Selon les estimations disponibles vendredi à 20h00, le taux de participation était de 52,3% dans la fonction publique d'Etat, 51,2% dans la fonction publique hospitalière et 54,5% dans la fonction publique territoriale. La participation globale estimée (52,9%) est inférieure de 1,7 point à celle des élections de 2011 (54,6%). Un enjeu du scrutin est l'évolution du poids respectif des principaux syndicats dans la fonction publique. La CGT, arrivée en tête avec 25,4% des voix dans l'ensemble des trois fonctions publiques en 2011, risque fort de souffrir de la crise interne suscitée par les révélations sur les dépenses dont a profité son secrétaire général. Dans une vidéo diffusée vendredi sur le site de la CGT, Thierry Lepaon n'en a pas moins déclaré que son organisation restait "la première force syndicale dans la fonction publique", avant même que les résultats définitifs ne soient connus. A La Poste, où la direction fait état d'un taux de participation de 75,63% et où le vote s'est entièrement effectué par la voie électronique, la CGT a effectivement réussi à garder sa première place, avec 26,54% des suffrages, mais recule de près de trois points par rapport à 2011 (29,33%). Suit la CFDT (22,51%), qui fait une percée par rapport à 2011 (18,14%) et devance désormais Sud (20,17%), FO (19,97%), l'alliance CFTC-CGC-Unsa (9,71%) et la CNT (1,10%). sac longchamp pas cher Des résultats dont Sud a aussitôt contesté la "fiabilité". La CFDT a pour sa part expliqué dans un communiqué sa percée par le fait que "le langage de vérité" avait été "entendu par les postiers" et a salué le recul des "organisations porteuses de messages démagogiques". Dans l'éducation, le SNUipp-FSU reste largement en tête chez les enseignants des écoles avec 44,28%, devant l'Unsa (25,06%), Force ouvrière (13,40%) et le Sgen CFDT (6,20%). Il recule toutefois de quatre points par rapport à 2011. Dans le second degré, c'est le Snes, qui a revendiqué la victoire, avec 44% des suffrages exprimés. Les syndicats Alliance ont fait de même dans la police nationale et au ministère de l'Intérieur. Les résultats définitifs seront annoncés mardi par la ministre de la Fonction publique, Marylise Lebranchu. sac longchamp pliage pas cher Les salaires stagnent malgré la hausse de la productivité La stagnation des salaires dans les pays développés depuis la crise financière a plus à voir avec les programmes de réduction de coûts des entreprises qu'avec la concurrence de la main d'oeuvre bon marché des pays émergents comme la Chine, selon un rapport de l'Organisation internationale du travail (OIT) publié vendredi. "Globalement, la croissance de la productivité du travail dans les économies développées a dépassé celle des salaires réels entre 1999 et 2013", écrit l'organisation dans son dernier rapport mondial sur les salaires. En conséquence, "la part du revenu national allouée au travail a diminué dans les grandes économies développées." Entre 2009 et 2013, l'indice des salaires réels n'a progressé que d'à peine 0,4% dans ces pays alors que celui de la productivité du travail a augmenté de plus de 5,4%. Au niveau mondial, les salaires dans les pays émergents convergent lentement vers ceux en vigueur dans les pays développés avec une croissance de 6,7% en 2012 et 5,9% en 2013 dans les premiers contre 0,1% et 0,2% respectivement dans les seconds. Mais ce n'est pas la main d'oeuvre à bon marché des pays émergents qui explique la stagnation des salaires dans les pays développés, a souligné Sandra Polaski, la directrice générale adjointe de l'OIT. "Si les niveaux de productivité augmentent vous pouvez vous accommoder de la concurrence parce que la productivité de votre entreprise vous permet de continuer à payer de bons salaires tout en restant compétitif. longchamp pas cher " Les profits des entreprises se sont redressés depuis la sortie de la récession de 2008-2009 provoquée par la crise financière mais ces revenus n'ont pas été réinvestis au même rythme qu'auparavant, a aussi relevé Polaski. "Ces profits que les entreprises conservent sans rien en faire, cela ne produit pas de bons résultats pour l'économie mondiale." La faible croissance des revenus salariaux des les pays développés réduit la demande des ménages, ce qui réduit la demande à l'échelle mondiale, a-t-elle prévenu. La faible progression voire la baisse des salaires réels dans certains pays développés est aussi considérée comme un facteur susceptible d'alimenter les risques de déflation. Manuel Valls incarne le mieux l'avenir du PS, selon deux sondages Une majorité de sympathisants socialistes estiment que le PS, divisé sur la politique à conduire pour sortir la France du marasme, doit donner un coup de barre à gauche mais Manuel Valls reste quand même leur dirigeant favori, selon deux sondages. Il devance notamment de très loin l'actuel chef de l'Etat, François Hollande, pour représenter le PS à la présidentielle de 2017, selon une enquête effectuée pour iTÉLÉ et Le Parisien par l'institut Odoxa. Ce qui fait dire au président d'Odoxa, Gaël Sliman, que si la situation économique et sa cote de popularité ne s'améliorent pas, il sera "très difficile" au vainqueur de 2012 de se représenter en 2017.
Des résultats dont Sud a aussitôt contesté la "fiabilité". La CFDT a pour sa part expliqué dans un communiqué sa percée par le fait que "le langage de vérité" avait été "entendu par les postiers" et a salué le recul des "organisations porteuses de messages démagogiques". Dans l'éducation, le SNUipp-FSU reste largement en tête chez les enseignants des écoles avec 44,28%, devant l'Unsa (25,06%), Force ouvrière (13,40%) et le Sgen CFDT (6,20%). Il recule toutefois de quatre points par rapport à 2011. Dans le second degré, c'est le Snes, qui a revendiqué la victoire, avec 44% des suffrages exprimés. Les syndicats Alliance ont fait de même dans la police nationale et au ministère de l'Intérieur. Les résultats définitifs seront annoncés mardi par la ministre de la Fonction publique, Marylise Lebranchu. sac longchamp pliage pas cher Les salaires stagnent malgré la hausse de la productivité La stagnation des salaires dans les pays développés depuis la crise financière a plus à voir avec les programmes de réduction de coûts des entreprises qu'avec la concurrence de la main d'oeuvre bon marché des pays émergents comme la Chine, selon un rapport de l'Organisation internationale du travail (OIT) publié vendredi. "Globalement, la croissance de la productivité du travail dans les économies développées a dépassé celle des salaires réels entre 1999 et 2013", écrit l'organisation dans son dernier rapport mondial sur les salaires. En conséquence, "la part du revenu national allouée au travail a diminué dans les grandes économies développées." Entre 2009 et 2013, l'indice des salaires réels n'a progressé que d'à peine 0,4% dans ces pays alors que celui de la productivité du travail a augmenté de plus de 5,4%. Au niveau mondial, les salaires dans les pays émergents convergent lentement vers ceux en vigueur dans les pays développés avec une croissance de 6,7% en 2012 et 5,9% en 2013 dans les premiers contre 0,1% et 0,2% respectivement dans les seconds. Mais ce n'est pas la main d'oeuvre à bon marché des pays émergents qui explique la stagnation des salaires dans les pays développés, a souligné Sandra Polaski, la directrice générale adjointe de l'OIT. "Si les niveaux de productivité augmentent vous pouvez vous accommoder de la concurrence parce que la productivité de votre entreprise vous permet de continuer à payer de bons salaires tout en restant compétitif. longchamp pas cher
" Les profits des entreprises se sont redressés depuis la sortie de la récession de 2008-2009 provoquée par la crise financière mais ces revenus n'ont pas été réinvestis au même rythme qu'auparavant, a aussi relevé Polaski. "Ces profits que les entreprises conservent sans rien en faire, cela ne produit pas de bons résultats pour l'économie mondiale." La faible croissance des revenus salariaux des les pays développés réduit la demande des ménages, ce qui réduit la demande à l'échelle mondiale, a-t-elle prévenu. La faible progression voire la baisse des salaires réels dans certains pays développés est aussi considérée comme un facteur susceptible d'alimenter les risques de déflation. Manuel Valls incarne le mieux l'avenir du PS, selon deux sondages Une majorité de sympathisants socialistes estiment que le PS, divisé sur la politique à conduire pour sortir la France du marasme, doit donner un coup de barre à gauche mais Manuel Valls reste quand même leur dirigeant favori, selon deux sondages. Il devance notamment de très loin l'actuel chef de l'Etat, François Hollande, pour représenter le PS à la présidentielle de 2017, selon une enquête effectuée pour iTÉLÉ et Le Parisien par l'institut Odoxa. Ce qui fait dire au président d'Odoxa, Gaël Sliman, que si la situation économique et sa cote de popularité ne s'améliorent pas, il sera "très difficile" au vainqueur de 2012 de se représenter en 2017.
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