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survetement lacoste pas cher Sa toile était - 0 views

started by future0213 on 18 Dec 14
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    La Vallière rougit. Vous le voyez, lui dit le roi, nous ne serons plus trois seulement . nous voilà quatre. Eh ! mon Dieu ! du moment que nous ne serons pas seuls, nous serons tant que vous voudrez. La Vallière serra doucement le bout des doigts de son royal amant. Passons dans la chambre voisine, s'il plaît à Votre Majesté, dit de Saint Aignan. Il ouvrit la porte et fit passer ses hôtes. lacoste pas cher, Le roi marchait derrière La Vallière et dévorait des yeux son cou blanc comme de la nacre, sur lequel s'enroulaient les anneaux serrés et crépus des cheveux argentés de la jeune fille. La Vallière était vêtue d'une étoffe de soie épaisse de couleur gris perle glacée de rose . une parure de jais faisait valoir la blancheur de sa peau . ses mains fines et diaphanes froissaient un bouquet de pensées, de roses du Bengale et de clématites au feuillage finement découpé, audessus desquelles s'élevait, comme une coupe à verser des parfums, une tulipe de Harlem aux tons gris et violets, pure et merveilleuse espèce, qui avait coûté cinq ans de combinaisons au jardinier et cinq mille livres au roi. Ce bouquet, Louis l'avait mis dans la main de La Vallière en la saluant. Dans cette chambre, dont de SaintAignan venait d'ouvrir la porte, se tenait un jeune homme vêtu d'un habit de velours léger avec de beaux yeux noirs et de grands cheveux bruns. C'était le peintre. survetement lacoste pas cher Sa toile était toute prête, sa palette faite. Il s'inclina devant Mlle de La Vallière avec cette grave curiosité de l'artiste qui étudie son modèle, salua le roi discrètement, comme s'il ne le connaissait pas, et comme il eût, par conséquent, salué un autre gentilhomme. Chapitre CLXXV Le portrait 328 Page 334 Le Vicomte de Bragelonne, Tome III. Puis, conduisant Mlle de La Vallière jusqu'au siège préparé pour elle, il l'invita à s'asseoir. La jeune fille se posa gracieusement et avec abandon, les mains occupées, les jambes étendues sur des coussins, et, pour que ses regards n'eussent rien de vague ou rien d'affecté, le peintre la pria de se choisir une occupation. Alors Louis XIV, en souriant, vint s'asseoir sur les coussins aux pieds de sa maîtresse. De sorte qu'elle, penchée en arrière, adossée au fauteuil, ses fleurs à la main, de sorte que lui, les yeux levés vers elle et la dévorant du regard, ils formaient un groupe charmant que l'artiste contempla plusieurs minutes avec satisfaction, tandis que, de son côté, de SaintAignan le contemplait avec envie. doudoune lacoste pas cher, Le peintre esquissa rapidement . puis, sous les premiers coups du pinceau, on vit sortir du fond gris cette molle et poétique figure aux yeux doux, aux joues roses encadrées dans des cheveux d'un pur argent. Cependant les deux amants parlaient peu et se regardaient beaucoup . parfois leurs yeux devenaient si languissants, que le peintre était forcé d'interrompre son ouvrage pour ne pas représenter une Érycine au lieu d'une La Vallière. C'est alors que de SaintAignan revenait à la rescousse . il récitait des vers ou disait quelquesunes de ces historiettes comme Patru les racontait, comme Tallemant des Réaux les racontait si bien. Ou bien La Vallière était fatiguée, et l'on se reposait.

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