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  #1 xowen11158 on 17 Dec 14

   

  Ces évêques qui ont vécu dans la même période que les appelants auxquels ils ont toujours fait opposition avec connoissance de cause, étaient convaincus que Bellelli et Berti avaient les mêmes sentiments que Ba?us, Jansénius et Quesnel. Pour ce motif, ils ont tout fait pour que soient condamnées à Rome les ?uvres de ces auteurs, comme contenant les mêmes erreurs que celles trouvées chez les auteurs jansénistes déjà condamnés. Mais, voilà que le Pape Beno?t XIV soutient la doctrine de Bellelli et Berti, sans y voir rien qui s'oppose à la doctrine de l'église. En outre, Beno?t XIV permet au père Berti de rendre publique son apologie de ses sentiments et ceux du père Bellelli. Quelles conclusions peut-on tirer de cette affaire? La réponse du Mémoire est simple: l'inexistence du ba?anisme, du jansénisme et du quesnelisme! La démarche est très claire:28 Selon mr de Saleon archeveque de vienne, et mr Languet archevesque de Sens, ceux qui refusent d'accepter les bulles contre ba?us et le p. quesnel, ou qui en ont appellé au futur concile general n'ont pas d'autre doctrine sur tous les points dont il est question dans ces decrets que celle des peres augustins belelli et berti. Or la doctrine de belelli et de berti est reconnue à Rome pour une doctrine tres orthodoxe. vanessa bruno cabas cuir pas cher
  La doctrine des appellans est donc une doctrine tres orthodoxe. Le baianisme et le quesnelisme ne sont parconsequent que des heresies imaginaires; car si l'on s'en tient à l'idée qu'en donnent MM de Vienne et de Sens, ces prelats prennent pour les erreurs du Baianisme et du quesnelisme ce que l'on regarde à Rome comme la doctrine de l'église…[62] [62] M233;moire…, p. ?22-23. ...suite29 Le raisonnement est tout à fait remarquable. survetement hugo boss pas cher Mais, maintenant il s'agit d'expliquer ce qu'il cache. En fait, les rédacteurs du Mémoire ont essayé de montrer, à travers cet exemple, qu'il n'y a pas de légitimité possible pour des décrets dont personne ne conna?t le sens réel. Ils voulaient mettre en évidence la légèreté de l'acceptation de ces bulles, s'interrogeant pour savoir comment ces décrets avaient pu être acceptés par des évêques qui n'arrivent pas à fixer unanimement le vrai sens de ces mêmes décrets. La seule manière de les accepter, selon le Mémoire, serait de fonder cette acceptation sur l'infaillibilité du pape, c'est-à-dire sur une simple opinion contraire aux decisions formelles de deux Conciles generaux[63] [63] Ibid. , p. ?23. . doudoune moncler bleu marine pas cher
  ..suite. Parce que ce n'est que par le biais de l'infaillibilité papale qu'on peut prendre comme une decision de l'église universelle le jugement du pape seul, non seulement lorsqu'il propose à croire quelque chose de clair et de precis, mais mesme lorsqu'il donne des decrets enigmatiques que les pasteurs et les théologiens interpretent en des sens contradictoires, et qu'il refuse perseveramment d'expliquer luy mesme[64] [64] Ibid. , p. ?24. .

   

  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">Ces évêques qui ont vécu dans la même période que les appelants auxquels ils ont toujours fait opposition avec connoissance de cause, étaient convaincus que Bellelli et Berti avaient les mêmes sentiments que Ba?us, Jansénius et Quesnel. Pour ce motif, ils ont tout fait pour que soient condamnées à Rome les ?uvres de ces auteurs, comme contenant les mêmes erreurs que celles trouvées chez les auteurs jansénistes déjà condamnés. Mais, voilà que le Pape Beno?t XIV soutient la doctrine de Bellelli et Berti, sans y voir rien qui s'oppose à la doctrine de l'église. En outre, Beno?t XIV permet au père Berti de rendre publique son apologie de ses sentiments et ceux du père Bellelli. Quelles conclusions peut-on tirer de cette affaire? La réponse du Mémoire est simple: l'inexistence du ba?anisme, du jansénisme et du quesnelisme! La démarche est très claire:28 Selon mr de Saleon archeveque de vienne, et mr Languet archevesque de Sens, ceux qui refusent d'accepter les bulles contre ba?us et le p. quesnel, ou qui en ont appellé au futur concile general n'ont pas d'autre doctrine sur tous les points dont il est question dans ces decrets que celle des peres augustins belelli et berti. Or la doctrine de belelli et de berti est reconnue à Rome pour une doctrine tres orthodoxe. <a rel="nofollow" title="vanessa bruno cabas cuir pas cher" href="http://www.abcbienetre.fr/sac-vanessa-bruno-pas-cher/">vanessa bruno cabas cuir pas cher</a> <br /> La doctrine des appellans est donc une doctrine tres orthodoxe. Le baianisme et le quesnelisme ne sont parconsequent que des heresies imaginaires; car si l'on s'en tient à l'idée qu'en donnent MM de Vienne et de Sens, ces prelats prennent pour les erreurs du Baianisme et du quesnelisme ce que l'on regarde à Rome comme la doctrine de l'église…[62] [62] M233;moire…, p. ?22-23. ...suite29 Le raisonnement est tout à fait remarquable. <a rel="nofollow" title="survetement hugo boss pas cher" href="http://www.prehy2013.fr/survetement-pas-cher/">survetement hugo boss pas cher</a> Mais, maintenant il s'agit d'expliquer ce qu'il cache. En fait, les rédacteurs du Mémoire ont essayé de montrer, à travers cet exemple, qu'il n'y a pas de légitimité possible pour des décrets dont personne ne conna?t le sens réel. Ils voulaient mettre en évidence la légèreté de l'acceptation de ces bulles, s'interrogeant pour savoir comment ces décrets avaient pu être acceptés par des évêques qui n'arrivent pas à fixer unanimement le vrai sens de ces mêmes décrets. La seule manière de les accepter, selon le Mémoire, serait de fonder cette acceptation sur l'infaillibilité du pape, c'est-à-dire sur une simple opinion contraire aux decisions formelles de deux Conciles generaux[63] [63] Ibid. , p. ?23. . <a rel="nofollow" title="doudoune moncler bleu marine pas cher" href="http://www.leteide.fr/doudoune-moncler-pas-cher/">doudoune moncler bleu marine pas cher</a> <br /> ..suite. Parce que ce n'est que par le biais de l'infaillibilité papale qu'on peut prendre comme une decision de l'église universelle le jugement du pape seul, non seulement lorsqu'il propose à croire quelque chose de clair et de precis, mais mesme lorsqu'il donne des decrets enigmatiques que les pasteurs et les théologiens interpretent en des sens contradictoires, et qu'il refuse perseveramment d'expliquer luy mesme[64] [64] Ibid. , p. ?24. .</div>

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