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started by tomsdiscout tomsdiscout on 19 Nov 14
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    À l'inverse, les TPE françaises ne sont qu'une minorité à trouver la vie facile. Exemple : 27 % considèrent qu'il est plutôt aisé d'obtenir des crédits contre 51 % pour les TPE américaines. Seule difficulté partagée de manière équivalente par les patrons des deux pays : celle d'embaucher du personnel ayant une qualification adaptée. Pas surprenant dans ces conditions que le niveau d'optimisme soit plus élevé de l'autre côté de l'Atlantique. Sept dirigeants américains sur dix voient leur activité croître pour les deux prochaines années contre 56 % en France. En ce qui concerne l'évolution du climat général du business, les Français sont à 47 % « pessimistes » contre seulement 23 % côté États-Unis. Bizarrement, les attentes se rapprochent en matière de recrutement : 37 % des TPE françaises comptent augmenter leur effectif dans les deux ans, pas très loin des prévisions américaines (43 %). chemise homme burberry occasion
    Mais pour celles qui n'ont pas l'intention d'embaucher, les raisons sont très divergentes. Les Français invoquent en priorité « les charges trop importantes sur les salaires » et « l'activité insuffisante ou aléatoire ». Les Américains se justifient par le souci de « stabiliser l'activité ». « En tant que marchand de vêtements et d'accessoires, je suis ouvert le dimanche depuis 1987. Je fais 40 % de notre chiffre d'affaires ce jour-là. Alors que les magasins ayant un lien avec les loisirs, la culture et le sport ont le droit de faire travailler leurs salariés le dimanche, on m'a refusé la dérogation. En quoi les bijoux et les parfums font-ils plus partie de ces catégories que les accessoires que je vends ? Il faut mettre fin à cette hypocrisie. chemise imitation burberry femme « Nous demandons la même réglementation que celle qui est appliquée au Caroussel du Louvre. Contrairement à ce que les gens croient, travailler le dimanche ne signifie pas la mort du petit commerce. C'est même archifaux ! Travailler ce jour-là constitue pour nous un moyen de se défendre. On s'entend avec nos salariés, on s'accorde, on s'adapte. Nul besoin de syndicats qui ne feraient qu'empirer les choses puisque nous dialoguons avec nos salariés. CONTRE - Michèle Biaggi, secrétaire confédérale de Force ouvrière. « Nous sommes contre l'ouverture des magasins le dimanche, quelle que soit leur catégorie : les gens ne doivent pas travailler ce jour-là ! Car c'est une manière de rallonger la durée du travail et de supprimer le repos de ce jour qui constitue une coupure traditionnelle, sans compter que les écoles sont fermées. chemise burberry original
    On déstabilise la structure familiale au nom du travail, les gens ne peuvent plus se retrouver. Dans un couple, l'un travaillera en semaine et l'autre le week-end ? On dit que les salariés gagnent plus en travaillant le dimanche, mais augmentons les salaires et ils n'auront pas besoin de travailler ce jour-là ! « Les salariés qui travaillent le dimanche sont souvent des travailleurs à temps partiel. Il ne s'agit alors pour eux pas d'heures supplémentaires mais d'heures complémentaires. Elles n'appartiennent pas au même régime, ce que nous sommes d'ailleurs en train de discuter. Sans oublier que l'on fait croire aux gens qu'en travaillant le dimanche ils travaillent pour la nation puisqu'ainsi tout le monde peut aller faire ses courses. C'est une escroquerie ! » « AVEC les plans sociaux dans l'industrie, les difficultés récentes, on a oublié qu'ingénierie était synonyme de progrès technologiques », constate Gérard Briard, directeur du management des compétences de Segula. Déficit d'image, donc, autour du métier d'ingénieur.

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