47 . Ils s'en ouvrent à Desmaretz?: ?Avant notre départ nous avions dit que ce traité était désavantageux à notre commerce, mais que nous avions lieu d'être consolés parce que nous pensions qu'il nous a donné la paix. Cette idée que nous avions à Paris a bien augmenté depuis que nous sommes ici, car nous avons découvert l'importance des droits qui pèsent sur les marchandises des autres nations, nous bénéficierons du même traitement sans que nous ayons le droit de nous plaindre.? [80] [80] AN, G7-1699, f° 63. Anisson 224; Desmaretz, 19 juillet 1713. .. doudoune pas cher homme .suite Les deux hommes sont pourtant à nouveau désignés pour représenter le roi lors des conférences de Londres. On se trouve donc avec deux commissaires chargés de lever les dernières difficultés d'un traité de commerce auquel ils sont hostiles. C'est pourquoi ils se rendent à Londres dans un état d'esprit peu propice à la réussite d'une négociation, bornant leurs ambitions ?à nous en tirer le moins mal que nous pouvons? [81] [81] AAE, MD, Angl. , vol. 33, f° 55, Anisson 224; Desmaretz,.. vanessa bruno galeries lafayette .suite.48 D'autres responsables fran?ais partagent l'opinion des deux commissaires. Desmaretz leur écrit?: ?Je conviens avec vous qu'il serait avantageux pour le royaume que non seulement les articles VIII et IX, mais même le traité de commerce entier, fussent absolument rejetés puisqu'en effet on ne peut faire aucun commerce avec l'Angleterre qui ne soit préjudiciable à la France.? [82] [82] Ibid. , f° 112. ?Sa Majesté regardera comme un avantage pour ses sujets que les choses demeurent à l'égard du commerce sur le pied qu'elles étaient avant la guerre. sac longchamp pas cher cuir 2014 ? [83] [83] Ibid. , idem. ...suite49 Pourtant le traité ayant été conclu pour des raisons impérieuses, il va falloir tenter d'en limiter la portée. Cependant le contexte des nouveaux débats est totalement différent de ce qu'il était à Utrecht.
.suite Les deux hommes sont pourtant à nouveau désignés pour représenter le roi lors des conférences de Londres. On se trouve donc avec deux commissaires chargés de lever les dernières difficultés d'un traité de commerce auquel ils sont hostiles. C'est pourquoi ils se rendent à Londres dans un état d'esprit peu propice à la réussite d'une négociation, bornant leurs ambitions ?à nous en tirer le moins mal que nous pouvons? [81] [81] AAE, MD, Angl. , vol. 33, f° 55, Anisson 224; Desmaretz,.. vanessa bruno galeries lafayette .suite.48 D'autres responsables fran?ais partagent l'opinion des deux commissaires. Desmaretz leur écrit?: ?Je conviens avec vous qu'il serait avantageux pour le royaume que non seulement les articles VIII et IX, mais même le traité de commerce entier, fussent absolument rejetés puisqu'en effet on ne peut faire aucun commerce avec l'Angleterre qui ne soit préjudiciable à la France.? [82] [82] Ibid. , f° 112. ?Sa Majesté regardera comme un avantage pour ses sujets que les choses demeurent à l'égard du commerce sur le pied qu'elles étaient avant la guerre. sac longchamp pas cher cuir 2014
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