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  #1 xwhite147 on 19 Dec 14

   

  Il y aurait d'autre part ce qui relève plut?t de l'xA0;homosexuelxA0;, c'est-à-dire de fixations-régressions pathologiques aux homo-érotismes infantiles, qu'il s'agisse de blocages structurels ou de mouvements contre-évolutifs[2][2] Ainsi défini, l'xA0;homosexuelxA0; semble s'opposer...suite. Ces distinctions parfois subtiles s'appuient sur la théorie de la bisexualité comme fantasme charnière du développement psychique (A. Green, 1997). Ainsi, le p?le xA0;homosexuelxA0; s'organiserait principalement autour d'une problématique d'identité sexuelle liée à la bisexualité primaire de nature hermaphrodite. vanessa bruno pas cher en ligne soldes
  Celle-ci s'accommoderait d'un déni de l'altérité, de la différence des sexes et de la castration sous le sceau de la toute-puissance narcissique, imaginaire et phallique. Quant au p?le xA0;homosexuéxA0;, il renverrait davantage à la bisexualité secondaire, relativisée par l'accès à la castration et par la reconnaissance des conflits génitaux. La problématique serait plut?t de nature identificatoire, mais elle pourrait ordonner le maintien d'un fantasme d'androgynie comme garant de restauration narcissique, à la faveur d'une dénégation de la castration entrant dans le cadre des modalités du refoulement (F. Pasche, 1965).4 Les travaux psychanalytiques sur les liens entre homosexualité, narcissisme et objectalité mettent ces questions au travail depuis Freud. Après en avoir rappelé succinctement les grandes lignes, je tenterai de les illustrer en clinique pour en entrevoir les implications pratiques. L'intérêt de la psychanalyse pour l'homosexualité 5 Il ne s'agit pas, dans le cadre de cet exposé, d'aborder de manière fouillée la littérature consacrée à l'homosexualité, mais de suivre l'évolution de la pensée psychanalytique car il en ressort quelques hypothèses que je vais schématiser à grand traits. doudoune moncler 2014 soldes Afin d'introduire la clinique présentée dans un second temps, je me limiterai à ce qui concerne l'homosexualité masculine telle qu'elle émerge en dehors des contextes psychotiques. Un aper?u de l'?uvre freudienne et de ses prolongements… 6 à propos de l'homosexualité[3][3] Le terme apparait en 1910 dans la troisième édition des...suite, Freud opposa catégoriquement la thèse du déterminisme inné pr?née par les tenants d'un xA0;3e sexexA0; à celle, psychogénétique, liée à l'histoire infantilexA0;: xA0;Tout le monde, même l'être le plus normal est capable du choix homosexuel de l'objet, l'a accompli à un moment donné de sa vie puis ou bien s'y tient encore dans son inconscient ou bien s'en défend par une énergique attitude contrairexA0; (S. Freud, 1910). C'est d'ailleurs dès 1908-1909, à partir du cas Hans, que Freud réfuta l'hypothèse d'une xA0;pulsion homosexuellexA0; pour se centrer sur le choix d'objet homosexuel. sacs à main vanessa bruno soldes
  Il le con?ut comme la nécessité pour l'enfant de croire en la complétude narcissique bisexuée, celle-ci étant liée au désir de possession du phallus parental par fantasme d'adoubement anal. Du même coup, Freud posa l'homosexualité, qu'il différencia du cadre des perversions de l'adulte, comme une étape classique de l'évolution libidinale, suivant en cela celle de l'auto-érotisme, appartenant au cap homo-érotique du narcissisme et devant être transformée ou délaissée aux abords de la période hétéro-objectale (S. Freud, 1905, éd. 1915-1911). à cette phase de la libido, le choix est objectal mais encore narcissique. Il est donc homo-objectal et la référence au double s'articule à un objet per?u dans sa totalité imago?que (S. Freud, 1914).

   

  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">Il y aurait d'autre part ce qui relève plut?t de l'xA0;homosexuelxA0;, c'est-à-dire de fixations-régressions pathologiques aux homo-érotismes infantiles, qu'il s'agisse de blocages structurels ou de mouvements contre-évolutifs[2][2] Ainsi défini, l'xA0;homosexuelxA0; semble s'opposer...suite. Ces distinctions parfois subtiles s'appuient sur la théorie de la bisexualité comme fantasme charnière du développement psychique (A. Green, 1997). Ainsi, le p?le xA0;homosexuelxA0; s'organiserait principalement autour d'une problématique d'identité sexuelle liée à la bisexualité primaire de nature hermaphrodite. <a href="http://www.leszintrepides.fr/nouveau-sac-vanessa-bruno-pas-cher/" rel="nofollow" title="vanessa bruno pas cher en ligne soldes">vanessa bruno pas cher en ligne soldes</a> <br /> Celle-ci s'accommoderait d'un déni de l'altérité, de la différence des sexes et de la castration sous le sceau de la toute-puissance narcissique, imaginaire et phallique. Quant au p?le xA0;homosexuéxA0;, il renverrait davantage à la bisexualité secondaire, relativisée par l'accès à la castration et par la reconnaissance des conflits génitaux. La problématique serait plut?t de nature identificatoire, mais elle pourrait ordonner le maintien d'un fantasme d'androgynie comme garant de restauration narcissique, à la faveur d'une dénégation de la castration entrant dans le cadre des modalités du refoulement (F. Pasche, 1965).4 Les travaux psychanalytiques sur les liens entre homosexualité, narcissisme et objectalité mettent ces questions au travail depuis Freud. Après en avoir rappelé succinctement les grandes lignes, je tenterai de les illustrer en clinique pour en entrevoir les implications pratiques. L'intérêt de la psychanalyse pour l'homosexualité 5 Il ne s'agit pas, dans le cadre de cet exposé, d'aborder de manière fouillée la littérature consacrée à l'homosexualité, mais de suivre l'évolution de la pensée psychanalytique car il en ressort quelques hypothèses que je vais schématiser à grand traits. <a href="http://www.allprods.fr/doudoune-moncler-homme-pas-cher/" rel="nofollow" title="doudoune moncler 2014 soldes">doudoune moncler 2014 soldes</a> Afin d'introduire la clinique présentée dans un second temps, je me limiterai à ce qui concerne l'homosexualité masculine telle qu'elle émerge en dehors des contextes psychotiques. Un aper?u de l'?uvre freudienne et de ses prolongements… 6 à propos de l'homosexualité[3][3] Le terme apparait en 1910 dans la troisième édition des...suite, Freud opposa catégoriquement la thèse du déterminisme inné pr?née par les tenants d'un xA0;3e sexexA0; à celle, psychogénétique, liée à l'histoire infantilexA0;: xA0;Tout le monde, même l'être le plus normal est capable du choix homosexuel de l'objet, l'a accompli à un moment donné de sa vie puis ou bien s'y tient encore dans son inconscient ou bien s'en défend par une énergique attitude contrairexA0; (S. Freud, 1910). C'est d'ailleurs dès 1908-1909, à partir du cas Hans, que Freud réfuta l'hypothèse d'une xA0;pulsion homosexuellexA0; pour se centrer sur le choix d'objet homosexuel. <a href="http://www.abcbienetre.fr/vanessa-bruno-pas-cher/" rel="nofollow" title="sacs à main vanessa bruno soldes">sacs à main vanessa bruno soldes</a> <br /> Il le con?ut comme la nécessité pour l'enfant de croire en la complétude narcissique bisexuée, celle-ci étant liée au désir de possession du phallus parental par fantasme d'adoubement anal. Du même coup, Freud posa l'homosexualité, qu'il différencia du cadre des perversions de l'adulte, comme une étape classique de l'évolution libidinale, suivant en cela celle de l'auto-érotisme, appartenant au cap homo-érotique du narcissisme et devant être transformée ou délaissée aux abords de la période hétéro-objectale (S. Freud, 1905, éd. 1915-1911). à cette phase de la libido, le choix est objectal mais encore narcissique. Il est donc homo-objectal et la référence au double s'articule à un objet per?u dans sa totalité imago?que (S. Freud, 1914).</div>

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