avait déjà mis en garde Tbilissi mercredi contre toute « provocation » et « chantage ».C'EST PEUT-ÊTRE le premier scandale de l'ère Internet à déstabiliser un parti majoritaire au Congrès américain. echarpe burberry pas cher hommeLa démission de Mark Foley, représentant républicain de Floride, après la révélation de propos suggestifs échangés avec des mineurs sur des messageries électroniques, provoque une tempête politique qui tombe mal pour le parti de George W. Bush, à un mois des législatives de mi-mandat.Mark Foley, 52 ans, représentant de West Palm Beach depuis 1994 à la Chambre basse du Parlement, semblait se diriger vers une septième réélection dans un fauteuil. Non seulement il est aujour-d'hui hors course, mais son siège semble perdu pour un remplaçant républicain et le scandale qu'il a déclenché pourrait avoir un effet boule-de-neige sur ses anciens collègues. Foley était réputé prudent : homosexuel non déclaré, il avait préféré retirer sa candidature au Sénat en 2003 plutôt que d'avouer son orientation sexuelle, jugeant « révoltantes » les rumeurs. Mais il s'est laissé aller à des conversations pour le moins ambiguës avec de jeunes « huissiers » du Congrès pendant des années. Ces adolescents envoyés en stage au Parlement fédéral font office d'appariteurs ou de garçons de courses. echarpe burberry pas cher imitation Depuis un scandale en 1983, où des élus avaient eu des relations sexuelles avec deux mineurs, les stagiaires sont logés dans un dortoir et chaperonnés.<p>Flirt sur InternetJusqu'à nouvel ordre, Foley n'est pas accusé de crime sexuel sur mineur. Il n'est même pas avéré que sa conduite soit légalement punissable, bien que le FBI ait ouvert une enquête. Sa grande faute est d'avoir flirté sur Internet avec des adolescents, échangeant des messages qui sont retrouvés fin septembre sur un blog voué à la chasse aux prédateurs sexuels. Le site Internet de la chaîne ABC les a repris et d'anciens stagiaires du Congrès ont rendu publiques d'autres conversations avec le député. Dans l'une d'elles, il écrit « Tu me manques » à un garçon de 16 ans, « Est-ce que tu me fais un baiser pour me dire bonsoir ? » ou encore « Si tu viens on pourra aller boire (de l'alcool) chez moi », une invitation à commettre un délit. La réputation de Foley était telle que les stagiaires se passaient le mot pour mettre en garde les nouveaux. echarpe burberry pas cher neuveC'est là que l'épisode un tantinet sordide dépasse le soupçon isolé de pédophilie. À l'été 2005, les dirigeants républicains de la Chambre avaient été alertés par les parents d'un garçon originaire d'Alabama auquel l'élu avait demandé sa photo. Foley avait été rappelé à l'ordre, ses pairs le priant « d'être particulièrement attentif à sa conduite » avec les jeunes huissiers. Mais il avait protesté se comporter en « mentor » et l'affaire en était restée là. Aujourd'hui, tandis que la presse en mal de sujets se déchaîne littéralement contre le mouton noir du parti républicain, c'est tout l'état-major de la majorité au Congrès qui est déstabilisé. Les démocrates accusent les alliés de Bush d'avoir cherché à étouffer le scandale, qui leur reprochent en retour d'exploiter l'affaire à des fins électorales. Au sein du camp conservateur, les leaders religieux ne cachent pas leur malaise et le très militant Washington Times conspue le président de la Chambre, Denis Hastert, dans un éditorial titré : « Démissionnez, Mr.
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