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started by tomsdiscout tomsdiscout on 08 Dec 14
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    (2) La diaspora est née de quatre grandes vagues migratoires : en 1975, au début de la guerre civile, en 1982 lors de l'invasion israélienne du Sud-Liban, en 1985 lors de l'effondrement de la livre libanaise, enfin en 1989 lors des affrontements entre Samir Geagea et Michel Aoun. C'est un pays où l'histoire est violente. Une bande de terre arabe de 10 400 kilomètres carrés peuplée de 4 millions d'âmes, frontalière des rivales Syrie et Israël, témoin d'une guerre civile de quinze ans aussi cruelle qu'indéchiffrable. Indéchiffrable... Car la petite nation accueille dix-huit communautés. trench burberry femme pas cher
    Douze d'entre elles sont chrétiennes. Pour elles, le Liban est la dernière enclave au coeur d'un Moyen-Orient déchiré par les conflits. Et si elles n'échappent pas aux sanglants affrontements, du moins leur pouvoir politique est-il ici garanti, constitutionnellement.L'exode surestimé ?Issu du «Pacte national libanais» de 1943, le concept de la Troïka impose un confessionnalisme inédit en politique. Trois présidents pour trois confessions. Ainsi le président de la République doit-il être maronite, le président du gouvernement, sunnite, et le président du parlement, chiite. Un consensus qui vise sans doute à protéger une communauté chrétienne de plus en plus marginale parmi les peuples musulmans du Levant ; à l'heure surtout où les habitants de la région semblent séduits par un nationalisme arabe islamisé. chemise burberry noir pas cher En Egypte, en Irak, dans les territoires palestiniens... Alors beaucoup de chrétiens s'en sont allés. «Le nombre de chrétiens diminue un peu partout au Proche-Orient, nous confiait en août dernier le patriarche maronite Nasrallah Sfeir. Ils avaient encore au Liban une situation confortable. Ils venaient ici trouver un climat de liberté et de démocratie. burberry pas cher
    Mais si leur nombre continue à diminuer, alors je ne saurais vous dire dans quel pays du Proche-Orient ils se trouveront en sécurité.» Pourtant, le pays du Cèdre semble faire exception et l'exode chrétien aurait pu être surestimé : «Selon les informations tirées des livrets de famille réclamés aux électeurs lors des élections législatives de juin 2005, explique Antoine Sfeir, spécialiste du Moyen-Orient et directeur de la rédaction des Cahiers de l'Orient, la communauté chrétienne représente 42% des 2,2 millions de votants, dont 22% de maronites, face à 25,2% de sunnites et 25,8% de chiites.» Une statistique à contre-courant alors que les observateurs tablaient sur un accroissement de la population chiite.Pour l'heure, la menace la plus immédiate pourrait bien venir de l'intérieur même de la famille chrétienne. Car l'histoire des chrétiens du Liban est hantée de trahisons, d'alliances et de ruptures dignes du théâtre antique.Des divisions profondes«Le pouvoir politique des chrétiens, même s'il fut amoindri en 1989 par les accords de Taëf (1), est aujourd'hui incontestable, explique Marie-Joelle Zahar, spécialiste du Liban et professeur de sciences politiques à l'université de Montréal. Ce qui les affaiblit le plus désormais, ce sont leurs divisions internes.

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