L'émission de FRANCE 24 dédiée au développement durable. Marina Bertsch sillonne la planète à la rencontre de femmes et d'hommes engagés en faveur du développement durable.
C'est sur un petit lopin de terre à Rion des Landes que l'association "C Koi Ca" a décidé de planter ses idées et ses questions.
Mais avant d'en récolter les réponses, l'éco lieu JEANOT appelle tout un chacun
à venir s'interroger sur les enjeux majeurs de nos modes de vie.
C'est sur un petit lopin de terre à Rion des Landes que l'association "C Koi Ca" a décidé de planter ses idées et ses questions.
Mais avant d'en récolter les réponses, l'éco lieu JEANOT appelle tout un chacun
à venir s'interroger sur les enjeux majeurs de nos modes de vie.
Crise, baisse du pouvoir d'achat, mais aussi éthique citoyenne, conscience écologique et réseaux sociaux modifient peu à peu les comportements des consommateurs. Internet permettrait-il de faire revivre un véritable esprit de solidarité entre les humains ? Échanger, revendre ou louer entre particuliers : autant de pratiques qui reviennent sur le devant de la scène. C'est la consommation collaborative. Certains parlent même du passage d'une économie de la propriété à une économie d'usage. Véritable révolution qui transforme profondément nos sociétés ou mouvement de niche ? C'est la question à laquelle nous tentons de répondre.
Projet Can Cun
Solidarité, partage, troc, réseautage.
Gorka présente un projet communautaire rural en autogestion, en lien avec la cooperative intégrale catalane.
sous-titres français optionnels.
Projet Can Cun
Solidarité, partage, troc, réseautage.
Gorka présente un projet communautaire rural en autogestion, en lien avec la cooperative intégrale catalane.
sous-titres français optionnels.
"Ce film compile les trois épisodes de la trilogie Meatrix.
Il dénonce le barbarisme de l'homme envers des animaux pacifiques/inoffensifs/passifs.
Une réserve sur le message religieux de la fin du film, cependant on ne peut que louer la volonté des créateurs de la série pour éveiller nos habitude et notre conscience alimentaire."
La société de consommation à l'origine des angoisses.
Psychiatre et psychothérapeute, Christophe André est l'un des chefs de file des Thérapies comportementales et cognitives en France, et a été l'un des premiers à y introduire l'usage de la méditation en psychothérapie.
Dans cette interview, il dénonce la société matérialiste dans laquelle nous vivons. « Il faut arrêter de faire des choses » car selon lui cela pousse l'homme à l'anxiété et au mal-être.
Cette série britannique est une magnifique satire sur l'omnipotence de relations publiques dans notre monde médiatisé sous gouvernance de l'argent et du soif du pouvoir
Darius Rochebin reçoit Mikhaïl Gorbatchev, ancien président de l'URSS et prix Nobel. Ce dimanche, Pardonnez-moi est spécialement consacré aux 25 ans de la chute du Mur de Berlin. Mikhaïl Gorbatchev revient sur les conditions qui ont présidé à l'événement en 1989 et livre des confidences sur les rôles de François Mitterrand et d'Helmut Kohl. Il s'exprime aussi sur l'actualité et le regain de tension entre la Russie et l'Occident du fait de la crise ukrainienne.
Pardonnez-moi, une émission de la Radio Télévision Suisse
Il aura suffi d'une étincelle, un moment de doute pour que notre héros sorte de son adoration. Apple la tyrannie du cool, est un film à la première personne, qui suit les réflexions d'un homme, celui du quotidien. Notre personnage est tantôt ironique, tantôt attachant, il est surtout l'homo-economicus dans toute sa splendeur, amoureux de ses machines Apple. Une fois qu'il aura pris conscience de sa passion, il n'aura de cesse d'essayer de l'élucider. Sylvain Bergère et Dimitri Kourtchine, à travers ce voyage documentaire, tentent de comprendre comment peut-on être aussi attachés à une marque.
Suivant le fil de sa réflexion, le héros voyage en Europe et aux Etats-Unis, retourne aux origines d'Apple, questionne des philosophes, des artistes, des chercheurs... et même un prêtre. Ainsi, peu à peu Apple se révèle comme un miroir de la société. Au-delà d'une enquête sur le marketing de la marque, Apple la tyrannie du cool, montre comment l'entreprise a su capter les aspirations de l'individu contemporain. Pour preuve, la frénésie de commentaires qui accompagne chacune des annonces d'Apple : lancements de produits, ouvertures de magasins, et plus récemment la mort de Steve Jobs, salué par tous les dirigeants mondiaux, comme l'égal d'Edison, Lennon, ou Einstein. On tombe dans l'irrationnel. Digne héritière de la contre-culture des années 1960, Apple prône la libération de l'individu, l'appartenance à une communauté, l'outil à hauteur d'homme et dédié à son émancipation. Et pourtant. Derrière se révèle une douce tyrannie. Celle de l'individualisme, du consumérisme de l'engagement et de la disparition du sens critique.
Apple, la tyrannie du cool est une polémique amoureuse. L'occasion en 52 minutes et à travers le monde de comprendre comment Apple, en jouant avec nos idéaux, reflète, accompagne et épouse nos aspirations : celles d'être différent, au risque de tous nous ressembler. ?
À la fois récit de voyage et documentaire fictionnel, « Les Sentiers de l'utopie » propose un périple réel et imaginaire, une exploration lancée à la de formes de vie post capitalistes.
Pendant près d'un an, Isabelle Fremeaux et John Jordan sont partis sur les routes européennes, à la rencontre de celles et ceux qui ont choisi, ici et maintenant, de vivre autrement. Ils ont partagé d'autres manières d'aimer et de manger, de produire et d'échanger, de décider des choses ensemble et de se rebeller.
L'histoire :
Food, Inc. décortique les rouages d'une industrie qui altère chaque jour notre environnement et notre santé.
Des immenses champs de maïs aux rayons colorés des supermarchés, en passant par des abattoirs insalubres, un journaliste mène l'enquête pour savoir comment est fabriqué ce que nous mettons dans nos assiettes.
Derrière les étiquettes pastorales de « produits fermiers », il découvre avec beaucoup de difficulté le tableau bien peu bucolique que les lobbys agro-alimentaires tentent de cacher : conditions d'élevage et d'abattage du bétail désastreuses, collusion entre les industriels et les institutions de régulation, absence de scrupules environnementaux, scandales sanitaires...
Éleveurs désespérés, experts indépendants (comme Eric Schlosser, l'auteur de Fast Food Nation), entrepreneurs intègres et défenseurs du droit des consommateurs esquissent, chacun à leur manière, le portrait d'une industrie qui sacrifie la qualité des produits et la santé de ses clients sur l'autel du rendement.
Jean Kilbourne's pioneering work helped develop and popularize the study of gender representation in advertising. Her award-winning Killing us Softly films have influenced millions of college and high school students across two generations and on an international scale. In this important new film, Kilbourne reviews if and how the image of women in advertising has changed over the last 20 years.
With wit and warmth, Kilbourne uses over 160 ads and TV commercials to critique advertising's image of women. By fostering creative and productive dialogue, she invites viewers to look at familiar images in a new way, that moves and empowers them to take action."
""This series is about how those in power have used Freud's theories to try and control the dangerous crowd in an age of mass democracy." -Adam Curtis' introduction to the first episode."
Steve Butler, représentant d'un grand groupe énergétique, se rend avec Sue Thomason dans une petite ville de campagne. Les deux collègues sont convaincus qu'à cause de la crise économique qui sévit, les habitants ne pourront pas refuser leur lucrative proposition de forer leurs terres pour exploiter les ressources énergétiques qu'elles renferment. Ce qui s'annonçait comme un jeu d'enfant va pourtant se compliquer lorsqu'un enseignant respecté critique le projet, soutenu par un activiste écologiste qui affronte Steve aussi bien sur le plan professionnel que personnel…
Entre 50 et 90% des abeilles ont disparu depuis quinze ans. Cette épidémie, d'une violence et d'une ampleur phénoménale, est en train de se propager de ruche en ruche sur toute la planète. Partout, le même scénario : par milliards, les abeilles quittent leurs ruches pour ne plus y revenir. Aucun cadavre à proximité. Aucun prédateur visible.
Arrivée sur Terre 60 millions d'années avant l'homme, l'Apis mellifera (l'abeille à miel) est aussi indispensable à notre économie qu'à notre survie.
Aujourd'hui, nous avons tous de quoi être préoccupés : 80 % des espèces végétales ont besoin des abeilles pour être fécondées. Sans elles, pas de pollinisation, donc pratiquement plus de fruits, ni légumes.
Il y a soixante ans, Einstein avait déjà insisté sur la relation de dépendance qui lie les butineuses à l'homme : « Si l'abeille disparaissait du globe, l'homme n'aurait plus que quatre années à vivre. »