sac longchamp pliage taille m À l'époque - 0 views

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  #1 opinions1 opinions1 on 15 Jul 14

   

  Les élus américains en campagne, comme J. D. Hayworth, député républicain d'Arizona, défendent le sérieux de leurs réticences : «Les dirigeants de DP World sont probablement fiables, mais que sait-on des employés subalternes ? Comment s'assurer que leurs rangs ne sont pas infiltrés ?» Un animateur de talk-show radiophonique d'ordinaire bien disposé à l'égard du président Bush, Shawn Hannity, renchérit : «Deux des pirates du 11 septembre venaient de Dubai et y avaient trouvé des fonds.» Il est de notoriété publique que le marché de l'or de Dubai a parfois été utilisé par al-Qaida pour se financer.Pour certains experts de la sécurité, il serait possible à des terroristes de faire passer des bombes radioactives dans des containers à Baltimore ou à Miami. sac longchamp neuf vendreEn réalité depuis janvier 2002, les services américains des douanes, délocalisés dans le monde entier, inspectent les containers au départ dans tous les grands ports de la planète. La sécurité et l'inspection ne sont du reste pas déléguées aux opérateurs privés dans les ports américains. Que ces opérateurs soient contrôlés par des firmes américaines, japonaises ou dubaïotes ne changera pas les procédures en vigueur.Voilà pourquoi Zachary Karabell, un économiste chez Fred Alger Management, une société qui gère quelque 10 milliards de dollars de capitaux, est sceptique : «Nous ne pouvons pas faire l'apologie du libre-échange en abaissant les barrières tarifaires à l'entrée dans notre pays tout en poussant des cris d'orfraie lorsque des sociétés étrangères essayent d'acheter nos actifs. L'Amérique dit qu'elle souhaite des partenaires musulmans dans sa lutte contre le terrorisme. Pourtant républicains et démocrates sont prêts à salir un partenaire potentiel.»A cet égard, l'affaire de Dubai Ports World est bien plus grave que l'affaire Cnooc qui avait éclaté à l'été dernier. sac longchamp pliage taille m À l'époque, Cnooc, une société pétrolière chinoise contrôlée par Pékin, cherchait à arracher à Chevron la major californienne Unocal. Le Congrès avait agité l'épouvantail de l'impérialisme chinois, la menace sur les intérêts stratégiques pétroliers américains et le risque de voir les militaires chinois mettre la main sur des technologies sous-marines à potentiel militaire. Cnooc avait reculé avant même que la Maison-Blanche n'ait à s'en mêler.Dans l'affaire des ports, l'acheteur a déjà reçu le feu vert officiel de l'Administration Bush et le Congrès place donc le président dans une position intenable. En outre, la firme rachetée par DP World n'est même pas directement américaine : il s'agit de P & 0, une société britannique dotés d'actifs aux Etats-Unis. D'ailleurs, nombre de terminaux portuaires américains sont déjà exploités par des firmes étrangères originaires du Danemark, de Corée, de Chine et du Japon.Pour son plaidoyer en faveur du libre-échange, Bush se retrouve bien seul face à son propre parti. pas cher sac longchamp pliage
  Les leaders du Sénat et de la Chambre des représentants jouent il est vrai sur un registre émotionnel. Le Congrès américain aime les boucs émissaires étrangers. La Chine est un de leurs préférés. Si le déficit commercial américain s'envole, c'est forcément de la faute des Chinois. Alors qu'en réalité, les exportations américaines battent record sur record. Le déficit résulte d'abord d'une consommation excessive des Américains et de leur épargne trop faible. Mais aucun sénateur ou député américain n'a la moindre chance de conserver son siège s'il rappelle à haute voix cette vérité toute simple.

   

  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">Les élus américains en campagne, comme J. D. Hayworth, député républicain d'Arizona, défendent le sérieux de leurs réticences : «Les dirigeants de DP World sont probablement fiables, mais que sait-on des employés subalternes ? Comment s'assurer que leurs rangs ne sont pas infiltrés ?» Un animateur de talk-show radiophonique d'ordinaire bien disposé à l'égard du président Bush, Shawn Hannity, renchérit : «Deux des pirates du 11 septembre venaient de Dubai et y avaient trouvé des fonds.» Il est de notoriété publique que le marché de l'or de Dubai a parfois été utilisé par al-Qaida pour se financer.Pour certains experts de la sécurité, il serait possible à des terroristes de faire passer des bombes radioactives dans des containers à Baltimore ou à Miami. <a rel="nofollow" href="http://www.newidea.fr/sac-besace-longchamp/sac-longchamp-neuf-vendre-pas-cher-sac-longchamp-pliage-taille-m/" title="sac longchamp neuf vendre">sac longchamp neuf vendre</a>En réalité depuis janvier 2002, les services américains des douanes, délocalisés dans le monde entier, inspectent les containers au départ dans tous les grands ports de la planète. La sécurité et l'inspection ne sont du reste pas déléguées aux opérateurs privés dans les ports américains. Que ces opérateurs soient contrôlés par des firmes américaines, japonaises ou dubaïotes ne changera pas les procédures en vigueur.Voilà pourquoi Zachary Karabell, un économiste chez Fred Alger Management, une société qui gère quelque 10 milliards de dollars de capitaux, est sceptique : «Nous ne pouvons pas faire l'apologie du libre-échange en abaissant les barrières tarifaires à l'entrée dans notre pays tout en poussant des cris d'orfraie lorsque des sociétés étrangères essayent d'acheter nos actifs. L'Amérique dit qu'elle souhaite des partenaires musulmans dans sa lutte contre le terrorisme. Pourtant républicains et démocrates sont prêts à salir un partenaire potentiel.»A cet égard, l'affaire de Dubai Ports World est bien plus grave que l'affaire Cnooc qui avait éclaté à l'été dernier. <a rel="nofollow" href="http://www.newidea.fr/sac-besace-longchamp/sac-longchamp-neuf-vendre-pas-cher-sac-longchamp-pliage-taille-m/" title="sac longchamp pliage taille m">sac longchamp pliage taille m</a> À l'époque, Cnooc, une société pétrolière chinoise contrôlée par Pékin, cherchait à arracher à Chevron la major californienne Unocal. Le Congrès avait agité l'épouvantail de l'impérialisme chinois, la menace sur les intérêts stratégiques pétroliers américains et le risque de voir les militaires chinois mettre la main sur des technologies sous-marines à potentiel militaire. Cnooc avait reculé avant même que la Maison-Blanche n'ait à s'en mêler.Dans l'affaire des ports, l'acheteur a déjà reçu le feu vert officiel de l'Administration Bush et le Congrès place donc le président dans une position intenable. En outre, la firme rachetée par DP World n'est même pas directement américaine : il s'agit de P & 0, une société britannique dotés d'actifs aux Etats-Unis. D'ailleurs, nombre de terminaux portuaires américains sont déjà exploités par des firmes étrangères originaires du Danemark, de Corée, de Chine et du Japon.Pour son plaidoyer en faveur du libre-échange, Bush se retrouve bien seul face à son propre parti. <a rel="nofollow" href="http://www.newidea.fr/sac-besace-longchamp/sac-longchamp-neuf-vendre-pas-cher-sac-longchamp-pliage-taille-m/" title="pas cher sac longchamp pliage">pas cher sac longchamp pliage</a> <br /> Les leaders du Sénat et de la Chambre des représentants jouent il est vrai sur un registre émotionnel. Le Congrès américain aime les boucs émissaires étrangers. La Chine est un de leurs préférés. Si le déficit commercial américain s'envole, c'est forcément de la faute des Chinois. Alors qu'en réalité, les exportations américaines battent record sur record. Le déficit résulte d'abord d'une consommation excessive des Américains et de leur épargne trop faible. Mais aucun sénateur ou député américain n'a la moindre chance de conserver son siège s'il rappelle à haute voix cette vérité toute simple.</div>

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