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Arnaud MAES

Salon E-commerce + Salon du Tourisme 2013 = Recommandations E-tourisme - 1 views

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    "T.O.M Travel on Move"
Benoit Dudragne

35 sites pour trouver des photos libres de droits | Autour du Web - 1 views

  • des sites les plus populaires avec plus de 17 000 images libres. PicFindr : PicFindr recherche dans la « Photosphere » des photographies libres de droits. MorgueFile : recherche et filtrage des images par taille, date, couleur,poids…
  • une ressource très organisée pour les images libres. 8. UnProfound : recherchez et triez des photos par couleurs. 9. PhotoRogue : si vous ne trouvez pas ce que vous cherchez, faites donc une demande (en anglais) et quelqu’un l’ajoutera à sa galerie.
  • encore une collection énorme d’images libres. FreeDigitalPhotos : interface impressionnantes et contenu de très haute qualité. Public-Domain-Photos : une grande collection de photos et de cliparts.
  • ...2 more annotations...
  • 1135 sites pour trouver des photos libres de droits Cédric | juin 24th, 2010 | Web 2.0 google_protectAndRun("ads_core.google_render_ad", google_handleError, google_render_ad); XHello there Diigo user! Feel free to bookmark this page for future reference if you like it!Powered by WP Greet Box WordPress PluginIl existe de nombreux sites spécialisés qui offrent des photos libres de droits. La liste ci-dessous n’est pas exhaustive mais en rassemble une bonne partie. Ceux que je vous présente aujourd’hui mettent à disposition des photos sous diverses licences et droits d’auteurs mais la plupart vous permettent de les utiliser a but privé, professionnel ou commercial. Vous pourrez aussi les exploiter sur de nombreux supports comme : des plaquettes
    • Benoit Dudragne
       
      super
Benoit Dudragne

« Chaque marque est un média » : le transfert de l'expérience de marque, du W... - 0 views

  • ils uti­lisent stra­té­gique­ment Internet et les médias sociaux. Vice par­ti­cipe ainsi plei­ne­ment au lan­ce­ment d’une très forte ten­dance en matière de stra­té­gie « offen­sive » de marque, celle que j’appellerai du « trans­fert Web / IRL » (In Real Life) qui per­met notam­ment le com­plet contour­ne­ment des voies publi­ci­taires traditionnelles.
  • Il faut savoir aller au-delà de ses affi­ni­tés cultu­relles et évoluer «into the Wild ». en résumé : la che­mise a car­reau sait par­ler à la che­mise à carreau.
  • Il est impor­tant aussi de noter qu’au cours de ces deux étapes de trans­fert d’expérience de marque, aucun pro­duit n’est mon­tré ou pro­posé à la vente, seul le logo est pré­sent, sans pour autant étouf­fer l’identité propre du Creators Project.
  • ...7 more annotations...
  • Ce trans­fert suit astu­cieu­se­ment la logique de consom­ma­tion cultu­relle de cette popu­la­tion qui passe plus de temps sur les médias sociaux (les blogs de Vice, par exemple) que devant la télé­vi­sion et dépense plus argent dans des places de concerts que dans des disques (qui sont téléchargés).
  • Cela aussi répond avec jus­tesse aux attentes d’une jeu­nesse mon­diale qui se méfie immé­dia­te­ment de tout mes­sage publi­ci­taire trop évident, jugé mani­pu­la­teur et inva­sif.
  • mais l’idée est très inté­res­sante car elle confirme que c’est par l’expérience et les conte­nus que les marques peuvent tou­cher des cibles deve­nues réfrac­taires à toute com­mu­ni­ca­tion publi­ci­taire traditionnelle.
  • La marque part bien du Web (en l’occurrence, Facebook) pour aller dans le monde réel (un Camp d’été Coca-Cola) et retour (dans le cas de cette opé­ra­tion, retour à Facebook, mais pas pour Intel).
  • Toutes ces idées montrent bien que l’on va désor­mais du Web vers le monde réel, et non plus l’inverse, comme dans les pre­miers temps de la com­mu­ni­ca­tion digi­tale, où l’on appliquait des modèles média­tiques exis­tants (presse, TV) sur Internet
  • Elles montrent enfin que les conte­nus de marque se doivent d’avoir des valeurs iden­ti­taires por­teuses et une forte dimen­sion com­mu­nau­taire pour per­mettre ce trans­fert du monde digi­tal au un monde réel.  Dans l’univers des marques, c’est comme si le monde réel ten­tait de plus en plus de res­sem­bler au monde du Web, en en absor­bant les codes (le « like » de Facebook comme nou­veau geste, l’univers de Facebook comme espace social de réfé­rence). L’expérience Web et l’expérience événe­men­tielle vont aller de pair pour se ren­for­cer l’une l’autre, ancrant pro­fon­dé­ment dans les audiences les codes et les valeurs de la marque qui pren­dra le risque de se défaire de ses habi­tudes de communication.
  • La stra­té­gie de marque sur Internet se com­plexi­fie à tra­vers les médias sociaux, mais se concentre donc sur des axes plus pré­cis. La place de son édito­ria­li­sa­tion à tra­vers des conte­nus de marque qua­li­ta­tifs et trans­fé­rables au monde réel
Benoit Dudragne

Le nouveau Facebook : un guide complet pour les éditeurs, les annonceurs, les... - 0 views

  • un mouvement destiné à faire du web tout entier un web social et sémantique
  • on intention est bien de réduire à néant la concurrence, et d’utiliser ses centaines de millions d’utilisateurs pour prendre d’assaut le web tout entier
  • Nous avons délibérément laissé de coté la monnaie virtuelle annoncée par Facebook,
  • ...33 more annotations...
  • mais à la base, leur but est d’amener les utilisateurs à recommander un contenu, ce qui en publira le lien dans leurs flux Facebook, le stockant au passage de façon permanente sur leurs profil. Ce lien sera également partagé et apparaitra dans le flux de leurs amis, créant ainsi du trafic vers vos contenus.
  • Ils rendent facile et agréable l’identification sur un site tiers avec son compte Facebook, et montrent les avatars de vos amis qui sont déjà membres du service.
  • ces widgets ajoutent la possibilité de placer un bouton de recommandation Facebook (“Like”) sur n’importe quel contenu –
  • es flux d’activité listent les commentaires récents faits sur Facebook à propos de vos contenus et les recommandations,
  • Facebook a lancé un langage de marquage sémantique simple, basé sur le RDF, qui rendent ces plugins intelligents et conscients du contexte non plus simplement social dans lequel ils s’affichent
  • Pour aller vite, le marquage des contenus donne la possibilité aux éditeurs de spécifier quels objets sont présents dans ses pages : un film, un livre, un chanteur, un événement, une équipe de foot, etc. Cela permet de mettre en œuvre de la sémantique, c’est à dire une compréhension par cette technologie que le visiteur ne fait pas qu’interagir avec une page web, mais qu’il est en train de regarder, de commenter ou de recommander une chose en particulier. Le langage sémantique classe les objets en catégories comme les livres, les films, la musique, etc., et ouvre la voie à une multitude d’applications, en particulier des systèmes de recommandations personnalisés.
  • ce langage de marquage sémantique aide Facebook à relier les internautes ayant un intérêt commun à travers différents sites web
  • ce genre de données concernant vos amis est jusqu’ici dispersée à travers de multiples sites. Auparavant, Facebook faisait apparaitre ces informations dans les flux de chacun sans en extraire quoi que ce soit d’utile, désormais, les goûts de vos amis en matière de sport, de musique, de littérature ou de cinéma seront stockés de façon permanente sur leurs profils, et disponibles pour être mis en contexte à travers le web tout entier.
  • Cette nouvelle API transforme Facebook en annuaire, accessible en lecture et en écriture, référençant les goûts de tous les membres de Facebook. A chaque fois que vous recommandez ou ‘Likez’ un contenu, vous enrichissez votre profil et augmentez la capacité de Facebook et des sites utilisant cette technologie de vous fournir une expérience personnalisée.
  • Facebook demande clairement (ou presque) à ses utilisateurs de renoncer à la confidentialité d’une partie de leurs données personnelles en échange de personnalisation. Il faut être clair : aucune personnalisation n’est possible sans que les utilisateurs ne donnent des informations au système sur leurs goûts. Ce que Facebook demande est nécessaire à la création d’une expérience web personnalisée.
  • comme le pointe Fred Wilson, les liens passés entre amis vont en parti remplacer en partie la recherche.
  • ’essentiel des conséquences de ces innovations du point de vue de l’utilisateur est ailleurs, et se résume à un mot : la vie privée.
  • Il convient cependant de prendre des distances avec tout cela : les analyses publiées ici sont très loin de la compréhension qu’à l’utilisateur moyen de Facebook, et la communauté des lecteurs de RWW est très largement plus avertie que celle qui surfe sur Facebook.
  • a plateforme offerte par Facebook est également riche en innovations, notamment car elle promet de faire passer la sémantique au mainstream. Les services web, demain, pourraient, grâce à elle, voir surgir des innovations phénoménales.
  • mais il est évident que Facebook utilisera les informations qu’il collectera sur ses membres pour cibler ses publicités. Il est même fort probable que Facebook devienne dans les prochaines années l’une des plus puissantes régies pub au monde
  • quelque chose qui pourrait rendre obsolètes les innovations de Google en matière de publicité.
  • Les annonceurs, qui jusqu’ici avaient tendance à prendre à la légère le système de publicité proposé par Facebook, devront rapidement réviser leur copie. D’ici peu, Facebook leur fournira la possibilité de cibler une population en fonction d’une quantité impressionnante de facteurs : goûts, centres d’intérêts, marques favorites, réseau social, sujets abordés sur la page où est placé la publicité, et géolocalisation.
  • Pour les secteurs offrant une vaste gamme de choix, comme la mode ou le tourisme, c’est l’ensemble des sites eCommerce et des « landing pages » qui pourraient être intégralement personnalisés en fonction de chaque visiteur (faisant, là encore, un renversement d’équilibre entre « recherche » et « recommandation »).
  • Si la vision de Facebook se réalise, ce dernier pourrait devenir la plus grosse régie publicitaire de l’internet
  • Mais à y regarder de près, c’est loin d’être aussi évident. Pour comprendre cela, il faut distinguer deux types de sites : ceux qui sont déjà des réseaux sociaux ou qui ont un réseau social intégré, et ceux qui n’ont qu’un simple système de commentaires.
  • N’importe quel site qui a déjà un réseau social intégré doit décider s’il doit abandonner cela avant de sauter dans l’aventure, et le problème critique réside dans la propriété des commentaires et des notations. Les éditeurs sont-ils prêt à abandonner cela ? Personne ne pense sérieusement qu’un utilisateur va noter quelque chose sur Facebook puis le faire à nouveau sur le site d’un éditeur.
  • Peut être sous la forme d’une API ouverte qui permettrait aux éditeurs de manipuler les données.
  • C’est difficile à estimer, mais en terme de trafic, c’est un surplus non négligeable que peut apporter ainsi Facebook, surtout si ces fonctionnalités sont couplées à une vrai stratégie de community management sur Facebook. Largement de quoi payer au prix fort une armée de community managers pour les gros sites de contenus, ainsi que les meilleurs experts de la place, afin de tirer parti de cette mine d’or ouverte par Facebook.
  • Un accord concernant Bing, son moteur de recherche, est probablement dans les cartons, et alimenter Bing avec toutes les données issues de Facebook aurait beaucoup de sens : cela permettrait une amélioration sensible des résultats de recherches proposés par le moteur de Microsoft.
  • pparemment, Facebook ne se contente plus de connecter les gens entre eux, il ambitionne désormais connecter les gens et les choses, non seulement sur son site, mais partout sur le web, et pas simplement les gens, mais vos amis.
  • La troisième option est de jouer le jeu et de construire quelque chose dans l’écosystème proposé par Facebook. D’innover au sein de cet écosystème. C’est à priori, d’un point de vue stratégique, la meilleure option. L’innovation a toujours triomphé de l’immobilisme sur le web.
  • e point noir reste que Facebook semble être le seul dépositaire de toutes les données dans cette équation, ce qui rend l’ensemble particulièrement fermé. Les éditeurs et les utilisateurs n’ont pas le choix en ce qui concerne l’endroit où stocker les données
  • Facebook sera
  • e répertoire des goûts et des couleurs du monde entier.
  • Pour décrire un objet sur une page, l’éditeur doit lui donner un titre, une typologie, une image, une url et le nom du site en utilisant de simples metatags.
  • C’est une opportunité incroyable pour faire du web sémantique une réalité
  • Il y aura sans aucun doute une véritable ruée vers l’or qui durera au moins une année, comme la précédente, quand Facebook avait ouvert sa plateforme afin d’y accueillir des applications tierces.
  • Chacun doit trouver comment ajuster sa stratégie afin de prendre en compte ce qui pourrait bien être la fin du web 2.0 et le début du web 3.0 (au sens du web sémantique), car si le pari de Facebook réussi, c’est bien à un changement systémique majeur auquel nous avons à faire face.
Mathieu Vadot

Réflexions sur le Edgerank Facebook : uniquement 10% de vos amis voient vos m... - 0 views

  • seul 10% des amis ou des « likers » verraient passer les messages et seulement 1% cliqueraient sur « like ». Ce n’est bien sur qu’une moyenne et certains profils ou pages la dépassent largement. Derrière ces chiffres se cache l’algorithme de Facebook dont on parle de plus en plus : le EdgeRank…
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