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started by tomsdiscout tomsdiscout on 24 Jul 14
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    Au cours de sa conférence de presse à Erevan samedi, Jacques Chirac a établi pour la première fois un lien entre la reconnaissance par la Turquie du caractère génocidaire des massacres contre les Arméniens et l'adhésion d'Istanbul à l'Union européenne. La Turquie qualifie toujours les tueries perpétrées sous l'Empire ottoman de 1915 à 1917 de «prétendu génocide» et concède tout au plus 500 000 morts de part et d'autre.<p>Les déclarations de Jacques Chirac sur ce sujet très sensible n'ont pour l'instant pas provoqué de tollé généralisé. Le premier ministre, Recep Tayyip Erdogan, en déplacement à Washington où il doit rencontrer George W. Bush lundi, n'a pas encore réagi. Mais le discours d'Erevan risque de conforter la Turquie dans la conviction qu'elle a d'être prise en otage par la politique intérieure française. «Il s'agit d'un beau compliment pour conquérir le coeur des Arméniens de France, considère placidement Mehmet Dulger, président de la commission des Affaires étrangères du Parlement turc. classic burberry trench coat priceNous en avons un peu marre d'être sans arrêt au milieu des enjeux électoraux.»<p>Lobbying<p>La prochaine échéance arrive d'ailleurs le 12 octobre : les députés français se pencheront à nouveau sur une proposition de loi socialiste visant à pénaliser la négation du génocide arménien. Les peines prévues vont jusqu'à un an d'emprisonnement et 45 000 euros d'amende. Mehmet Dulger devait arriver ce matin à Paris, à la tête d'une délégation parlementaire chargée de contre-attaquer et «de tenter de convaincre les élus de renoncer à cette loi». Le groupe turc reprend son bâton de pèlerin pour la deuxième fois cette année : un voyage de lobbying avait déjà eu lieu en mai dernier lors du premier examen du texte, non soumis au vote faute de temps.<p>En exigeant d'Ankara la reconnaissance du génocide arménien, le président français pose un obstacle supplémentaire à l'entrée de la Turquie dans l'Union européenne. Bruxelles n'a pas fait de cette démarche historique un critère d'adhésion. classic burberry trench coat sale Mais le sujet s'immisce de plus en plus fréquemment dans les négociations. Le Parlement européen a adopté le 27 septembre un rapport non contraignant sur la candidature turque et a retiré in extremis un paragraphe qui contenait une demande similaire. Recep Tayyip Erdogan avait déclaré à cette occasion, «le match a commencé, il n'est pas question d'en changer les règles».«SOUVIENS-TOI». Ces mots inscrits par Jacques Chirac sur le livre d'or du Mémorial du génocide, à Erevan, donnent le sens de la visite d'État, hautement symbolique, du président français en Arménie : regarder l'Histoire en face. Cette visite de trois jours, la première d'un président français et même d'un chef d'État occidental dans cette toute jeune République qui a accédé à l'indépendance en 1991, était très attendue. Surtout de la part d'un homme qui, tout en cultivant ses relations amicales avec l'Arménie, a toujours soutenu l'entrée de la Turquie dans l'Union européenne. doudoune burberry femme pas cherÀ Erevan, Chirac a donc accompli les gestes qu'attendaient les Arméniens.<p>Accompagné de son homologue arménien Robert Kotcharian, le président français a visité le Mémorial du génocide, sur la colline du Fort-aux-Hirondelles qui domine la capitale. Comme le veut la tradition, Jacques et Bernadette Chirac ont déposé des oeillets devant la flamme éternelle, avant de planter un arbre du souvenir. Dans ce lieu symbolique de la tragédie du peuple arménien, le footballeur Youri Djorkaeff s'est longuement recueilli, tandis que le journaliste Daniel Bilalian était submergé par l'émotion. Chirac et Kotcharian ont ensuite inauguré la place de France, au coeur d'Erevan. L'ancienne place de l'Opéra était, à la fin des années 1980, le haut lieu de la contestation au régime soviétique. Samedi soir, il a assisté, place de la République, au grand concert du plus célèbre Arménien, Charles Aznavour.

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