Altynbek Sarsenbayev, 43 ans, ancien ministre et ambassadeur, avait démissionné de ses fonctions officielles en 2004 pour protester contre les élections parlementaires qu'il jugeait frauduleuses, et s'était engagé avec le principal mouvement d'opposition, Pour un Kazakhstan juste. Avant lui, Zamanbek Nurkadilov, ancien maire d'Almaty, a été abattu de trois balles, peu après avoir menacé de révéler des affaires de corruption impliquant la présidence. Un journaliste qui venait de l'interviewer a malencontreusement été renversé par un camion.Consternés par ces dérapages mais intéressés par les réserves en hydrocarbures du pays, jugées équivalentes à celles de l'Irak, les pays occidentaux hésitent entre prudence et indignation. Au premier rang desquels les Etats-Unis, qui ont adressé leurs félicitations au président Nazarbaev pour sa réélection. La France, tout aussi mesurée, mise sur un «scénario» optimiste : un Kazakhstan investi de nouvelles responsabilités et placé sous le feu des projecteurs, estime Paris, ne pourrait faire l'économie d'une certaine forme d'ouverture politique.Après l'OSCE, l'ONU et l'OMC Conscient des divisions entre les Occidentaux, Astana fait monter les enchères.chemise lacoste pas cher Outre ses vues sur l'OSCE, elle lorgne également sur un poste de membre permanent au conseil de sécurité des Nations unies et frappe à la porte de l'Organisation mondiale du commerce (OMC). Et pour parvenir à ses fins, esquisse quelques signes d'ouverture. Le FBI vient d'être sollicité dans l'enquête sur la «mort tragique» de Sarsenbayev. «Nous avons bien reçu une demande en ce sens, précise Steve Kodak, le porte-parole de la police fédérale américaine. Une équipe va être envoyée sur place dans les jours qui viennent pour évaluer quel type de coopération nous pouvons leur offrir.» Du côté de l'OSCE, un compromis se dessine, qui pourrait arranger les uns et les autres. Sur initiative des Etats-Unis, le Kazakhstan serait prié de bien vouloir reconsidérer sa candidature pour 2011.chemise lacoste femme pas cherEn espérant que, d'ici là, le régime Nazarbaev soit devenu plus fréquentable.Maurin Picard L'euthanasie se banalise en Suisse UELQUES JOURS avant la date choisie pour sa mort, Jean invite ses anciens collègues de travail à une petite fête d'adieu. Autour d'un verre de l'amitié, les participants esquissent des conversations qu'ils interrompent aussitôt, l'air gêné. Une femme essuie furtivement une larme. A 58 ans, Jean est atteint d'un cancer de la peau en phase terminale. Refusant de voir son corps fatigué se dégrader de jour en jour, il a fait appel à Exit, une organisation qui s'est spécialisée dans l'assistance au suicide, une pratique autorisée en Suisse.Un matin de janvier, Jean boit la potion létale que lui tend un accompagnateur d'Exit venu à son domicile, puis il s'allonge sur son lit.chemise lacoste homme pas cher Son agonie est brève. Quelques minutes seulement après avoir bu le poison, il rend son dernier souffle, entouré des gestes de réconfort de sa compagne.Cette scène de mort apparemment sereine et douce séduit en Suisse un nombre croissant de personnes atteintes d'une maladie incurable. L'an dernier, 216 patients ont reçu une aide au suicide à travers les deux associations, romande et alémanique, d'Exit. Dignitas, une organisation similaire qui, elle, prend aussi en charge les patients ne résidant pas sur le territoire suisse, annonçait 138 cas. Douze d'entre eux étaient des Français.En janvier, la banalisation de la mort assistée a franchi un pas de plus en Suisse : un hôpital public de Lausanne, le Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV), autorise désormais cette pratique dans l'enceinte de l'établissement.
Outre ses vues sur l'OSCE, elle lorgne également sur un poste de membre permanent au conseil de sécurité des Nations unies et frappe à la porte de l'Organisation mondiale du commerce (OMC). Et pour parvenir à ses fins, esquisse quelques signes d'ouverture. Le FBI vient d'être sollicité dans l'enquête sur la «mort tragique» de Sarsenbayev. «Nous avons bien reçu une demande en ce sens, précise Steve Kodak, le porte-parole de la police fédérale américaine. Une équipe va être envoyée sur place dans les jours qui viennent pour évaluer quel type de coopération nous pouvons leur offrir.» Du côté de l'OSCE, un compromis se dessine, qui pourrait arranger les uns et les autres. Sur initiative des Etats-Unis, le Kazakhstan serait prié de bien vouloir reconsidérer sa candidature pour 2011. chemise lacoste femme pas cher En espérant que, d'ici là, le régime Nazarbaev soit devenu plus fréquentable.Maurin Picard L'euthanasie se banalise en Suisse UELQUES JOURS avant la date choisie pour sa mort, Jean invite ses anciens collègues de travail à une petite fête d'adieu. Autour d'un verre de l'amitié, les participants esquissent des conversations qu'ils interrompent aussitôt, l'air gêné. Une femme essuie furtivement une larme. A 58 ans, Jean est atteint d'un cancer de la peau en phase terminale. Refusant de voir son corps fatigué se dégrader de jour en jour, il a fait appel à Exit, une organisation qui s'est spécialisée dans l'assistance au suicide, une pratique autorisée en Suisse.Un matin de janvier, Jean boit la potion létale que lui tend un accompagnateur d'Exit venu à son domicile, puis il s'allonge sur son lit. chemise lacoste homme pas cher
Son agonie est brève. Quelques minutes seulement après avoir bu le poison, il rend son dernier souffle, entouré des gestes de réconfort de sa compagne.Cette scène de mort apparemment sereine et douce séduit en Suisse un nombre croissant de personnes atteintes d'une maladie incurable. L'an dernier, 216 patients ont reçu une aide au suicide à travers les deux associations, romande et alémanique, d'Exit. Dignitas, une organisation similaire qui, elle, prend aussi en charge les patients ne résidant pas sur le territoire suisse, annonçait 138 cas. Douze d'entre eux étaient des Français.En janvier, la banalisation de la mort assistée a franchi un pas de plus en Suisse : un hôpital public de Lausanne, le Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV), autorise désormais cette pratique dans l'enceinte de l'établissement.
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