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Alexandre Serres

L'Agence nationale des Usages des TICE - Les croyances et l'évaluation de l'i... - 2 views

  • proposer aux élèves des activités d’évaluation de l’information et augmenter leur exigence vis-à-vis de l’information trouvée sur Internet ;
  • travailler sur le rapport des élèves à la connaissance en développant des activités pédagogiques autour de l’idée que nos connaissances sont un réseau complexe d’informations liées entre elles, et qu’elles ne sont pas des vérités absolues puisqu’elles sont susceptibles d’évoluer et d’être remises en question ;
  • des biais de jugement au moment d’évaluer l’information
  • ...14 more annotations...
  • apprendre aux élèves à évaluer la partialité d’un discours, à repérer les arguments d’autorité, et, plus généralement, à analyser les informations issues des médias de façon critique.
  • la fiabilité de la source
  • la qualité du contenu
  • la cohérence de l’organisation
  • la pertinence de la présentation
  • En particulier, il a été montré que les croyances individuelles sur la manière dont nos connaissances se forment et s’organisent, dites « croyances épistémologiques », influencent notre évaluation de l’information.
  • Les croyances épistémologiques peuvent ainsi être évaluées par un questionnaire dans lequel l’individu doit se positionner sur une série d’affirmations concernant ses propres connaissances.
  • les personnes qui perçoivent les connaissances comme un réseau de concepts (quels que soient leur âge et leur niveau d’éducation) ont tendance à chercher plus d’informations avant de former un jugement définitif sur un sujet
  • Les premières sont aussi davantage ouvertes à plusieurs conclusions potentielles sur un problème que les secondes.
  • les étudiants dont les croyances épistémologiques sont plus complexes ont une plus grande capacité à gérer l’information conflictuelle et à reconnaître les sources d’information autoritaires et partiales.
  • Plus les étudiants avaient des croyances complexes, plus ils étaient enclins à valoriser la fiabilité de l’article scientifique par rapport à l’article du journal.
  • La question de savoir comment développer chez les élèves un rapport complexe à la connaissance reste ouverte,
  • Elle montre que les objectifs de l’élève lors de la lecture d’un texte déterminent en partie la manière dont les informations du texte sont traitées, lorsque celles-ci ont un rapport avec les propres croyances de l’élève.
  • Après avoir demandé à des étudiants de lire deux textes (l’un compatible, l’autre incompatible avec leurs croyances), la chercheuse a observé que, lorsque l’objectif était de construire leur propre point de vue, les étudiants retenaient plus d’informations du texte compatible avec leurs croyances que du texte incompatible. En revanche, lorsque l’objectif de la lecture était la seule mémorisation des informations du texte, les étudiants retenaient plus d’informations du dernier texte lu, qu’il soit compatible ou incompatible avec leurs croyances.
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    découverte récente dans le rapport entre les croyances et l'évaluation de l'information
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    Tiffany Morisseau. Les croyances et l'évaluation de l'information sur internet. 14 janvier 2013
peir ric

Arrêtez de vous plaindre, vous avez le fil d'actus que vous méritez | FredCav... - 0 views

  • Ces pratiques de publication de faux articles sont donc plus répandues que nous ne le pensons. 
  • Le problème n’est pas l’existence de faux sites d’information, mais le relais de leurs articles à grande échelle.
  • En clair : Facebook est-il un média (qui diffuse de l’information) ou une plateforme sociale (qui héberge des contenus) ? 
  • ...23 more annotations...
  • Cette posture les arrange, car comme ça ils n’ont pas à subir les contraintes des médias (responsabilité du directeur de la publication en cas de diffamation…),
  • mais bénéficient quand même d’une très large audience qu’ils peuvent monétiser auprès des annonceurs.
  • Mais ça serait oublier que depuis 2 ans ils travaillent très dur pour faire de Facebook la première source d’information, notamment en draguant les éditeurs de sites d’informations pour héberger leurs articles grâce à la fonction Instant Articles.
  • Les choses se sont accélérées cet été avec le scandale du bloc « Trending News » : une petite équipe de modérateurs humains étaient en charge de la modération des actualités
  • Certains observateurs se sont rendu compte que cette équipe ne relayait que très peu d’articles sur les candidats républicains (et Trump en particulier), ils s’en sont plaint et l’équipe a été remplacée par un algorithme
  • Il faut dire que les internautes sont maintenant exposés à un nombre ahurissant de sources et à une somme toujours plus importante d’unités d’information
  • La solution serait de réglementer les publications sur Facebook en supprimant celles qui sont jugées fausses. Le problème est que c’est un jeu dangereux, car la frontière avec une forme de censure est très fine.
  • Idéalement, il serait plus simple de scinder en deux le news feed avec d’un côté ce qui relève du divertissement, et de l’autre les actualités plus sérieuses, mais ça voudrait dire diminuer la puissance de Facebook, donc ses revenus.
  • En fait, quand on y réfléchit bien, on se dit qu’au départ, l’idée de mélanger actualités sérieuses, contenus divertissants et partages de vos proches, le tout en respectant l’étique et la rigueur journalistique est une promesse impossible à tenir.
  • es équipes de Facebook ne décident pas de ce qui va être publié sur votre fil d’actus, ils ne l’ont jamais fait.
  • Le filtrage des publications sur le news feed est régit par un ensemble de règles qui reposent sur les choix des utilisateurs eux-mêmes (les articles qu’ils ont aimés ou relayés précédemment).
  • Et si le vrai coupable dans cette histoire était tout simplement l’infobésité ?
  • Vous noterez que cela s’applique également à Twitter où le bloc « Trending topics » peut être facilement détourné en mettant à contribution un certain nombre de personnes pendant un court laps de temps, mais il se trouve que c’est à Facebook qu’on le reproche, car la portée est plus grande.
  • Le vrai problème est que les internautes ont une attention limitée, ils privilégient donc les sources d’informations qui leur apportent le plus de satisfaction avec un minimum d’effort
  • Puisque les utilisateurs peuvent avoir tout ça auprès d’une source unique, gratuite, qui tient dans la poche (leur smartphone) et qu’en plus ils peuvent retrouver dessus leurs amis d’enfance et avoir des nouvelles du petit cousin, alors pourquoi continuer à payer un abonnement pour un journal papier qui déblatère toujours les mêmes histoires (les réactions aux réactions des politiques) et des journalistes qui ne savent même plus anticiper les résultats des élections ?
  • Avec ce raisonnement, on se retrouve avec l’outil de communication le plus puissant de l’histoire de l’humanité, mais sans aucun mode d’emploi ou précaution d’utilisation.
  • un outil numérique (Facebook) qui remplace un support analogique (les journaux papier) avec des utilisateurs qui ne changent pas leurs habitudes (« je me nourris tous les jours avec de l’info« ) et ne savent pas prendre un minimum de recul (« si c’est écrit, c’est que c’est vrai« ).
  • Au final, la seule véritable solution durable à ce problème de faux articles serait d’éduquer les utilisateurs
  • vérifier la source (l’origine de la publication)
  • ne pas se laisser influencer (vérifier celui ou celle qui relaie)
  • ne pas relayer sans avoir lu ou vérifié…
  • Et n’oubliez pas que le premier filtre, c’est vous, pas un algorithme auto-apprenant conçu à l’autre bout du monde.
  • Conclusion : le média idéal n’existe pas. Vous pouvez faire confiance à Facebook pour vous divertir (de même qu’à Instagram ou Youtube), mais vous ne pouvez pas leur faire confiance pour vous informer ou vous instruire (c’est le pré carré des professionnels de l’information).
Alexandre Serres

Focus Conférence. S3 14h30. ASTROTURFING: La menace de la grande usurpation - 0 views

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    "Focus Conférence. S3 14h30. ASTROTURFING: La menace de la grande usurpation "
peir ric

» Ethique humanitaire et manipulation de l'informationInfoguerre : Stratégie,... - 1 views

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    "Ethique humanitaire et manipulation de l'information"
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    Est-ce que c'est vraiment le fort contre le faible comme le suppose cet article ou est-ce plutôt une logique communautaire qui est à l'oeuvre. La logique serait alors de considérer le plus ou moins grand degré de formalisme des groupes qui s'exprime, la taille de ces communautés et la capacité qu'elles ont à agir et faire agir.
peir ric

Wikipédia supprime 250 comptes pour lutter contre les manipulations - 0 views

  • Wikipédia n'interdit pas la rédaction rémunérée en soi, mais est intransigeant sur la transparence des utilisateurs, qui doivent éviter tout conflit d'intérêts.
  • Un utilisateur ne doit pas défendre les intérêts d'une personne ou d'une entreprise, ni les idées qu'elle promeut, s'il y a un intérêt caché.
  • Des entreprises et des utilisateurs se sont spécialisés dans l'édition de l'encyclopédie au profit d'organisations, allant à l'encontre du principe de neutralité de Wikipédia.
  • ...2 more annotations...
  • Des clients interrogés indiquent avoir payé entre 500 et 1 000 dollars pour la rédaction d'un article, puis un forfait de 50 dollars mensuels pour la gestion de la page.
  • Elle offre notamment un service d'édition "de crise" qui s'appuie sur un réseau "de quarante-cinq éditeurs et d'administrateurs établis".
Alexandre Serres

Les fake news, miroir grossissant de luttes d'influences | InaGlobal - 0 views

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    Louise MERZEAU, "Les fake news, miroir grossissant de luttes d'influences", INA Global, 19 mai 2017
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