Skip to main content

Home/ Eco20/20/ trench burberry homme pas cher, On prit la file
vacation0213

trench burberry homme pas cher, On prit la file - 0 views

started by vacation0213 on 26 Nov 14
  • vacation0213
     
    82Page 86Le Comte de Monte-Cristo, Tome IIfolies , Voyons, répondez franchement. -Non, dit-il, mais en vérité je suis aise maintenant d'avoir vu une pareille chose, et je comprends ce que disait M. le comte : c'est que, lorsqu'on a pu s'habituer une fois à un pareil spectacle, ce soit le seul qui donne encore des émotions. -Sans compter que c'est en ce moment-là seulement qu'on peut faire des études de caractères, dit le comte ; sur la première marche de l'échafaud, la mort arrache le masque qu'on a porté toute la vie, et le véritable visage apparaît. Il faut en convenir, celui d'Andrea n'était pas beau à voir... burberry soldes Le hideux coquin ! ... Habillons-nous, messieurs, habillons-nous ! » Il eût été ridicule à Franz de faire la petite maîtresse et de ne pas suivre l'exemple que lui donnaient ses deux compagnons. Il passa donc à son tour son costume et mit son masque, qui n'était certainement pas plus pâle que son visage. La toilette achevée, on descendit. La voiture attendait à la porte, pleine de confetti et de bouquets. trench burberry homme pas cher, On prit la file. Il est difficile de se faire l'idée d'une opposition plus complète que celle qui venait de s'opérer. Au lieu de ce spectacle de mort sombre et silencieux, la place del Popolo présentait l'aspect d'une folle et bruyante orgie. Une foule de masques sortaient, débordant de tous les côtés, s'échappant par les portes, descendant par les fenêtres ; les voitures débouchaient à tous des coins de rue, chargées de pierrots, d'arlequins, de dominos, de marquis, de Transtévères, de grotesques, de chevaliers, de paysans : tout cela criant, gesticulant, lançant des oeufs pleins de farine, des confetti, des bouquets ; attaquant de la parole et du projectile amis et étrangers, connus et inconnus, sans que personne ait le droit de s'en fâcher, sans que pas un fasse autre chose que d'en rire. Franz et Albert étaient comme des hommes que, pour les distraire d'un violent chagrin, on conduirait dans une orgie, et qui, à mesure qu'ils boivent et qu'ils s'enivrent, sentent un voile s'épaissir entre le passé et le présent. Ils voyaient toujours, ou plutôt ils continuaient de sentir en eux le reflet de ce qu'ils avaient vu. Mais peu à peu l'ivresse générale les gagna : il leur sembla que leur raison chancelante allait les abandonner ; ils éprouvaient un besoin étrange de prendre leur part de ce bruit, de ceVI.

To Top

Start a New Topic » « Back to the Eco20/20 group