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chausses lacoste femme pas cher Une - 0 views

chausses lacoste homme femme pas cher

started by tomsdiscout tomsdiscout on 02 Jul 14
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    En 1998, l'Inde n'a pas fait mystère que ses essais nucléaires étaient dirigés contre la Chine, poursuit Christophe Jaffrelot, et aujourd'hui, sa course aux missiles balistiques n'est d'évidence pas liée à la menace pakistanaise.» Les Indiens, en effet, n'ont pas besoin d'une telle portée pour frapper Islamabad ou Karachi. Ils développent aujourd'hui toute la gamme des missiles, avec un effort particulier sur les engins d'une portée supérieure à 3 000 kilomètres (programmes Agni II puis III). L'antagonisme avec le Pakistan. Là encore, même si les temps sont au dialogue, l'heure n'est pas encore à la paix. New Delhi continue à accuser les islamistes pakistanais d'être derrière de nombreux attentats commis sur son sol. Et beaucoup d'achats de matériels très perfectionnés, comme des radars ou des systèmes de reconnaissance, effectués en Israël, visent à renforcer le contrôle sur la frontière pakistanaise. chausses lacoste homme
    L'apaisement sur ce dossier est lié au point précédent, la Chine tempérant désormais son soutien à son protégé pakistanais, notamment sur la question du Cachemire.Persuadée de s'imposer comme une des grandes puissances du XXIe siècle, l'Inde ne veut pas se laisser enfermer dans un cadre trop «sud asiatique». «Elle développe le concept du «voisinage étendu», avec une zone courant du Moyen-Orient à l'Asie du Sud-Est, en passant par le nord de l'océan Indien et l'Asie centrale», commente Jean-Luc Racine. Sur le plan stratégique, c'est un peu comme si les Indiens ambitionnaient d'être une Chine, «version gentille». Un pays que l'on prend au sérieux, sans qu'il soit perçu comme menaçant. Auteur de Inde, la démocratie par la caste, Fayard, 2005. Londres s'équipe contre la «bombe sale C'EST LE TOURMENT obsessionnel de Tony Blair : l'explosion, à Londres, dans un lieu public, par un commando de terroristes fanatiques, d'une «dirty bomb». chausses lacoste femme pas cher Une «bombe sale», c'est-à-dire un engin explosif rudimentaire truffé de matériel radioactif. Après les attentats du 11 septembre 2001 aux Etats-Unis, le premier ministre n'a cessé de mettre en garde contre «le cauchemar vivant» que constituent «les menaces combinées des armes de destruction massive, les Etats voyous et le terrorisme international».Le chef du gouvernement britannique a, alors, demandé aux services de sécurité du royaume de mettre en oeuvre un bouclier de protection efficace. Dès 2002, le ministère de l'Intérieur et Scotland Yard ont déclenché l'«opération Cyclamen» élément «essentiel de la stratégie antiterroriste du gouvernement», prévoyant la mise en place progressive d'un écran protecteur à l'échelle du pays. Leurs experts ont testé des dispositifs de détection de radioactivité dans les aéroports, les ports et les gares par où des commandos pourraient importer les éléments constitutifs de ce qu'ils appellent «la bombe du pauvre», parce qu'elle est peu coûteuse et peu sophistiquée.Aujourd'hui, Scotland Yard fait le point de la situation. Le commandant Mick Messenger, signataire de son rapport, indique que des appareils de «détection radiologiques ont été ou sont installés dans la majorité des plates-formes de transport» aérien, ferroviaire et maritime. chausses lacoste homme pas cher
    Notamment à Heathrow, Gatwick, Luton et Stansted, les aéroports de la région londonienne mais aussi à la gare internationale de Waterloo, terminus de l'Eurostar. Ces systèmes discrets de détection donnent toute satisfaction et font partie, désormais, de l'arsenal ordinaire de vérification «des personnes, des marchandises et des véhicules qui entrent sur le territoire national», souligne Mick Messenger.Combinaisons spéciales Les policiers disposent «d'équipements spécialisés pour relever d'éventuelles traces de poudre, de liquide ou de vapeur» toxiques dans les rues de Londres. Scotland Yard teste aussi un véhicule pourvu d'un détecteur d'émissions radioactives et un portique individuel permettant de déceler la présence de radioéléments sur les personnes. Il est envisagé de fournir aux policiers de la capitale des combinaisons spéciales et des masques pour garantir leur sauvegarde en cas d'attaque biologique, chimique ou radiologique.En outre, cinq véhicules conçus pour la détection mobile d'émissions biochimiques, radiologiques et nucléaires sont à l'essai. L'un de ces véhicules est destiné à l'évacuation et à la décontamination de «personnalités importantes» politiques, responsables de la police, médecins spécialistes.

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